MassaliaLive.com

[Fennec]

Ah ouais quand même, 2 kilos de coke.

[ville]

Merde, le livreur de Vincent s'est fait chopper...

[peezee]

Franchement, voler la voiture de Gunter pour rapporter sa coke à Vince, pas très malin...

[Dragan]

Vive Marseille

[Herpès Léonard]

Information

J'ai dit à Margarita Louis-Dreyfus que si elle m'engageait je ne voyais pas de raison pour laquelle le nouvel investisseur n'aurait pas confiance en moi. J'espère rencontrer Jacques-Henri Eyraud car c'est maintenant qu'il faut travailler sur la saison prochaine, se mettre d'accord sur certains principes. L'OM est un club de tradition et j'espère pouvoir faire partie de sa remontée"

[Betsamee]

regle numero 1 quand tu reprends une societe en peril et que tu veux la relancer, virer les cadres strategiques.

tous les directeurs XXX vont degager, sinon j'y comprends plus rien

[Pancho11]

C'est un emploi fictif l'alcolo

[peezee]

Information

J'ai dit à Margarita Louis-Dreyfus que si elle m'engageait je ne voyais pas de raison pour laquelle le nouvel investisseur n'aurait pas confiance en moi. J'espère rencontrer Jacques-Henri Eyraud car c'est maintenant qu'il faut travailler sur la saison prochaine, se mettre d'accord sur certains principes. L'OM est un club de tradition et j'espère pouvoir faire partie de sa remontée"

àma si ni FMC ni JHE ne l'ont encore contacté, c'est que ça doit être mort pour lui.

Et s'il pense "envoyer un message" (expression ALC employée dans le foot) à JHE de cette façon, je crains pour lui que l'autre s'en BLC total. Le gars qui est cadre salarié du club en est à "espérer" que le nouveau président le reçoive...

[superolive]

c'est clair ça sent le pâté pour lui

[peezee]

Ouais, pourtant pâté plus bière je suis pas certain que ça soit génial.

[Arno26]

JHE dit dans la presse il y a 2 jours qu'ils regardent déjà les opportunités pour le mercato, tout le monde sait qu'il y a une shortlist de coach, et lui il est au courant de rien mais il ne voit pas de raison de se faire virer.

Après il va prendre son chèque de 2 ans de salaire pour avoir été voir 4 matchs de CFA, y a pire

[richardB]

on peut le garder en scout

[Dragan]

Je vote Antero Henrique pour remplacer notre ami Gunter (faudra juste que Jacques henri se mette aux lunettes de soleil)

[tigrou]

C'est surtout l'autre partie de l'interview.... Quand il dit qu'il a freiné l'echange Njie Nkoulou.

Il a potentiellement raison il dit qu'il ne va pas signer un truc qui ne le satisfait pas legalement (et encore je demande avoir ses competences legales etc...) mais de l'autre il indique clairement que notre mercato a été en l'air a cause de lui....
J'ai jamais compris ces mecs qui arrivent après d'autres manager et pour marquer leur territoire explique que ce qui a été fait avant c'est pas bien.... et in fine ils font exactement la meme chose...
A la rigueur fait capoter le deal et trouve autre chose derriere, mais allonger les discussions pour rien (et se venter apres...) ca n'a pas de sens.

Je suis perso content qu'il degage, encore plus s'il espere mettre la pression au nouveau president par media interposé, je crois qu'il n'a pas compris qu'on en avait raz le cul de ça à marseille. Si tu as des couilles tu vas parler au mec direct et tu regle ça.

[Jack73]

on peut le garder en scout

Prononcer "Skaout"

[marcos011]

Information

Gunter Jacob "Non je n'ai pas été approché par les gens "du milieu". Mais c'est un thème que MLD a touché du doigt quand on s'est rencontré"

Jacob "J'ai été avocat pendant 8 ans, notamment de la fédé belge. Ce que je signe, je le signe. Je n'ai pas peur de signer les contrats"

Gunter Jacob à La Provence "Non je n'ai pas encore rencontré José Anigo..."

Gunter Jacob "Évidemment, j'ai envie de faire partie du projet McCourt. J'espère pouvoir faire partie de la remontée de l'OM"

[Dragan]

L'itw complete:

Information

GUNTER JACOB; "Je savais que ce serait difficile"; Le directeur sportif belge revient sur sa mission olympienne et évoque son avenir au club

Il a eu un été chargé, avec 200 mails par jour et plus de 200 coups de fil le dernier jour du mercato, une "période bizarre et épuisante". Frais et dispo, Gunter Jacob (48 ans), le directeur sportif de l'OM, a reçu "La Provence" pour évoquer sa mission, sa situation et l'avenir du club.

Racontez-nous votre arrivée à Marseille...


Je connaissais Marseille, j'y étais déjà venu à plusieurs reprises. La dernière fois, c'était il y a deux ans. On était dans la région, en famille, et on a visité calmement la ville. Dès que je suis arrivé, je dois dire que l'accueil a été formidable, tout le monde a fait ce qu'il pouvait faire pour moi. Je suis d'abord resté à l'hôtel, mais je n'aime pas trop ça. Surtout pendant le mercato où le téléphone sonne toutes les deux minutes et où il faut un peu de discrétion pour mener les négociations financières. J'ai trouvé une maison assez vite, pas très loin du centre d'entraînement. Et on a déjà trouvé le chemin deux fois dans les deux premières semaines. On m'a visité à deux reprises et sans s'annoncer ! (rires) Donc on a mieux protégé la maison et maintenant, je me sens bien.

Qu'avez-vous ressenti ?

C'est quand même assez comique, oui, c'est comique. (sourire) Mais ça peut arriver à tout le monde...

C'est le fruit du hasard ?

Je ne sais pas. Je pense, oui... (Il réfléchit, avant de rire) Il faut quand même que ça s'arrête un jour ! La première fois, c'est arrivé tellement vite. On s'est dit : "C'est bon, on l'a eu, c'est fini". Et puis dix jours après, rebelote. Là, c'est quand même bizarre.

C'est ça, le contexte marseillais ?

C'est malheureux. Je n'aime pas parler de contexte marseillais dans ce sens-là. Dans toutes les grandes villes du monde, il y a des choses qui arrivent. Et Marseille n'est pas une petite ville. Ça s'est passé pour moi, je n'y peux rien. Tout le monde au club était très consterné.

Ce ne doit pas être évident de devoir convaincre des joueurs de venir quand il vous arrive cela... Certains vous en ont parlé ?

Non, aucun. C'est quand même l'OM dont on parle. La question, c'est plutôt : est-ce qu'on veut jouer pour l'OM ou pas ? C'est un des plus grands clubs au monde dans la culture foot, la tradition. Tout le monde me dit que c'est un club difficile, problématique, mais je pense qu'on doit sortir de cette idée-là car, selon moi, ce n'est pas vraiment le cas.

Vous êtes arrivé en plein mercato dans un club en processus de vente alors que vous aviez fait la promesse à votre femme de ne plus être dirigeant... C'est du masochisme, de la folie ?

(Il rit) J'ai fait ce boulot pendant cinq ans en Belgique (au KRC Genk, ndlr). Je me suis bien amusé. Genk est un club plus petit, il fallait s'occuper de davantage de choses qu'à l'OM, mais à la fin, c'était épuisant. Je faisais beaucoup de scouting pour aller voir les joueurs, mais j'étais presque devenu aviateur. Sur un mois, je prenais 20 fois l'avion. Derrière, il restait tout le travail à faire au club, avec les joueurs, les entraîneurs, le comité, les finances, le budget... J'étais mort et fatigué, j'ai dit à ma femme : "Ça, on ne le fera plus jamais". Elle m'a demandé si je me rendais compte de ce que j'avais fait les années précédentes, puis on s'est mis d'accord pour ne plus jamais le faire. Sauf si un grand club se présentait à moi... On a fait une liste avec quelques noms, et il y avait l'OM. Quand j'ai reçu le coup de fil de quelqu'un que je ne connaissais pas pour me proposer d'être directeur sportif, j'ai dit non. Il m'a dit : "Même pas si c'est l'OM ?" J'ai ri et je lui ai demandé s'il plaisantait. Il m'a alors dit de venir le lendemain à Zurich pour rencontrer Margarita Louis-Dreyfus et son compagnon, Philipp Hildebrand. À partir de là, tout s'est enchaîné très rapidement et j'ai signé un contrat de deux ans.

Vous saviez dès le début que votre mission ne durerait pas ?

Le but, à la fin, c'est de vendre le club, m'a-t-elle dit. Je lui ai dit que si elle m'engageait, c'est qu'elle avait confiance en moi, et que je ne voyais pas de raison pour laquelle le nouvel investisseur n'aurait pas confiance en moi. Alors, certes, les choses sont allées plus vite que prévu. Mais cela ne change rien pour moi, ça ne me préoccupe pas. Si on travaille sérieusement, on peut travailler avec tout le monde.

Votre travail, justement, c'était le mercato. Quel bilan en tirez-vous ?

J'ai reçu une feuille de route très précise et très stricte. Je savais que ce serait difficile, on savait qu'on ne pourrait pas dépasser certaines limites budgétaires. On a travaillé et, finalement, on a réussi à le faire. Il y avait aussi des questions sur l'avenir, comme avec Lassana (Diarra). Va-t-il rester ? Va-t-il partir ? C'était un peu difficile, mais finalement, je pense qu'on s'en est bien sorti avec les moyens qu'on avait.

Alors, Diarra va-t-il rester ?

Il y a une incertitude dans son cas. La seule chose que je peux dire, c'est qu'il est là aujourd'hui (lire hier). Il n'a pas pu jouer à Nice à cause de son problème de dos, mais un bon Lass', tout le monde peut s'en servir dans le monde du foot. Il y a peu d'équipe où il n'aurait pas sa place.

Expliquez-nous le feuilleton Nkoudou. Pourquoi était-ce si long ?

Je suis entré dans la négociation au moment où c'était quasiment fait. Nkoudou avait déjà passé sa visite médicale, Njie aussi. Quand on me demande de prendre des décisions et de signer des choses, je veux bien en prendre la responsabilité, je ne me cache pas, mais je ne veux pas signer quelque chose qui ne me convient pas, avec laquelle je ne suis pas d'accord.

Comme quoi ?

Ce sont des détails légaux, financiers... J'ai donné mon avis au conseil de surveillance, qui m'a suivi. M. Levy (le propriétaire de Tottenham) était un peu malcontent (sic), mais on s'en est bien sorti. J'ai un très bon rapport avec lui maintenant. Je lui ai souhaité bonne chance pour le championnat, comme lui avec moi, et on reste en contact. Il m'a quand même dit : "Ça, vous ne me le faites plus". Je lui ai répondu que la prochaine fois, j'espérais commencer les négociations dès le début pour ne pas avoir à les reprendre ! (rires)

Et l'option d'achat de Njie ?

Ça, c'est contractuel. Si vous voulez savoir, il faut demander au service juridique. (Il éclate de rire) Vous connaissiez la réponse avant de me poser la question ! Je sais que vous trouverez le moyen de le savoir, mais ce ne sera pas par moi ! (rires)

Que peut espérer l'OM avec cet effectif-là ?

Ça peut paraître bizarre, surtout qu'on n'a pas eu les résultats souhaités pour un club comme l'OM jusqu'à présent. Il ne faut pas le cacher. Mais on a un bel effectif avec des joueurs de qualité, même si on sait que le noyau n'est pas parfait, qu'il nous faut plus d'équilibre sur certains postes. Je pense qu'on peut aller loin.

En quoi consiste votre travail aujourd'hui ?

Après le mercato, j'ai fait l'analyse du noyau présent, puis on étudie les besoins, en fonction des durées de contrat ou des départs, notamment, pour la saison prochaine. On a préparé le mercato de janvier et de juin. Maintenant, c'est à la cellule de recrutement et à moi-même d'arriver avec les bons noms.

Justement, quels sont les besoins pour cet hiver ?

(Il rit) Ça, c'est à vous de juger ! Moi je le fais en interne, vous vous en parlez toutes les semaines. On verra bien.

Un mot sur le fameux contexte marseillais. Dans son audition sur les transferts présumés douteux, dévoilée par L'Équipe Magazine, Vincent Labrune dit qu'il faut "composer et prendre en compte les forces en présence que sont les agents et l'environnement local, à savoir les figures du milieu qui gravitent autour du club". Y avez-vous été confronté ?

Je n'ai été approché par personne. Les gens du milieu... Vous parlez du foot ?

Vous savez de quel milieu on parle...

Non, je n'ai jamais été approché par ces gens-là. Mais je dois dire que c'est un thème que Madame Louis-Dreyfus a touché du doigt quand on s'est rencontré. Elle m'a dit que c'était peut-être un problème il y a 15-20 ans, mais que c'était beaucoup moins important maintenant.

Labrune a quitté son poste le 25 juillet, on parle de l'histoire récente...

Je ne peux pas parler à la place de Vincent Labrune. Moi, en tout cas, je n'ai jamais vu ça. Même si, c'est vrai, des personnes s'interrogent pour savoir pourquoi j'ai déjà été cambriolé deux fois. Moi, je n'ai jamais pensé à ça.

Vous avez fait l'objet de critiques...

J'ai déjà été critiqué ?

Oui, par les supporters et les médias, dont La Provence d'ailleurs...

(Il coupe) Ah, c'est vous ? ! C'est bon, ça !

On a écrit que votre réseau ne captait pas, mais on a aussi entendu dire que vous aviez un emploi fictif... Comment les avez-vous vécues ?

(Il rit) Je ne les ai pas vécues. Je suis là pour l'OM, pas pour me faire plaisir. Peu importe qui a l'idée du joueur si on décide que c'est la bonne personne. Je n'ai pas d'ego à ce point-là. C'est un travail d'équipe. Avec Franck (Passi) et Jean-Philippe (Durand), ça s'est bien passé.

Certains ont dit que vous veniez simplement pour signer les contrats. Ça peut être dangereux...

Vous devez savoir que j'ai été inscrit au barreau de Bruxelles pendant huit ans et que j'ai été avocat de la Fédération belge... Ce que je signe, je le signe. Ce que je ne signe pas, je ne le signe pas. Il faut être clair.

Avez-vous rencontré José Anigo ?

Non, je ne l'ai pas encore rencontré.

Question sur l'avenir. Vous avez rencontré Frank McCourt, mais avez-vous échangé avec le futur président, Jacques-Henri Eyraud ?

Il est clair que le club va changer normalement de propriétaire. J'ai vu que Jacques-Henri Eyraud sera ou serait le nouveau président. Je l'ai déjà vu lorsque j'ai rencontré Fank McCourt. J'espère le revoir le plus vite possible quand tout sera décanté. Car c'est maintenant qu'il faut travailler pour la saison prochaine, se mettre d'accord sur certains principes.

Comment ça se passe dans votre position, où on ne sait pas de quoi demain sera fait ? Vous essayez de vous positionner comme certains ?

Ça ne me préoccupe pas. Et chacun à sa façon de faire. C'est une question de confiance, aussi. Si j'achète un club de foot, j'arrive avec mon équipe. Mais les gens qui sont là, qui sont capables et à qui je peux faire confiance, je les garde. Il faut voir comment le nouveau propriétaire voit les choses.

Avez-vous envie de faire partie du projet McCourt ?

C'est évident. Je suis là pour l'OM. C'est un club de tradition et j'espère pouvoir faire partie de sa remontée. Ce serait une absurdité de dire non. Et évidemment, je ne suis pas venu pour m'écarter après une certaine période. Mais ce n'est pas ma décision.

[gigi]

Information

Gunter Jacob "Non je n'ai pas été approché par les gens "du milieu".

Gunter Jacob à La Provence "Non je n'ai pas encore rencontré José Anigo..."

Sobre et cohérent pour une fois

[pretender]

Il est certain que lorsque tu es ambitieux tu dégages Gunter dès que tu as qqn d'autre de mieux sous la main, ce qui n'est pas difficile. Meme en termes d'image, ça ne l'effectue pas de le conserver.

[boodream]

qui a signé l'interview? Elle semble pertinente, ce me surprendrait d'Alexandre Jacquin.