MassaliaLive.com

[Rocca]

Betsamee, a Totenham il a fait une très belle première année et du bon boulot à Saint Petersbourg. J'aime beaucoup de mec. Et il a un beau costume

[Torben Frank]

Je kiffe très moyen AVB perso.

Et pas la peine de me rétorquer que "ne pas vouloir de AVB quand on a Passi c'est ", merci je suis au courant que ce sera mieux.

Seau ouate ? M'en BLC, j'aime pas epissétout.

AVB c'est un Passi pour riche, le mec est juste nul.

[Herpès Léonard]

J'aime pas AVB non plus, tactiquement c'est pas le foot que j'aime regarder

[Castor_Troy]

AVB c'est un Passi pour riche, le mec est juste nul.

Voilà, ça c'est pertinent!
peezee, prends-en de la graine

[Dragan]

peezee, Vilas Boas ? Telephone a ta grand mere, elle va t'en parler

[peezee]

C'est ça tes arguments en faveur de AVB ? Pas mal. On ne peut que s'incliner devant tant de pertinence.

[Bibpanda]

AVB entraîneur surcôté, pas du tout un formateur, ce n'est pas du tout la bonne personne pour le Projet.

[Dragan]

Bibpanda, qui parle comme QSI

[Dragan]

Quelques elements sur le parcours et la personnalite de Vilas Boas

Article qui date d'il y a quelques annees avant son arrivee en Russie:

Tottenham : y a t-il une patte Villas Boas ?

Tottenham, actuellement 3ème de Premier League, est en train de s'imposer depuis quelques années dans le Big Four. André Villas Boas a pour ambition de faire mieux, à savoir monter sur le podium et pourquoi pas perturber les deux Manchester. Revenons sur cet entraîneur hors du commun, sa carrière et la manière dont il façonne aujourd'hui Tottenham à son image.


Tottenham n’en finit pas d’alimenter la presse sportive. De par ses performances sportives d’une part, mais aussi par son entraîneur André Villas-Boas. Au-devant de la scène publique, il cristallise à lui seul toutes les envies des supporteurs qui voient en lui l’homme de la situation, celui qui pourra optimiser le précieux travail réalisé par le charismatique Redknapp. Et comment le leur reprocher quand on voit le CV de Villas-Boas. Un homme qui use de précocité en devenant l’entraîneur le plus jeune à gagner une compétition européenne, et dont le talent n’est plus à douter. Au terme de la première moitié de saison, il est temps de voir si le technicien portugais Boas a réussi à imprimer sa patte sur cette équipe, à poser sa signature sur chaque performance de Tottenham.
Pour le savoir, nous allons tout d’abord apprendre à connaître André Villas-Boas, l’homme et son parcours.

Un homme audacieux

Pour lui, tout a commencé vers l’âge de dix-sept ans. L’âge de la déraison, l’âge « con » comme on le dit souvent, l’âge de la révolte, l’âge où l’on croit avoir tout le temps raison. C’est un peu ce qui s’est passé pour Villas-Boas, le talent en plus. En réalité, il était un supporteur invétéré du FC Porto, son club de cœur et ne supportait pas de voir son attaquant préféré être relégué sur le banc de touche. Révolté par cette situation et résolu à ne pas laisser passer cette injustice, il décida d’écrire à l’entraîneur du moment, un certain Bobby Robson. Et bien lui en a pris. Interloqué par cet individu, ce jeune adolescent capable par une lettre précise et pertinente de remettre en question les plans tactiques de cet entraîneur de légende, il décida de lui faire confiance et de le prendre dans son staff. Tout d’abord en tant qu’observateur puis, satisfait de la qualité et du rendement de son jeune consultant, en tant qu’analyste. C’est comme ça qu’André Villas-Boas commença sa carrière d’entraîneur, qui deviendra ensuite sa vie.

Un homme ambitieux

Aux côtés d’un des plus grands entraîneurs de l’Histoire, André Villas-Boas tenta un pari qui aurait pu tourner au coup de génie. En effet, s’appuyant sur cette expérience au FC Porto, et sans dévoiler son jeune âge, il postula pour entraîner l’équipe des jeunes des Iles Vierges Britanniques. Et bien lui en a pris puisqu’il put pour la première fois prendre son envol en obtenant le poste qu’il convoitait. Malheureusement, ce fût un échec et Villas-Boas fût congédié après seulement deux matchs et deux défaites humiliantes.

Un homme attentif

Malgré cette expérience peu concluante, et qui aurait brisé la carrière d’autres hommes, sa réputation était déjà telle, et sa précision d’analyse et de tactique reconnue, qu’elles lui ont ouvertes les portes de l’emploi d’assistant de celui qui est depuis devenu l’un des plus grands, si ce n’est le meilleur entraîneur actuel, José Mourinho. un homme qu’il avait déjà connu puisque à l’époque où Villas Boas travaillait comme observateur au FC Porto, José Mourinho était l’assistant de Bobby Robson. A ses côtés, Villas-Boas apprit énormément, notamment sur la science des statistiques, le décryptage du jeu ainsi que le visionnage des séquences afin de transmettre cela aux joueurs qui savaient donc à l’avance le jeu proposé par l’adversaire, ses points faibles et ainsi prendre plus facilement l’avantage sur lui. Il apprit donc à scruter l’opposition, mais aussi à collecter des données, que ce soit sur les adversaires mais aussi sur ses propres joueurs à l’entraînement. Il sut donc que les préparations d’avant-match étaient plus importantes que le match en lui-même qui une fois commencé était joué d’avance si le travail au préalable avait été fait. Il suivit José Mourinho durant de longues années, apprenant d’un modèle qui accumulait les trophées et augmentait sa réputation autant que son palmarès. Il le suivit jusqu’au passage de José Mourinho à l’Inter Milan. Mais ensuite, il était temps pour lui de se détacher du maître et de devenir lui aussi un homme et un entraîneur à part, et non pas une copie : « Je sais que la comparaison va me suivre toute ma vie, mais je ne suis pas un clone. J’ai une personnalité complètement différente de celle de Mourinho ».

Un homme de challenge

Pour (re)commencer sa carrière d’entraîneur, il décida de retourner dans son pays natal, le Portugal. Et là, il prit les commandes d’un club au plus mal, l’Académica Coimbra. Club reléguable quand il est arrivé, il le ramena à la septième place. La légende commençait…
Les yeux tournés vers ce phénomène capable de miracles, les plus grands clubs portugais voulurent se l’arracher. Mais André Villas-Boas n’a qu’un seul club de cœur en son pays. Et c’est tout naturellement qu’il fut désigné entraîneur du FC Porto. Arrivé dans un club où ses deux modèles, Robson et Mourinho, ont déjà brillé, il décida de suivre leurs leçons, un mélange de rigueur défensive, un engagement physique, un pressing haut, une sorte de football total mais en accentuant le côté offensif. Et le résultat fut à la hauteur des espérances de Porto puisque pour sa première saison, André Villas-Boas remporta quatre titres : la Supercoupe du Portugal, le Championnat, la Ligue Europa et la Coupe du Portugal. En arrivant à ce résultat, il dépassa le maître Mourinho qui n’avait pas réussi à obtenir quatre trophées en une même saison au Portugal. Et il obtint aussi le titre de plus jeune entraîneur à remporter une compétition européenne. Un prestige qui lui réserva un nouveau dilemme : soit faire une saison de plus et remporter la Ligue des Champions avec son groupe comme l’avait réussi son aîné, soit quitter son club et aller tenter autre chose, dans un autre club.

Un homme à la main de fer

Il opta pour la deuxième solution et c’est Chelsea qui rafla la mise. Chelsea qui veut enfin remporter la Ligue des Champions voit en lui l’homme idéal. Celui qui a fait mieux que le Special One à Porto peut bien remporter la Ligue des Champions à Chelsea… On aurait pu le croire et c’est avec un début de championnat plus qu’encourageant que Villas-Boas montre la voie. En installant dès le début ses propres règles, sa façon de faire, il dénotait de ses prédécesseurs pour le plus grand bien de l’équipe : « Quand il parle, il vous convainc que ce qu’il dit est juste, que ce soit sur la façon dont il veut que vous jouiez ou sur votre comportement. Son attitude est parfaite. J’ai été vraiment impressionné par l’accent qu’il porte sur les entraînements » dira John Terry. Cependant il veut s’inscrire dans la durée et rajeunir l’effectif. Pour cela, il choisit de mettre certains cadres de côté, notamment l’ex-leader de Chelsea, Didier Drogba. Les premiers résultats sont bons et Chelsea se retrouve troisième de Premier League après sept journées. Mais une suite de défaites pousse Chelsea hors des places qualificatives pour la Ligue des Champions, ce qui le met déjà sur la sellette. Le match aller contre Naples met un terme à son expérience dans le club du richissime propriétaire russe. Cette expérience montre quand même la résistance de Villas-Boas à la pression médiatique, sa domination sur l’équipe malgré un vestiaire qui ne le soutenait plus, ainsi que sa volonté farouche de ne pas lâcher son projet, son idée de base.

Un homme controversé

C’est après ce limogeage que Villas-Boas arrive à Tottenham, à la suite d’un autre très grand, M. Redknapp, qui a par deux fois accroché la quatrième place en Premier League et fût élu manager de l’année en Premier League. Il se retrouve donc avec une nouvelle pression sur les épaules et l’obligation de faire mieux que son prédécesseur. En plus de cela, il se retrouve face à un effectif complètement chamboulé avec la perte de nombreux cadres : Ledley King, Vedran Corluka, Sebastien Bassong, Niko Kranjcar, Steven Pienaar, Luka Modric, Rafael Van der Vaart, Giovani Dos Santos et Louis Saha. Que des joueurs qui feraient du bien à n’importe quelle équipe et qui ont porté à bout de bras Tottenham depuis de nombreuses saisons. Il apprit aussi l’arrivée de Gilfy Sigurdsson, Jan Vertonghen, Emmanuel Adebayor, Moussa Dembele, Hugo Lloris et Clint Dempsey.
Il commença par un jeu en 4-2-3-1 puis, pas vraiment satisfait, passa en 4-4-2 afin de garder un jeu offensif et la possession de balle, et procéder à un pressing haut, et surtout à une très (trop) grande utilisation des latéraux Bale et Lennon (déjà 21 matchs joués en championnat pour Lennon et 17 matchs pour Bale) qui sont un peu les éléments déclencheurs des attaques de Tottenham. Ces derniers sont accompagnés de Moussa Dembele, devenu l’homme à tout faire de Villas-Boas, celui qui a le plus fort taux de passes et de relances réussies, celui qui crée le lien entre la défense et les éléments offensifs. Les rumeurs annoncent un meneur de jeu à Tottenham, qui pourrait être Moutinho ou Sneijder et pourrait apporter à Villas-Boas le joueur qu’il lui faut pour retourner au 4-3-3 qu’il aime tant.

On reconnait la patte de Villas-Boas aussi dans sa manière de diriger l’effectif, et sa volonté de ne pas se laisser dicter ses choix par des éléments (les médias) ou des personnes extérieurs, comme par exemple dans le cas d’Hugo Lloris. Là où la majorité voulait le voir titulaire d’entrée lui a préféré attendre, le faire rentrer petit à petit dans la Premier League mais surtout soigner un des cadres de l’équipe et du vestiaire, Brad Friedel, qui perdait donc sa place de gardien de but au profit de l’international français (un choix peut-être dû à son expérience à Chelsea où cette fois-ci il a évité de se mettre le vestiaire à dos). On la voit aussi dans sa manière de gérer les entraînements, lui qui y accorde une grande place. D’où la plainte de certains qui souffraient de la surcharge de travail et de la tension naissante dans toute l’équipe. Cependant, les résultats sont là et sa manière de faire n’est plus remise en cause. C’est en effet une réussite puisque Tottenham trône actuellement à une précieuse troisième place, fort d’une victoire historique à Old Trafford.

En conclusion, André Villas-Boas apporte sa touche à Tottenham de plusieurs manières. Tout d’abord en prenant plus soin de la tactique par sa fameuse analyse de l’adversaire, quand Redknapp préférait laisser jouer ses joueurs. Il essaye aussi de porter une grande attention à la défense même si pour le moment il n’a pas vraiment trouvé la bonne formule.

André Villas-Boas est l’entraîneur qu’il est grâce à son parcours, de sa rencontre avec Robson à aujourd’hui. Il est en train s’imposer dans cette équipe et d’y apposer doucement sa patte. Mais il plane encore au-dessus de Tottenham l’ombre de l’immense Redknapp qui fut adulé, et il n’est donc pas facile pour Villas-Boas de s’imposer aussi vite qu’il le voudrait. Et surtout, il est compliqué pour lui, dont la réputation précède le palmarès, de satisfaire des supporteurs qui voudraient voir à Tottenham les mêmes résultats que ceux qu’il avait obtenus à Porto.

Apres si tu me demandes entre Bielsa et AVB, y a pas photo pour moi (100 fois Marcel). Mais AVB si Bielsa n'est pas possible doit etre dans la short list a regarder comme R. Garcia et un Van Gaal qui est quand meme un sacre put1 de coach et qui est libre (meme si MU nous laisse sur notre faim - mais sans ca il serait pas libre, et encore recemment il emmene les Pays Bas a la 3e place en coupe du monde). J'aimais bien Prandelli aussi (j'avais vraiment aime son Italie) mais la ca a l'air d'etre fait avec Valence. Apres a voir si y a une chance pour Bielsa, et si non, si on veut un nom qui est passé par plusieurs grands clubs (mais qui va demander beaucoup d'oseille) ou si on va se tourner vers des entraineurs qui ont prouve dans leurs clubs recemment mais dans un club seulement et qui sont pas encore totalement reconnus et qui seront plus des paris (type Marcelino ou meme s'il est pas libre un Gallardo).

Enfin si on se tourne (ou si le DS est deja choisi ce qui serait pas forcement totalement etonnant) vers un DS en 1er lieu, avec qui ce mec voudra / pourra bosser le mieux pour que le club marche

Et quelle dimension McCourt et Eyraud veulent-ils donner a l'OM ? Grande question..

[Dragan]

Doivent vraiment rien avoir a se mettre sous la dent a la Provence



et sa nouvelle coupe de cheveux

[Bibpanda]

Ravanelli j'en veux pas cela veut dire que certain réseau sont toujours là, il n'était pas en corse pour rien.
Bielsa avec notre effectif de merde et du travail il peut en faire quelque chose, et on aurait pas besoin de beaucoup investir au mercato.
Il vient avec son staff on peut garder Passi pour faire le traducteur et l'adjoint la seule chose qu'il est capable.
On pourrait évolué à 3 derrière avec Rolando Doria et Rekik.
Le 3-5-2 pourrait être pas mal et peut être que cabella aurait le même déclic que payet et qu'à force de se faire traiter de Cabron il lâchera son ballon.
Et avec Diarra impliqué, on redresserai la barre rapidement, cet effectif n'est pas merdique pour la ligue 1, il faut un chef d'orchestre qui choisisse le bon schémas tactique avec les joueurs disponibles et je pense le 3-5-2 bien adapté.
Avec Gomis pour harceler la défense adverse et chassé les ballons, Sakai c'est un 3d.
C'est juste numéro 11 qui va être content si il nous fait pas une saison avec Diaby à l'infirmerie...
Van Gaal je pense qu'il deviendrai dingue avec notre effectif.
Et si on veut percer sur le marché sud américain et faire une progression sur le continent américain c'est lui qu'il faut.
En terme de notoriété, de bombe et de buzz médiatique un retour de Bielsa aurait des retombés en terme d'image très importante, car c'est lui qui a fait rebander les marseillais et revoir du jeux comme dans les années 1990.
Et au moins avec lui tu peux négocier sans que cela ne fuite dans la presse.
Et si il faut vraiment structuré notre formation, il peut le faire et l'a déjà fait et en plus il connaît bien le club en ayant fait un audit sportif.
Et il a bien plaqué la lazio pour une putain de raison.

[El Khadra]

Si Bielsa vient, on récupère Aranguiz ou pas ?

[randoulou]

On récupère pas Doria en tout cas

[El Khadra]

Merde, se priver de notre meilleur défenseur Heureusement que Bielsa reconvertira Sarr en un stoppeur de grand talent qu'on revendra en Angleterre 25M

[Bibpanda]

Il a eu le temps de s'adapter au football européen, surtout vu comment le football brésilien est sur côté et tout ses à côtés. Et je pense que c'est pour le principe, tu ne fais pas partir Mendés qui est acclimaté au jeu européen pour faire venir un brésilien qui aura la barrière de langue surtout en fin de mercato.
Cela pourrait bien se passer et cela pourrait lui être bénéfique comme à Morel.
Ensuite au mercato d'hiver tu corriges en recrutant malin, dans les championnats sud américain, mais plus côté argentine, chili, faire du scouting aussi aux Usas, il doit bien y avoir un ou deux joueurs potables et qui ont du talents là-bas.
Il y a déjà un club de supporter de l'om à New York.

Putain, l'Om a un énorme potentiel à l'internationale.

[boodream]

Dragan, je garde un très très bon souvenir du joueur mais qu'il arrête de se donner en spectacle régulièrement, il fait pitié avec ses appels du pied alors qu'il n'a aucune légitimité comme coach.

[pretender]

S'il veut etre un jour entraineur de l'Om, qu'il commence déjà par faire ses preuves ailleurs et sinon avoir des résultats, au moins montrer un coaching ou management intéressant. Parce que là, il prend le boulard s'il croit qu'on va lui filer les clés de l'équipe A comme ca.
A la limite entraineur des attaquants, là pourquoi pas.

[ruby]

Pas pour relancer le débat mais niveau professionnalisme , beauté du jeu et engouement des supporters Ben je vois pas mieux que Bielsa pour l'OM

[matchom]

Pour moi c'est soit Rudi Garcia pour sa parfaite connaissance de la L1 soit Bielsa pour les raisons que j'ai évoqué plus haut.

[Dragan]

Ah bein voila - j'ai enfin trouve le profil adequat. Je crois que si McCourt le prend comme entraineur, je suis pret a rempiler pour 10 ans de plus au club les enfants #TeamOMaveclescouilles #Gomisaimeca

Toni s'est lâché sur les anecdotes, et notamment sur Van Gaal, qu'il ne porte vraisemblablement pas dans son cœur. Et vice versa. « {Il est arrivé une chose folle, jamais vécue auparavant. Dans les vestiaires, Van Gaal voulait mettre au clair le fait qu'il pouvait remplacer n'importe quel joueur indépendamment de son nom, parce qu'il avait des couilles. Et pour le prouver, il a baissé son froc devant nous} » raconte le géant italien, qui en a aussi, pour balancer ce genre de dossier.

bon sinon vous pensez qu'un bielsa pourrait vraiment bosser avec un monchi ? et vice versa ? (si par le dernier des hasards ca pouvait arriver ?)