Betsamee a écrit:Comprenez moi bien, je condamne les cons qui ont balance des petards sur le terrain.
Mais je conchie l utilisation abjecte qu en fait l OL, ca va finir par 3 pts gratuits, c'est un scandale.
Tu condamnes rien du tout quand tu reproches à un joueur agressé de pas être forfait le match suivant sous prétexte qu'il est pas clairement blessé. C'est comme si on estimait que l'agression de Thauvin était une blague puisqu'il a joué 3 jours après avoir été étranglé...
Après, sur Aulas et l'OL on peut discuter mais ils ont raison de défendre leurs intérêts alors qu'un match rejoué compliquerait leur calendrier.
Même si Aulas est irritant sur la forme, les 3 pts soi disant gratuits feront le cul des délinquants messins et de leurs complices (n'ayons pas peur des mots) qui je l'espère prendront aussi très cher individuellement. Parce que ça m'a fait justement bien chier que l'arrêt du match profite à l'OL. Ça doit plus se reproduire.
Il est temps de bien faire capter aux délinquants que chercher à blesser un joueur équivaudra à torpiller la saison de son équipe. Les amendes filées au club ils s'en tapent, les huis clos ça pénalise tout le monde, les IDS de 3 mois ça sert à rien, les délinquants reviennent tandis que la direction des clubs et des groupes s'en branlent un peu des petites peines individuelles.
Laisser courir c'est risquer la fin du foot populaire. Le jour où un gardien sera vraiment blessé, les politicards défonceront tous les virages.
Concernant Aulas, j'aimerais surtout que la com de discipline l'interdise x années de zone mixte pour ses sorties qui chauffent au quotidien les supporters. Pour le coup il est dans son rôle après Metz mais sa trop forte pression sur les abritres et son chambrage sur les RS favorisent les contextes délétères autour de son équipe.
C'est anormal de tolérer le comportement de racaille d'un président phare de 65 balais censé montrer l'exemple quand on sanctionne régulièrement des supporters sans distinction, des coaches dépressifs et des joueurs immatures qui ont un peu plus d'excuses pour craquer.