[U17/19/20-WWC-Copa América] Compétitions internationales

Qatar et Japon sont invités. C’est absurde mais pas la premiere fois que des equipes sont invitees en Copa America.

Delio, OK je ne savais pas. M'enfin cela me laisse perplexe..

Le onze de l'argentine face au Qatar :

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Armani; Saravia, Foyth, Otamendi, Tagliafico; Paredes, Guido Rodriguez, De Paul; Messi, Kun Aguero, Lautaro Martínez .

Je les vois bien gagner, passer et se faire ouvrir en quart. Ils savent faire ça

Qatar et Japon sont invités. C’est absurde mais pas la premiere fois que des equipes sont invitees en Copa America.

Ca apporte un peu de sang neuf et d'incertitude dans une compétition où s'affrontent toujours les mêmes équipes depuis 100 ans avec des schémas de jeu et des cultures tactiques très marquées. Bref, au début j'étais contre, maintenant je trouve ça intéressant.

Sinon ça n'avance pas plus avec Scaloni qu'avec d'autres avant lui, toujours les mêmes symptômes, toujours la même absence de traitement. Quand Messi sera parti, qu'el Muneco sera nommé DT on pourra peut-être penser à l'avenir.

Quelle déprime putain. Ma génération aura connu Kempes et 78, Maradona et 86 (et la descente aux enfers), Messi marchant sur l'eau en Europe et son fiasco intégral avec le maillot albiceleste. Illisible.

L'argentine bat le qatar et se qualifie en 1/4

Je reviens sur le gamin de Gheorghe Hagi qui joue avec les espoirs roumains, y'a un papier de l'Equipe sur lui, et un peu sur son père, je savais pas qu'il était aussi investi dans le renouveau du foot local :

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Hagi, l’héritier des Carpates

Milieu offensif comme son père Gheorghe, Ianis Hagi est le visage de la génération qui veut redresser la Roumanie.

Le père et le fils sont l’épicentre de la fièvre jaune qui anime les matches des Espoirs roumains : Ianis Hagi brille sur le terrain et son père Gheorghe, légende vivante du pays, irradie en tribunes où il attire tous les regards. Meilleur joueur de l’histoire de la sélection nationale, le « Maradona des Carpates » est resté une icône qui a parfois du mal à se frayer un chemin parmi les supporters qui veulent l’approcher. Il a quitté avec difficulté le stade de Cesena, vendredi, après une nouvelle démonstration (contre l’Angleterre, 4-2) de l’équipe qui tire un trait d’union avec sa génération, connue pour avoir atteint les quarts de finale de la Coupe du monde 1994.

Absents de l’Euro Espoirs depuis 1998, les Roumains réussissent un spectaculaire retour, et Gheorghe Hagi n’y est pas pour rien. Onze des vingt-trois Roumains sont issus de l’académie du Viitorul Constanta, le club qu’il a fondé en 2009 parce qu’il ne s’entendait pas avec les dirigeants du Farul Constanta, où il a été formé. Il s’occupe de tout au Viitorul, des petits aux grands, et entraîne l’équipe première qui s’appuie sur le talent de son fils, parti à la Fiorentina en 2016 avant de revenir en 2018 pour 2 M €, afin de reprendre le fil de sa progression.

À vingt ans, il compte déjà cinq sélections avec les A et il est désormais mûr pour redécouvrir l’étranger. Buteur contre la Croatie (4-1, mardi) et l’Angleterre, il vit l’Euro comme un tremplin qui peut l’amener loin : il est regardé de près par la Premier League et Galatasaray, le dernier club de la carrière de Gheorghe, de 1996 à 2001. Ianis est d’ailleurs né à Istanbul en 1998 et il porte naturellement le numéro dix comme son père, qui va encore délaisser son équipe, en stage d’avant-saison, pour assister aujourd’hui au match. Il ne sera pas déboussolé car la sélection est fortement imprégnée par ses principes, au-delà des joueurs alignés.

Elle est organisée en 4-3-3, le schéma tactique enseigné à l’académie du Viitorul qui a été créée par Hagi pour soutenir le renouveau du foot roumain. « Tout était planifié, j’avais ma vision et je l’ai concrétisée pour arriver au succès. Notre football avait perdu l’école et le professeur. Nous sommes revenus aux fondamentaux pour lancer une génération meilleure que la nôtre, nous confiait-il en mars, avant d’évoquer son fils. Il est intelligent et talentueux, mais doit encore progresser. Il a les deux pieds et de la personnalité. On est différents mais à l’intérieur, on est les mêmes. »

Ianis n’a donc pas peur de grand-chose, et Sylvain Ripoll n’a pas attendu les derniers matches pour s’en apercevoir. « Je le connais très bien après avoir beaucoup observé la Roumanie. C’est un excellent joueur capable d’accélérer et de donner de bons derniers ballons, analyse le sélectionneur des Bleuets. Hagi est très actif, aussi à l’aise avec le pied droit qu’avec le pied gauche. Il est l’une des armes de la Roumanie mais elle en a beau- coup. » Il est quand même celle qu’on remarque le plus, et ce n’est pas qu’une affaire de patronyme.

Kenshi, ouaip et Viitorul Constanta a une bonne "équipe test-formation" qui est regardée depuis quelques temps à l'échelle européenne des observateurs. Hagi père a transmis son idée du jeu, et plus barcelonesque que de victoires purement et simplement en se moquant de la qualité de jeu.

En 10 ans, c'est dingue d'en arriver à ce niveau là, non ? Enfin j'y connais pas grand chose mais quand je lis que "onze des vingt-trois Roumains sont issus de l’académie du Viitorul Constanta", je me dis que ça doit remarquablement bien fonctionner ouais. Ou alors que les autres clubs "formateurs" du pays sont dans un sale état, mais la sélection espoir roumaine a l'air de plutôt bien marcher sur cet Euro

Sans vouloir être cynique, et j'ai énormément admiré le joueur, il est surtout impliqué dans le renouveau de la mafia locale

boodream, chut, laisse moi ignorer ce genre de trucs quand ça concerne des joueurs que j'ai adoré

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