[U17/19/20-WWC-Copa América] Compétitions internationales

Et j'oubliais évidemment Foyth, Juan « muscle ton jeu et forge ton mental », ancien étudiant de La Plata.

Le Bresil va falloir aller les chercher. Le voilà le veritable favori.

A l'heure actuelle, on a sans doute 3 équipes au-dessus : Brésil, Espagne, Allemagne.
Cela ne m'étonnerait guère qu'une victoire du Brésil de Tite avec la force de ce dernier, et peut-être le succès dans ce tournoi comme grande star de l'ange Gabriel Jesus.

Putain, ça me vient à l'esprit maintenant...mais que foutait Kevin Trapp à la place de MA Ter Stegen ??? C'est le catalan qui devrait être la doublure de Manuel Neuer.

En 2018, on ne peut decement pas aligner un joueur qui se prenomme Marc Andre, y avait pas d'autre option

Ces matchs ne veulent rien dire, un tournoi mondial c'est autre chose qu'un simple match amical, il d'autres paramètres qui entrent en compte comme les blessures

Putain, ça me vient à l'esprit maintenant...mais que foutait Kevin Trapp à la place de MA Ter Stegen ??? C'est le catalan qui devrait être la doublure de Manuel Neuer.

Ter Stegen a joué contre l'espagne. C'était l'équipe B contre le Brésil

Le Bresil va falloir aller les chercher. Le voilà le veritable favori.

A l'heure actuelle, on a sans doute 3 équipes au-dessus : Brésil, Espagne, Allemagne.
Cela ne m'étonnerait guère qu'une victoire du Brésil de Tite avec la force de ce dernier, et peut-être le succès dans ce tournoi comme grande star de l'ange Gabriel Jesus.

Mouais, je le trouve personnel, Jesus

pretender, est ce que ca peut jouer comme ca ?

+ Aguero, Higuain, Pastore, Lo Celso et compagnie pour le banc

Ou tes 2 lateraux Tagliafico et Bustos sont vraiment au dessus a ces postes la car de vrais lateraux ?

Coupe du Monde 2018 : l’Argentine, chantier permanent

Après une campagne de qualification usante, on attendait de voir l’Argentine se remettre dans le bon sens et profiter de la sérénité apportée par la qualification pour construire et poser les bases d’un candidat au titre. Raté. Après la débâcle face au Nigeria, la victoire italienne n’aura été qu’un incident avant une déroute totale, mondiale qui plonge l’Albiceleste dans le puits des doutes.

Oublié la défense à trois. Le naufrage amical face au Nigeria a sans doute planté quelques graines, à moins que seule l’absence de Messi n’ait poussé Sampa à chercher un plan B, l’Argentine a abordé ses deux matchs amicaux européens avec le grand retour de la défense à quatre. La bonne nouvelle, c’est que cela signifiait enfin le retour de spécialistes à leur poste (adieu Acuña latéral) et surtout offrait aux joueurs des lignes arrière la possibilité de jouer à leur position fétiche. Le calsidense avait donc opté pour le duo estampillé Independiente Tagliafico – Bustos dans les couloirs, Otamendi étant associé à Fazio face à l’Italie et à l’indéboulonnable Rojo face à l’Espagne. Fini le 3-4-3 sampaoliesque donc et place à une grande tendance en AmSud (et aussi en Europe), un 4-2-3-1 qui supposait donc une association sentinelle – relanceur en milieu défensif, d’un vrai numéro 10 pour orchestrer la manœuvre, de vrais ailiers sur les côtés et d’un pur neuf en pointe. Le moins que l’on puisse dire est que Sampa n’a pas fait ce choix. Que ce soit face à l’Italie, Lanzini excentré côté droit, Lo Celso en 10, ou soit face à l’Espagne avec Meza posé dans un couloir (!!) et Banega en créateur devant un duo ultra défensif Biglia – Mascherano (oui parce qu’on ne sait pas vraiment comment définir Biglia). Un point commun cependant, Pipita Higuaín de retour devant.



Depuis des mois, tout au long de la campagne de qualification, notamment depuis l’arrivée de Sampa, nous n’avons eu de cesse de pointer l’absence de cohérence de cette équipe, les choix étranges (parfois contraires à toute logique) opérés par le calsidense, si l’Italie n’a pas permis de les mettre en évidence, l’Espagne l’a fait avec brio. Certes l’Argentine s’est imposée face à la Nazionale, on n’oubliera cependant pas de noter que, comme par hasard, elle a montré un meilleur équilibre lorsque Pavón a pris le couloir droit et permis à Lanzini de se replacer dans l’axe, au cœur du jeu aux côtés d’un Banega, plus efficace que Paredes. Mais face à un adversaire d’un autre calibre, ce sont ses carences, souvent soulevées aux cours des derniers mois, qui ont explosé aux yeux du monde. Comment créer du jeu lorsqu’on associe deux milieux défensifs collés à la défense ? Comment créer du jeu quand l’un des rares joueurs capables de le faire au coup d’envoi est exilé sur un côté dans un rôle d’ailier qui n’est pas le sien ? Pourquoi donner les clés du jeu à Banega qui n’est pas un numéro 10 et excentrer dans un couloir le pauvre Lo Celso, qui pourrait faire ce travail (il l’avait montré à Central) même s’il s’exprime véritablement à pleine mesure lorsqu’il est libre, associé à un autre meneur de jeu (rappelons son association à Cervi à l’époque de son éclosion) ? Comment créer du jeu quand la défense n’est jamais la même, n’est qu’un chantier constant sans aucun repère et manque ainsi du moindre automatisme ? L’Argentine se cherche, n’a pas de schéma. Elle est évidemment capable de fulgurances, mais elle n’a pas de football. Face à une Espagne parfaitement rodée, parfaitement équilibrée, elle l’a payé au prix fort en concédant son quatrième revers le plus large de l’histoire (après les 1-6 face à la Tchécoslovaquie en 1958, le 0-5 face à la Colombie en 1993 et le 1-6 face à la Bolivie en 2009).

Une équation insoluble

Mais le principal souci de cette équipe d’Argentine est que son style de jeu, sa philosophie générale n’a qu’un nom : Lionel Messi. En d’autres termes, l’Argentine n’a pas de style, aucun plan B, elle ne dépend que de son génie, de plus en plus isolé au milieu d’un désert d’incohérence. L’heure n’est pas à jouer les Cassandre, d’autant qu’une phase finale de Coupe du Monde n’est pas un match amical, mais cela fait des années que l’Argentine a oublié les bases d’un sport dont elle est l’un des plus beaux représentants. On a coutume d’aimer la démesure argentine dès lors qu’il s’agit de parler de football, c’est ce qui fait son charme. Pourtant, cela fait des mois que nous ne cessons de pointer que cette démesure, qui la fait s’enfoncer dans une absence totale d’analyse de ses maux, est en train de lui coûter bien plus qu’un simple set perdu en amical face à un candidat au titre suprême en 2018. Il suffit de voir les analyses d’après déroute, seules les erreurs individuelles sont pointées, le raté d’Higuaín en première période est rendu responsable de tout. Son avant-centre est conspué, insulté, trainé dans la boue. La génération actuelle était annoncée la plus belle de toute l’histoire, à l’heure actuelle, alors que le crépuscule se rapproche, elle n’a rien gagné. Les sélectionneurs passent, sept en dix ans, les maux restent les mêmes, l’équation identique, jamais résolue : L’Argentine possède le meilleur joueur du monde, elle est incapable de le faire jouer (seul Martino y est véritablement parvenu, surtout lors de la Copa America chilienne). Jamais dans l’histoire des génies n’ont pu s’exprimer que s’ils étaient seuls. Si on se focalise uniquement sur l’Argentine, Maradona avait une équipe bâtie pour lui, autour de lui en 1986, Bilardo avait construit un bloc cohérent. À l’échelle des clubs, l’Argentine sait faire jouer ses génies, ses créateurs. Bochini était la pierre angulaire de l’Independiente des années 70-80, il était entouré de joueurs aux qualités complémentaires, à un collectif parfaitement équilibré qui lui permettait de donner sa pleine mesure. Riquelme possédait autour de lui les hommes nécessaires à son épanouissement, là encore, le Boca de Bianchi était d’un équilibre parfait. Les exemples sont légion. Cette notion d’équilibre, tellement répétée par un Bauza viré comme un malpropre, insulté et aujourd’hui ostracisé, est toujours aussi absente dans cette sélection sauce Sampa. « Il est essentiel de construire le cadre idéal pour que la magie se développe », avait déclaré Menotti, ce cadre n’existe pas.

Et pourtant, malgré tout et parce qu’il est Messi, Leo continue de porter l’Argentine à lui seul sur ses épaules comme il l’a fait à Quito pour la qualifier, comme il le fera à n'en point douter en Russie en juin prochain. Mais il est sa seule idée. Sans lui, l’Argentine n’est pas quelconque, elle n’est rien. La leçon reçue en Espagne en a apporté la preuve définitive. Les analyses d’après match, qu’elles soient de la presse argentine ou pire, de Sampa, pointent seulement un manque d’efficacité, des erreurs individuelles. Elles oublient de souligner que l’Albiceleste n’a pas de collectif. À se détourner d’un football dont elle était le plus beau symbole, l’Argentine peut toujours se voir en futur champion du monde, à l’heure actuelle, elle devrait surtout se demander si elle est capable de passer le premier tour. Ce manque d’humilité qui lui faisait dire qu’elle viserait le titre alors même que son billet n’était pas encore assuré pourrait lui coûter cher. Il ne lui reste que deux petits matchs amicaux, face à une Bolivie capable de perdre à Curaçao, et face à Israël, 94e mondial. Bien court pour construire, sans doute suffisant pour se rassurer quelque peu. Mais même là on peut émettre quelques doutes.

http://lucarne-opposee.fr/index.php/act ... -permanent

Dragan, je pense sincèrement que non.

Et je doute aussi que Sampaoli se dirige vers cela.
Je pense aussi que Biglia est un joueur important de l'Albiceleste pour fluidifier le jeu.
Romero/Caballero, c'est kif-kif vu qu'aucun ne fait vraiment la différence.
Fazio-Otamendi, pour moi, c'est effectivement la paire qui doit être alignée.

Côté latéraux, Acuña tu peux te le permettre face à des équipes plus faibles mais pas face à des opposants qui imposent leur jeu et/ou sont à l'aise et surtout joue rapidement avec le ballon. Ce défaut est encore plus évident pour Mercado que j'aime beaucoup. Mercado peut apporter son expérience, son vice, son leadership et sa polyvalence comme DC en cours de match au cas où mais maintenant, côté vitesse, il sera vite dépassé.
Bustos manque d'expérience au + haut niveau, et aussi d'attention au marquage.
Tagliafico, je pense que la perf' d'hier était passagère. Et je pense que Sampaoli le remettra.
Sur cette question des latéraux, le souci est que là encore, rien ne se détache vraiment.

Au milieu, Banega souffre toujours de son irrégularité, et parfois donc de ses défaillances de marquage.
Peut-être préférer Pablo Pérez que je n'apprécie pas particulièrement au milieu, c'est là où j'ai le plus de doutes sur l'aspect défensif sur ce qui serait mieux pour cette équipe.

Di Maria, je le trouve un peu surestimé sur ses dernières perfs.
Peut-être mettre Lanzini aussi à droite.
Devant avec Messi, je mettrais davantage Higuain avec Meza (chose que Sampaoli a peu de chances de faire en début de match à mon avis). Aussi parce que ce dernier apporte toujours du danger pour l'adversaire et qu'il est l'un des plus polyvalents offensivement de l'équipe. Je le trouve plus convaincant que Pavon sur la période actuelle.


Je serai curieux de savoir ce qu'en pensent entre autres Delio, Le Messager du Hokuto et évidemment Fidel sur ce sujet, et me corriger s'il pense que j'énonce là des saucisses

D’accord avec toi sur toute la ligne

Globalement au milieu et derrière, l’Argentine manque de talent à mon sens et ne dispose pas des joueurs possédant suffisamment d’experience du très haut niveau et faisant partie du haut du panier mondial. Gros desequilibre entre les forces vives offensives et défensives.

Et ce 4-4-2 losange me semble foncièrement déséquilibré. Mascherano sur la fin ne pourra assumer seul les tâches défensives. A ce jour seul Biglia semble avoir le niveau/profil pour offrir un brin de stabilité défensive à l’Argentine. Banega m’exaspère à jouer sur courant alternatif et dans un tel dispositif, s’il devait voir le jour, je l’aurais vu plus haut.

Modifié en dernier par Delio le 28 Mar 2018, 21:15, modifié 1 fois.

Est ce que l'Argentine à l'instar du Portugal devrait se mettre en mode Joga Mochito pour gagner ?

J’y ai pensé sauf que ça l’Argentine ne sait pas bien faire. Et surtout pas Sampaoli qui préfererait renier ses enfants que ses principes de jeu.

Le Portugal avait un 11 autrement plus equilibré/cohérent que celui de l’Argentine, ou les postes d’arrières latéraux sont très peu couverts.

Et repasser à 3 centraux ? Otamendi Musacchio Fazio et des joueurs de cote plus offensif (Ocampos et un autre...)

Le Bresil va falloir aller les chercher. Le voilà le veritable favori.

A l'heure actuelle, on a sans doute 3 équipes au-dessus : Brésil, Espagne, Allemagne.
Cela ne m'étonnerait guère qu'une victoire du Brésil de Tite avec la force de ce dernier, et peut-être le succès dans ce tournoi comme grande star de l'ange Gabriel Jesus.

Mouais, je le trouve personnel, Jesus

Je l’ai

Rien à voir mais dans l'article de LO, je ne vois pas pourquoi les points de suspension après Meza évoluant dans un couloir, sachant qu'il l'a déjà fait et que cela ne date pas d'hier.

C'est ce qui le fait en partie être aussi estimé, le fait de pouvoir évoluer comme milieu offensif et ailier. Il a même évolué comme latéral plus jeune.

Dommage qu'on ne recrute pas à ce poste chez nous car lui le dépositaire actuel du jeu d'Independiente, je l'aurais bien pris. Mais il est plutôt parti pour rejoindre Tottenham, et ca ne partira sans doute pas à moins de 15 millions. Et voire bien plus s'il va à la CdM et a le moyen de se distinguer.

J'y pense, mais Low est à la tête de la NM depuis...2006. impressionnant cette longévité quand même. Et très rare.

La fédé allemande avait clairement fait le bon choix après ses premiers échecs (qui n'avaient rien d'infamants, loin de là, deux demi, une finale perdue). Et il me semble qu'il doit être prolo jusqu'à 2020.

Rocca, merci

Je l'ai pas.

Parce que t'es un boloss faut être à la dépêche mode pour l'avoir.