fourcroy a écrit: Non. Enfin, oui et non. Ca n'empêche pas que des faits de jeu assez systématiquement défavorables aient alourdi la note. Avec un peu de chance, on prend 6 points contre Lyon et un contre Paris. Au minimum, 4 points contre Lyon. Ca ne fait pas 15 points, mais ça fait quand même une différence, notamment une victoire contre un concurrent direct.
Après, sur un plan strictement mathématique, 5 ou 6 faits de jeu contraires de suite, c'est totalement banal.
Je ne suis pas d'accord.
Contre Lyon à l'aller, nous ne marquons pas. Nous aurions pu bénéficier d'un pénalty, c'est vrai, même si pénalty n'est pas forcément égal à un but (nous en avons déjà manqué cette saison et n'avons pas de tireur attitré).
Contre Lyon au retour, le "but" d'Ocampos aurait pu être sifflé, tout comme une faute aurait pu être sifflée sur leur gardien pour la même action sans que l'on crie au scandale (Ocampos emporte quand même le gardien et le ballon dans le but en se jetant).
Contre Paris, objectivement, nous sommes dominés sur les deux matchs.
Seul le match de Bordeaux au retour peut vraiment faire rager. Mais une nouvelle fois, hors erreur d'arbitrage, on doit ramener au minimum 1 point du déplacement. Le but que l'on prend est une aberration défensive avec 6 joueurs marseillais dans la surface qui sont au marquage de... PERSONNE, alors que seuls 2 bordelais sont dans la surface.
Tout ça pour dire que l'analyse de ces défaites et "faits contraires" comprend toujours une bonne part de subjectivité.