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Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

07 Mar 2023, 15:17

Le Graet aime ça :cool:

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

07 Mar 2023, 16:10

randoulou a écrit:Le coach d'Angers :shock:
Il fait jouer son joueur qui a admis avoir touché une femme et sort à son groupe "on a déjà tous fait ça" pour justifier sa présence :shock:

Et le commu-niqué du SCO n'est pas mieux...

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

07 Mar 2023, 16:28

«On a tous déjà touché des filles»: L'entraîneur d'Angers Bouhazama démissionne après ses propos déplacés

https://www.lefigaro.fr/sports/football ... s-20230307

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

07 Mar 2023, 17:52

Ils ont oublié de retranscrire le "ooooh ça va!" Avant la phrase

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

09 Mar 2023, 22:56

Information
Faux agent ou victime du système ? Karim Aklil était jugé hier pour avoir exercé sans titre notamment dans des transferts concernant l'OM

La grosse montagne a accouché d'une petite souris. En juillet 2011, l'ouverture par les juges Thierry Azéma et Christophe Perruaux d'une information judiciaire portant sur des liens supposés entre le milieu corso-marseillais et l'OM avait fait l'effet d'une bombe à fragmentations.

Déclenchée à la suite de l'assassinat de Jacques Buttafoghi à Calenzana, en Corse, l'enquête s'était nourrie d'écoutes téléphoniques dévoilant les sombres dessous du football, puis progressivement, elle s'était déportée sur des soupçons "d'extorsions en bande organisée" pratiquées par des figures du banditisme. Ces équipes évoluant principalement dans la région aixoise auraient méthodiquement relevé une dîme sur nombre de transferts de joueurs, des prolongations de contrats, ou encore, sur des salaires artificiellement gonflés au préjudice du club olympien.

Tour à tour, le banc et l'arrière-banc des dirigeants étaient placés en garde et (ou) mis en examen : Vincent Labrune, Jean-Claude Dassier, Pape Diouf, Antoine Veyrat, Philippe Perez... Mais aussi, un agent fiché au grand banditisme, Jean-Luc Barresi, et son associé sur plusieurs transactions, Karim Aklil...

Cependant, malgré des investigations tous azimuts, l'affaire vendue sous le nom ronflant de "dossier mercato" avait progressivement fait pschitt. Tous les protagonistes étaient parvenus à faire annuler leur mise en cause, "pour défaut d'indices graves ou concordants", et l'ordonnance de renvoi, rendue en catimini, en mai 2022, avait sonné comme un fiasco. Les comptes n'étaient pas bons pour la justice : seuls deux "rescapés" restaient poursuivis pour des faits mineurs d'exercice illégal de la profession d'agent de joueurs, passibles d'un an de détention et de 15 000 euros d'amende.

Le premier, Farid Ayad, a sagement reconnu sa responsabilité et a accepté la procédure accélérée du plaider-coupable. Il a été condamné à 6 mois de prison avec sursis. Le second, Karim Aklil, s'est présenté hier devant la 6e chambre du tribunal correctionnel de Marseille dans l'espoir d'une relaxe.

Agé de 46 ans, ce Marseillais au physique solide est mis en cause pour avoir touché des commissions sur huit transferts réalisés par sa société Gilino Sport Corporate, entre 2008 et 2009, notamment le départ de Karim Ziani à Wolsbourg, le recrutement de Souleymane Diawara à l'OM et la prolongation de Mamadou Niang...

Problème : à cette époque, malgré plusieurs tentatives et un niveau scolaire élevé, il avait échoué au concours d'agent de joueurs. "Quand j'ai monté ma société de management de sportif de haut niveau, j'ai pris le soin de consulter des experts en droits du sport. Je connaissais les règles", s'explique-t-il à la barre. "J'avais un rôle de conseiller auprès des athlètes, que ce soit dans l'accompagnement, la conciergerie ou le marketing. Mais je n'ai jamais signé aucun contrat en activité en rapport avec l'activité d'agent de joueurs ! Du moins, jusqu'à ce que j'ai mon diplôme en 2009".

La signature était jusque-là dévolue à l'un de ses associés minoritaire, Didier Girard, qui, lui, possédait le précieux statut. "Je le consultais régulièrement. Il m'apportait sonexpérience. Didier est un notable, le patron de la foire, à la réputation parfaite", force le trait le prévenu. Pour l'accusation, au contraire, Didier Girard servait de "prête-nom" qui se contentait de poser la pointe de son stylo après que tout a été négocié de A à Z par Karim Aklil. Auditionnés, des dirigeants et des joueurs ont convenu que c'est bien Aklil qui était principalement en contact avec eux. "J'en ai eu des agents, mais Karim, c'était le meilleur", a maladroitement complimenté Diawara.

Plusieurs des affaires juteuses menées par Karim Aklil ont été conclues en association avec Jean-Luc Barresi, agent assermenté à cette époque. "Je sais qu'il a un nom sulfureux. Mais dans le football, les dossiers se mènent souvent en collaboration. Chacun profite des contacts de l'autre. la confiance était là", explique le prévenu.

En partie civile, l'avocat de l'OM, Me Olivier Baratelli, voit un autre lien d'intérêt à ce binôme : "Monsieur Barresi faisait peur, monsieur Aklil faisait le reste" tacle-t-il. "Karim Aklil fait parti d'un entourage aux noms lourd de sens, avec les Barresi et Anigo, qui sont sur une liste noire. Le nouvel actionnaire entend désormais dénoncer toutes les infractions qui pourraient être portées à sa connaissance et récupérer les préjudices du passé", poursuit la défense de l'OM, en chiffrant le manque à gagner pour le club à 2,6 millions d'euros. "Pendant des années, l'OM a été la poule aux oeufs d'or. Il fallait faire un maximum de transactions pour que tous puissent se payer sur la bête", appuie le prcureur, Jean-Yves Lourgouilloux. En défense, on refuse de rejouer le match précédent, qui s'est achevé par un non-lieu général. "Ce qu'on reproche à mon client aujourd'hui, c'est de la pipette", balaye Me Rebufat. Ce procès est une faute de droit. Il n'a jamais signé aucun contrat et il n'a agi que sous la direction de Didier Girard", recadre-t-il.

Avant cela, visiblement agacé de se retrouver seul à la barre - "d'autres dont Didier Girard auraient pu être à vos côtés comme complices", a convenu le procureur - Karim Aklil avait fait sien un vieil adage, voulant que meilleure défense soit l'attaque : "J'ai lu l'intégralité dossier. Toute cette affaire est partie d'une dénonciation calomnieuse de Jean-Pierre Bernès (agent de joueurs et de Didier Deschamps, nldr) à une conseillère de Nicolas Sarkozy. Il lui a dit qu'il y avait la guerre civile à Marseille. En réalité, tout s'est dégonflé. Bernès voulait simplement éliminer la concurrence", cingle-t-il. Et de s'attirer l'ironie du parquet : "Mais si vous n'étiez pas agent, ce n'était pas un concurrent ?". La décision sera rendue le 10 mai.

La Provence

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

12 Mar 2023, 07:27

https://www.instagram.com/reel/Cpab7p9u ... MyMTA2M2Y=


Ah ouais stylé :lol:

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

22 Mar 2023, 11:34

Information
TRIBUNAL CORRECTIONNEL; L'ex-dirigeant de l'OM , l'administrateur et le bakchich d'un million d'euros

La somme est (chèrement) symbolique. Hier, Me Brusa, avocat de Jean-Pierre Bernès, a réclamé 1 million d'euros de compensation pour le préjudice moral de son client. Le montant exact qu'auraient tenté de lui soutirer en dessous-de-table les trois prévenus jugés depuis lundi devant le tribunal correctionnel de Marseille pour tentative d'extorsion en bande organisée.

Au coeur de ce système, un ex-administrateur judiciaire, Michel Gillibert, 70 ans aujourd'hui. Chargé en 2014 par le tribunal de commerce d'obtenir de Jean-Pierre Bernès, ex-dirigeant de l'OM et agent de joueurs, le remboursement d'une dette datant de 1998 (il avait été condamné solidairement avec Bernard Tapie à payer une amende civile de plus de 11 millions d'euros pour des détournements de fonds), Michel Gillibert avait missionné deux de ses connaissances, Simon Fedon et Richard Laaban, affiliés au grand banditisme, pour l'approcher. Entre 2014 et 2015, ils auraient ainsi négocié un règlement "amiable", bakchich inclus, au cours d'une série de rencontres à l'ambiance parfois tendues dans la région marseillaise.

Interrogé hier, Michel Gillibert, désormais retraité, a affirmé n'avoir jamais envisagé le recours à un dessous-de-table, ni à la contrainte. "Simon, je l'aimais bien, mais c'était un affabulateur (Simon Fedon est depuis décédé, Ndlr). Je lui ai demandé de se renseigner et de faire comprendre à Jean-Pierre Bernès que j'étais efficace. Pour le reste, ils se sont investis d'une mission." Manifestement en recherche de reconnaissance, l'administrateur avait à coeur de boucler ce gros dossier, y compris en outrepassant à plusieurs reprises ses obligations de confidentialité. "Le viol du secret professionnel, je ne l'ai jamais nié", a-t-il concédé face aux magistrats.

C'est ensuite l'agent de joueurs de 65 ans qui a été appelé à la barre. "Ç'a été un moment très difficile à passer, a témoigné Jean-Pierre Bernès. J'ai toujours voulu assumer cette décision (l'amende de 1998, Ndlr) même si elle était injuste."

Sur l'une des écoutes, pourtant, il semblait accepter un calcul qui incluait le dessous-de-table, lui ont fait remarquer les magistrats. "Le dossier, ça ne sert à rien de le compliquer, il est simple", s'est agacé Jean-Pierre Bernès. "Nous entendons votre peur, et votre souhait de rester dans les clous qui ressort à plusieurs moments dans les écoutes. Mais il y a aussi des zones grises", l'a recadré la présidente, Florence Gilbert.

L'ex-dirigeant de l'OM a ensuite été questionné par Me Bonfils, conseil de Michel Gillibert sur de (très) nombreuses procédures judiciaires intentées pour ralentir le règlement de sa dette. "Vous avez dit que vous étiez prêt à payer. Ce n'est pas tout à fait vrai", a taclé l'avocat.

En partie civile, Me Brusa a donc réclamé une solide compensation pour "la violence morale" que son client dit avoir subie. En 2018, Jean-Pierre Bernès a soldé définitivement sa dette de 1998. "Mais à cause de ce qu'il a vécu avec Michel Gillibert, il n'a pas pu tourner la page", a insisté l'avocat.

Le réquisitoire du ministère public et les plaidoiries de la défense sont attendus aujourd'hui.

La Provence

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

22 Mar 2023, 13:49

Bernès, le Chauve ..... :censored:

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

23 Mar 2023, 12:29

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

23 Mar 2023, 13:53

Beaucoup trop long, concomitance avec les compétitions, nawak.

Après, si le foot était davantage un sport qu'un business, on serait au courant.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

23 Mar 2023, 21:18

Ça serait tellement bien qu’il finisse le 31 juillet

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

23 Mar 2023, 22:28

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

23 Mar 2023, 23:15

Ça situe le niveau du PSG cette saison que ce soit l’institution (ils n’ont pas vire Galtier) ou leur niveau de performance.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

23 Mar 2023, 23:48

Ça s'appelle l'exigence

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

23 Mar 2023, 23:57

Pancho11, pourtant certains trouvent aberrant qu’on ait critiqué Sampa ou actuellement Tudor sous prétexte de vivoter à la 2ème place en branlant rien en coupes :mrgreen:

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

24 Mar 2023, 00:00

Mouais. Ils ont déboursé 25M€ en allant chercher Nagelsmann, il y a 18 mois et ils vont devoir l'indemniser pour un contrat qui courait jusqu'en 2026. Financièrement c'est du grand n'importe quoi...
Sportivement, le Bayern n'était pas un rouleau compresseur depuis le début de saison et le collectif pas brillant, mais ils ont perdu Lewy à l'intersaison et malgré cela, le FC Hollywood est 2ème à 1pt de Dortmund. Ils ont remporté toutes leurs rencontres de Champions depuis le début de la compét' et ils sont en quart de coupe d'Allemagne. Paye ta crise...

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

24 Mar 2023, 00:14

Apparemment les raisons ne sont pas sportives ...

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

24 Mar 2023, 02:33

Ce qui a donné l'occasion au présentateur de l'E21 de crocheter Galtier au niveau de la carotide, après avoir énuméré les résultats de Nagelsmann notamment en Champions League (8 matches, 8 victoires, qualifiés en 1/4 de finale) qui se fait pourtant virer du Bayern, le gars termine par un "et pendant ce temps Christophe Galtier est toujours coach du PSG" suivi d'un éclat de rire autour de la table... :lol:

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

24 Mar 2023, 03:13

Information
Football, justice et banditisme : au procès de ceux qui voulaient « faire raquer » Jean-Pierre Bernès

Cinq ans de prison, dont trois ans avec sursis, ont été requis contre un administrateur judiciaire soupçonné d’avoir, avec deux hommes de main proches du Milieu marseillais, tenté d’extorquer un million d’euros à l’agent de joueurs.

La devise de son étude était « Ne rien lâcher ». Même message sur sa carte de vœux : un pitbull mordant un chiffon qu’on essaie de lui arracher. Jusqu’à sa chute, en octobre 2015, et son incarcération durant quatre mois, Me Michel Gillibert, l’un d’un trois administrateurs judiciaires marseillais, loué par les juges du tribunal de commerce et par le parquet, avait pignon sur rue. Une époque que cet homme aujourd’hui âgé de 70 ans a regrettée amèrement, face au tribunal correctionnel devant lequel il a comparu pour une incroyable histoire mêlant football, justice et banditisme.

Cinq ans de prison dont trois ans avec sursis et une amende de 150 000 euros ont été réclamés, mercredi 22 mars, contre cet ancien auxiliaire de justice jugé pour complicité dans une tentative d’extorsion de l’agent de joueurs Jean-Pierre Bernès et pour « association de malfaiteurs ». A ses côtés, Richard Laaban, 78 ans, ex-figure du Milieu marseillais. Un troisième homme, Simon Fedon, le pivot de cette rocambolesque affaire, est décédé en 2021, après le renvoi du dossier en correctionnelle.

En juillet 2014, le tribunal de commerce charge Me Gillibert de recouvrer auprès de Jean-Pierre Bernès une dette de 11 millions d’euros, montant des dommages et intérêts auxquels cet ancien directeur général du club de football marseillais a été condamné en 1998, avec d’autres dirigeants, dont Bernard Tapie, dans l’affaire dite des comptes de l’OM.

En quinze ans, les prédécesseurs de l’administrateur judiciaire s’étaient tous cassé les dents sur le refus féroce de cet agent de joueurs aux affaires pourtant florissantes, n’ayant pu récupérer que 15 000 euros. Pour « faire raquer Bernès », comme il dit, Me Gillibert double les voies légales de recouvrement de la créance d’un mandat très officieux confié à son ami Simon Fedon – cinq fois condamné, et qui se vante de connaître des voyous.

« Je te tiens, tu me tiens, par la barbichette »

« Je lui ai demandé de se renseigner sur la solvabilité de Jean-Pierre Bernès, sur d’éventuels comptes à l’étranger, et de lui montrer toute ma détermination, c’est tout », a expliqué Michel Gillibert devant le tribunal. « Qu’est-ce que vous voulez, une erreur, ça ne s’efface pas, ça s’assume », s’est-il morfondu, déplorant avoir eu cette « idée débile ». Mais la mission donnée à Simon Fedon, épaulé par Richard Laaban, « un homme d’action qui n’avait pas une tête de communiant », s’arrêtait, à l’entendre, à ce rôle d’informateur.

Pas à ce qu’ont découvert les enquêteurs sur les écoutes et les sonorisations des rendez-vous entre le duo d’émissaires et Jean-Pierre Bernès. Michel Gillibert voulait que Bernès accepte un protocole transactionnel à hauteur de deux millions d’euros. Simon Fedon y avait ajouté un dessous-de-table d’un million d’euros. Mais, ça, l’administrateur l’aurait ignoré, selon ses défenseurs, Mes Philippe Bonfils et Alexandre Mathieu, qui l’ont présenté comme une victime des « élucubrations et des affabulations de Simon Fedon ». Ils ont plaidé sa relaxe.

Pour Jean-Pierre Bernès, partie civile, l’affaire est simple : c’est celle d’« un administrateur qui voulait toucher un bakchich en m’envoyant deux compères ». Il a réclamé un million d’euros en réparation de son préjudice moral. L’agent de joueurs a reconnu qu’il n’y avait pas eu de violences – « juste dans les mots » – ni de menaces, mais « une ambiance particulière » où on lui promettait de « [lui] pourrir la vie » s’il ne payait pas. « Il n’a jamais été question d’aller lui casser les genoux », a reconnu la procureure Magali Raffaele, qui a estimé que la « tentative d’extorsion est ici caractérisée par la contrainte ». Contre Richard Laaban, l’accusation a requis trois ans de prison, dont un an avec sursis, et une amende de 60 000 euros.

Le 20 avril 2015, Jean-Pierre Bernès avait secrètement enregistré un rendez-vous en tête à tête avec Michel Gillibert. « Une pièce de théâtre jouée par l’un et l’autre », selon Mme Raffaele, dans laquelle l’administrateur semble prendre conscience des manigances commises dans son dos par ses hommes de main et assure qu’il ne veut « pas [se] prendre une balle dans la tête ». Diffusée à l’audience, la défense de Michel Gillibert décrypte dans ce dialogue sibyllin une tentative de corruption de l’auxiliaire de justice par Jean-Pierre Bernès, qui aurait trouvé là « une occasion servie sur un plateau de ne pas payer ses dettes ». Comme un « je te tiens, tu me tiens, par la barbichette ».

Finalement, en 2018, Jean-Pierre Bernès, condamné entre-temps pour organisation d’insolvabilité, signait avec un nouvel administrateur judiciaire un protocole transactionnel à hauteur de 2,3 millions d’euros et apurait définitivement sa dette. Exactement ce que Me Gillibert proposait par les voies légales. Jugement lundi 27 mars.

Le Monde

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

24 Mar 2023, 08:58

peezee a écrit:Ce qui a donné l'occasion au présentateur de l'E21 de crocheter Galtier au niveau de la carotide, après avoir énuméré les résultats de Nagelsmann notamment en Champions League (8 matches, 8 victoires, qualifiés en 1/4 de finale) qui se fait pourtant virer du Bayern, le gars termine par un "et pendant ce temps Christophe Galtier est toujours coach du PSG" suivi d'un éclat de rire autour de la table... :lol:


ce qui est drôle c'est qu'il y a 6 mois ce même présentateur devait sucer Galtier
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