MassaliaLive.com

[boodream]

Il a mis une vieille frappe déviée mais sinon il a surtout gaspillé des tonnes d'occasions. Tirer bêtement, c'est vraiment un des défauts qui m'agace le plus dans le foot.

[randoulou]

Gueye est pas mal de truc mais surement pas un keke (mais oui il a la pire frappe de balle de L1 pour un milieu )

Euh Rongier le domine 1000 fois à ce niveau

[peezee]

Rongier il a des tirs de vieillarde hémiplégique, et le pire c'est qu'il cadre quasi jamais.

[Jester]

[Dragan]

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Les DESSOUS CHICS (OU PAS) DES négos

Comment se déroulent les discussions autour des transferts pour aboutir à la signature d’un contrat ? Plongée dans des coulisses forcément pittoresques.

Pas sûr que Raymond Kopa ait imaginé tout cela. S’il a révolutionné le jeu, le Ballon d’Or 1958 a aussi bouleversé le fonctionnement même de son sport en menant la fronde au début des années 1960 en faveur du contrat à temps, les footballeurs français étant jusque-là liés à vie à leur club qui décidait seul du transfert d’un joueur. Plus de soixante ans plus tard, on est bien loin de ce fonctionnement unilatéral d’un autre âge et, depuis bien longtemps, les négociations autour des contrats de joueurs se révèlent être des batailles aussi féroces que subtiles. Depuis si longtemps que ça ? Installé dans un pub de Boulogne-Billancourt, Gervais Martel, ancien président du RC Lens, nous renseigne sur l’évolution des pratiques de ces vingt dernières années.

“Avant, on se connaissait tous. Les circuits étaient plus directs, donc on se mettait assez vite d’accord sur une offre qui fasse plaisir à toutes les parties. Aujourd’hui, ça négocie vraiment durement, sans affect, c’est beaucoup moins cordial. Alors OK, il y a le fossé générationnel, je veux bien l’admettre. Mais, plus globalement, tu sens que c’est plus nébuleux autour des joueurs, tu te retrouves à devoir discuter avec des mecs d’une vingtaine d’années qui « tiennent » le joueur, comme ils disent et, même s’ils n’ont pas de licence, ça ne pose pas de souci car ils ont un avocat qui viendra signer. Oui, c’est très différent de ce qu’on a pu connaître.” Reste qu’un halo de mystère continue d’entourer ces moments de discussions qui peuvent aboutir rapidement, traîner en longueur ou achopper au dernier moment, sans que beaucoup de choses ne filtrent. Mais pourquoi autant de secret ?

La fuite, une stratégie bien usitée

“Déjà, la confidentialité est vraiment très importante, car une fuite avant la signature définitive peut déclencher des obstacles, nous explique l’agent Jerome Lancery. Comme une prise de position contraire en interne, ou une réaction un peu fraîche de supporters qui peut mettre le doute chez les dirigeants, etc.” Pourtant, faire fuiter est aussi une stratégie largement usitée. “La presse, ça peut aider, les rumeurs peuvent participer à une stratégie de négos, convient encore Lancery. Mais attention aussi à bien maîtriser le jeu médiatique. Il arrive que des clubs mettent fin aux échanges après avoir lu des choses qui fuitaient car ça leur indique que, peut-être, ils vont avoir des complications plus tard avec le joueur en question et ses représentants.”

Pour beaucoup, une bonne négociation commence bien en amont de ce que l’on pense. “L’une des premières approches est d’ordre football, nous souffle un agent très en vue. On va d’abord discuter du projet sportif, de ce que l’on souhaite mettre en place tactiquement et comment le joueur souhaité peut s’intégrer dans ce schéma, à quel point il peut s’épanouir dans cette animation, combien il va être performant et donc, valorisé.” Mais le représentant doit également savoir être force de proposition. “Un agent doit bien connaître le profil de poste recherché pour solliciter un club à bon escient, complète notre interlocuteur. Certains ne se cassent pas trop la tête et envoient la liste de leurs joueurs sous contrat, et au club de voir si quelqu’un les intéresse. Moi, je pense qu’il vaut mieux envoyer une proposition ciblée car on gagne du temps dans la discussion et, surtout, ça indique au club qu’il y a un vrai intérêt de notre part, qu’on a pris le temps de nous renseigner en détail. En clair, on installe les conditions d’un a priori favorable.”

Qu’il semble loin le temps où l’envoi d’une bonne vieille VHS suffisait à faire la quille. Et ne jamais oublier la bataille du temps. “Il faut être le maître des horloges, nous confirme Sébastien Larcier, ancien directeur sportif d’Angers. Notamment lors des prolongations de contrat. La deadline critique, c’est deux ans avant le terme. Ensuite, on bascule vers le spectre de la dernière année où l’une des deux parties n’a plus du tout la main et se trouve à la merci des desiderata de l’autre camp.”

Eviter de donner le premier chiffre

Vient donc le moment où il faut commencer à parler chiffres, la plupart du temps en direct, dans un endroit sympa de préférence, l’Hôtel Molitor dans le XVIe arrondissement parisien étant le lieu privilégié du moment. Au préalable, l’agent a mené son enquête : grille salariale, enveloppe transfert globale, intérêt pour le joueur afin de le situer dans la hiérarchie ; tout est passé au scanner avant l’ouverture des discussions. Parfois, les agents ont sondé d’une part le directeur sportif et d’autre part le président car ils savent que certains dirigeants aiment se mêler des négociations par goût ou par ego. Et quand c’est le cas, ils ne sont pas toujours alignés sur leur directeur sportif. Souvent, un président propose davantage car il connaît moins le marché, une faille possible à exploiter.

Et un familier de ces rendez-vous de nous poser le décor : “Quand on commence à parler chiffres, il y a un enjeu important : tout faire pour ne pas être le premier à faire la première proposition. Quand des dirigeants se retrouvent face à un agent qu’ils ne connaissent pas vraiment, souvent ils le questionnent : « Combien tu veux pour ton joueur ? » C’est une façon de tester sa connaissance du marché, du club, de son joueur, et de lui faire abattre sa première carte. À l’inverse, pas mal d’agents font en sorte que ce soit le club qui pose le premier nombre, afin de savoir où les dirigeants situent le joueur, ce qui donne un indice sur leur état d’esprit, leur perception de l’agent, du joueur, de la place qu’ils veulent lui accorder dans le vestiaire, etc. Cette première offre « pour voir » va souvent être la boussole de la négo et du rapport de force.”

Le terme est d’autant mieux choisi que l’approche de ces questions pécuniaires a terriblement évolué ces dernières années. La raison ? Une nouvelle génération d’intermédiaires dont les codes diffèrent radicalement de ceux de leurs aînés, comme le constate Sébastien Larcier. “Avant, les agents étaient beaucoup moins nombreux, ils s’occupaient d’un joueur quasiment toute sa carrière ; il y avait moins l’urgence de signer un très gros contrat tout de suite. Par ailleurs, ils tenaient à préserver leur bonne relation avec les dirigeants dont ils étaient parfois très proches. Les discussions étaient donc très amicales, on retardait le plus tard possible le moment de parler chiffres. Sans doute aussi parce que la culture un peu plus traditionnelle des anciens agents n’était pas forcément très à l’aise avec ces discussions financières. Aujourd’hui, c’est une génération plus concurrentielle, dont la relation avec le joueur est souvent plus volatile. Ils vont donc très vite sur les questions pécuniaires, ils sont beaucoup plus décomplexés aussi. Peut-être également parce qu’ils viennent d’un milieu qui a emprunté pas mal de codes culturels américains où on a une approche plus directe des questions d’argent. Ça a ses avantages car on gagne du temps.”

Quand Kita met le paquet

Et Larcier de poursuivre sur ce bras de fer plus sévère. “Pour contrebalancer un peu cette approche assez féroce, les clubs organisent une séduction préalable. Après avoir ciblé un joueur, le coach peut être amené à lui passer un coup de fil pour lui dire qu’il le suit depuis longtemps, qu’il aime tel et tel aspect de son jeu, en étant le plus spécifique possible pour bien montrer qu’il le connaît parfaitement. Une opération séduction par le foot pour donner envie au joueur de travailler à tout prix avec ce coach et donc de demander à ses représentants de faire le maximum pour trouver un accord avec le club, ce qui peut amener l’agent en question à devoir être davantage conciliant.”

Au vrai, les clubs n’hésitent plus à recourir à des arguments “hors finances” pour prendre l’ascendant dans les discussions. Comme mettre en avant les structures – de plus en plus de clubs ayant des centres dernier cri –, les avantages de la ville, notamment pour la famille avec les écoles, les boutiques, les transports... Ou encore en présentant un projet de jeu hyper séduisant qui peut parfois prendre le pas sur des offres financières supérieures, à l’image de Seko Fofana emballé par la philosophie du RC Lens en 2020 alors que de plus gros clubs le sollicitaient. Mais, malgré tout cela, les agents, eux, ne sont pas là pour faire dans la dentelle et négocient absolument tout ce qui est possible : des classiques primes de performances (en fonction des stats, du nombre de victoires, présences, etc.), aux demandes les plus anecdotiques (la quantité de maillots non facturés à donner aux proches).

Dans cette surenchère de clauses et de primes, certaines sont retoquées par la LFP, comme celle récompensant le poids de forme d’un joueur, la Ligue ayant estimé ce dispositif discriminant sur le physique. Les échanges sont parfois sur le fil et peuvent échouer au dernier moment, parfois pour des raisons totalement improbables. Une star de Ligue 1 avait bien avancé avec le FC Nantes avant de fuir face aux sous-entendus du président Waldemar Kita lui proposant de lui offrir en complément les services de son autre activité (agrandissement de pénis). Et cet international français tout proche de signer à Arsenal il y a quelques années jusqu’au rendez-vous de trop avec le manager, refroidi par la présence d’amis disons peu engageants.

Pression et parts du gâteau

Mais, au-delà de ces épisodes, c’est la tension régnant désormais sur les échanges qui marque les interlocuteurs. Oh, bien sûr, il arrive qu’un Jorge Mendes prenne totalement le contrôle de la discussion, dans la plus grande courtoisie, sans pression mais sans aucune solution de recours possible pour le club, à l’image d’Angers contraint de prolonger Rayan Aït-Nouri à 100 000 € par mois juste après son contrat stagiaire pro, un montant totalement hors sol, mais avec la garantie de réaliser un gros transfert ensuite, en juillet 2021, grâce au réseau du super agent portugais (11,5 M€, hors bonus, à Wolverhampton en l’occurrence), sous peine de le voir partir libre en cas de refus.

Mais pour “l’ordinaire” d’une négo, les discussions se déroulent dans une atmosphère parfois bien différente. Déjà parce que, de plus en plus, les agents subissent une pression nouvelle : celle des membres de la famille. “Ils sont beaucoup plus demandeurs de savoir où en sont les choses, analyse un intermédiaire francilien en vogue. Auparavant ils s’en mêlaient beaucoup moins. D’autant qu’il y a chez eux une méconnaissance du milieu qui fait que beaucoup ne comprennent pas pourquoi les choses prennent du temps, pourquoi on ne demande pas davantage, etc. D’une manière générale, mieux vaut avoir des traces écrites de tout ce que l’on fait, histoire de pouvoir démontrer au joueur et à son entourage que l’on fait le job, qu’il y a un process. Toujours tenir la famille éloignée mais informée, c’est la clé.”

Et Jerome Lancery de compléter : “L’autre élément qui peut venir mettre le bazar, c’est l’apparition en cours de discussion de « nouveaux » représentants, parfois sollicités oralement par le joueur alors qu’il a déjà mandaté d’autres agents. Une fois, un joueur a même voulu me confier son dossier avec un message vidéo en guise de mandat alors qu’il avait un engagement écrit avec un autre intermédiaire.” Et Gervais Martel, un brin nostalgique, de convoquer un dernier souvenir, en guise de contre-pied. “Pour Raphaël Varane, on s’était mis d’accord avec le Real Madrid sur 10 M€, plus des bonus, dont un demi-million en cas de victoire en Ligue des champions au bout d’un certain nombre d’années. Et il se trouve qu’il manquait une saison lors d’un de ses succès en C1. J’écris à Florentino Pérez, le félicite pour ce trophée et lui glisse que c’est vraiment dommage pour nous car, à une saison près, on touchait le bonus. Quelques jours plus tard, le RC Lens recevait un chèque de 500 000 € !” Même après le gong, il est possible de négocier. h D. A. et N. D.

L'Equipe

[Dragan]

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Quel horizon pour Platini ?

S'il veut revenir en jeu, Michel Platini aura du mal à briguer la présidence de la FIFA, de l'UEFA ou même de la FIFPro, le syndicat mondial des joueurs. Mais la FFF, dans deux ans, reste une option.

Le 29 juillet 2015, après avoir beaucoup hésité, Michel Platini, alors à la tête de l'UEFA, se porte candidat à la présidence de la FIFA. L'élection est prévue en février 2016 et rien ne semble pouvoir entraver le destin mondial de l'ancien capitaine des Bleus, largement favori du scrutin. Mais il devra pourtant renoncer suite au déclenchement de « l'affaire » du versement suspect de 2 millions de francs suisses (1,8 million d'euros), deux mois après sa candidature. Désormais acquitté, l'ex-patron de l'instance européenne peut-il reprendre sa marche en avant ? Il en rêve secrètement, même s'il ne l'avoue pas. Mais après sept ans d'absence, il a perdu du terrain, de l'influence et les sièges sont désormais solidement occupés.

À la FIFA, Infantino bien installé

C'était son ambition après un parcours quasiment sans faute qui a mené le gamin de Joeuf, sans bagage scolaire, à présider le comité d'organisation de la Coupe du monde 1998, puis l'UEFA à partir de 2007. Aujourd'hui, l'Italo-Suisse Gianni Infantino, son ancien bras droit, occupe le fauteuil de patron du football mondial qui lui était destiné. L'éjecter serait la plus belle des revanches pour Platoche, qui déteste Infantino et l'accuse d'avoir mené un complot contre lui. Mais l'affaire n'est pas simple.

Même s'il a multiplié les choix douteux (projet avorté de Coupe du monde tous les deux ans, Mondial des clubs élargi...), Infantino est bien installé.Elu en 2016, réélu en 2019, il va briguer un troisième et dernier mandat en 2023. Mener une campagne contre lui est tentant, mais aléatoire. Après six ans de clientélisme à destination de l'Afrique, de l'Océanie ou de l'Asie, il ne serait pas simple de battre le président en place même s'il fait l'objet de poursuites en Suisse pour soupçons de collusion entre la FIFA et des procureurs suisses et que Platini a déposé plainte en France contre Infantino pour « trafic d'influence actif ». Quoi qu'il en soit, l'UEFA ne veut pas d'une guerre frontale avec lui et ne soutiendrait sans doute pas une candidature de Platini.

Perte d'influence à l'UEFA

Le triple Ballon d'Or a présidé la confédération européenne pendant sept ans. Il est peu probable qu'il veuille reprendre du service. De toute façon, un retour serait assez hasardeux. Le Slovène Aleksander Ceferin est en poste depuis 2016 et va solliciter un nouveau mandat dans un an. Avec toutes les chances de se succéder à lui-même. Même si certains regrettent parfois son autoritarisme, il n'est pas contesté. Tandis que Platini, qui a coupé les ponts avec tous ses anciens camarades de l'UEFA, a perdu quasiment toute influence en Europe.

Et pour d'autres fonctions à l'UEFA, l'avenir est bouché depuis les critiques acerbes de Platini envers Ceferin, traité, il y a un an, de « politique qui vit ses instants de gloire grâce au football ». Dans nos colonnes, le Slovène lui avait sèchement répondu : « Concernant les commentaires de Michel, je peux seulement dire qu'ils ne méritent même pas que je réponde. Ils disent plus de lui que de moi ou de l'UEFA. Il s'occupe de sa vie, moi de la mienne ».

À la FIFPro, la fenêtre s'est vite refermée

Pour Platini, présider la FIFPro, le syndicat mondial des joueurs, était l'option qui cochait toutes les cases d'un retour au premier plan réussi. Il a tenté de succéder à son ami Philippe Piat, qui a tout fait pour lui préparer le terrain. Mais l'opération s'est heurtée à un tir de barrage interne alors que son profil était parfait pour le poste. Et finalement, c'est l'Espagnol David Aganzo, patron du syndicat ibérique des joueurs et ancien attaquant passé par le Real Madrid, Santander ou le Rayo Vallecano qui a été élu, le 16 novembre dernier, à la tête du syndicat. Vexé de l'accueil qui lui a été réservé, Platini ne reviendra sans doute pas à la charge.

La FFF pour se relancer?

Certains des amis de Platoche ont imaginé sa candidature contre Noël Le Graët à la présidence de la Fédération française, il y a un peu plus d'un an. Il les a écoutés, mais pas suivis. A l'arrivée, le Breton a été réélu, le 13 mars 2021, jusqu'à fin 2024. Après avoir été proches, Le Graët et Platini ne se parlent plus depuis que l'ancien numéro 10 de la Juve a reproché à la FFF de ne pas l'avoir défendu, alors que Le Graët estime au contraire avoir tout fait pour le soutenir. Le poste de président de la FFF peut paraître un peu étriqué pour Platini. Mais sa candidature à la succession de Le Graët, qui n'a pas de successeur très clairement identifié, reste une option. Blanchi par la justice suisse, même s'il reste potentiellement inquiété dans un dossier en raison de son vote en faveur du Qatar pour la Coupe du monde 2022, il peut convaincre le football français de lui ouvrir les bras.

L'hypothèse de voir Michel Platini succéder à Noël Le Graët à la FFF n'est pas à écarter. (L'Équipe)

[randoulou]

WTF ?

[dxd92]

Alors lui, c'est pire que choupo. Quel débile sérieux. Dans beaucoup d'endroits ils lui brûlent sa maison

[Dragan]

[Vodevil]

Je crois que les Gaulois veulent pas de tes tirs à 3 pts et souhaiteraient ardemment que tu fermes ta gueule.

[Serber]

Vodevil, sur le fond (micro arbitre, échanges avec les joueurs...), il n'a pas tort. Mais, sur la forme c'est vraiment un putain de mastre. Il a quelle légitimité dans le foot pour ouvrir sa gueule et prendre les gens de haut comme il le fait bordel?

[boodream]

Serber, s'il se plante c'est jamais qu'il a tort, c'est toujours que la réalité comprend mal son génie. La technocratie dans toute sa splendeur.

[dxd92]

Après c'est vrai que le foot est un des sports les plus populaires et de ceux qui mettent un temps fou à évoluer. Quand tu compares avec le rugby par exemple

[Maximilien Straus]

Le problème des gars comme JHE, c'est que les évolutions qu'ils ont en tête visent principalement le "spectacle" football et non le jeu.

Exemple criant avec la bodycam, ça ne va en rien faire avancer le foot. Pire, avec le désastre qu'est devenu la réalisation des matchs, ça peut carrément nuire à la compréhension du jeu pour plus "d'émotion". Sur un ralenti pourquoi pas, mais vu comment sont utilisés les autres outils déjà à disposition...

Je ne mélange pas cependant avec les micro sur les arbitres qui eux iraient vers plus de compréhension des décisions, des règles etc.

[uToPi]

Franchement cette histoire de bodycam c’est vraiment la porte ouverte d’une évolution qui pousse à l’individualisation extrême du plus collectif des sports.

Mais c’est bien, comme ça les followers de M’Bappé pourront choisir de regarder le match qu’à travers sa cam. Et puis le joueur pourra réclamer de commercialiser lui même ses droits de diffusion…

[peezee]

Je préconise pour le futur d'avoir 22 bodycams simultanées avec partage de l'écran plat 99" en 22 rectangles afin de ne rien rater de l'action partout sur le terrain, et bien sûr un spot pub H24 au centre sur les pixels restants.

[Odd]

J'aimerai bien voir la bodycam d'Eyraud quand il a négocié le contrat de Strootman

[Maximilien Straus]

Franchement cette histoire de bodycam c’est vraiment la porte ouverte d’une évolution qui pousse à l’individualisation extrême du plus collectif des sports.

Mais c’est bien, comme ça les followers de M’Bappé pourront choisir de regarder le match qu’à travers sa cam. Et puis le joueur pourra réclamer de commercialiser lui même ses droits de diffusion…

C'est malheureusement tellement plausible que ce soit déjà dans la tête de certains décideurs

Odd

[randoulou]

C'était quoi le but de Cologne de faire porter des bodycams ?

[randoulou]

Haller qui vient de signer avec Dortmund et qui a un diagnostic de cancer