Une petite piqure de dopamine en ces temps maussades qui rappelle combien le sport peut exorciser nos chagrins profonds et nous faire dresser le kiki :
Tous les sportifs qui apparaissent sur la vidéo n'avaient pas pris que de la dopamine dans leurs piqûres, mais c'est vrai que c'est roboratif.
"La société de surconsommation, fruit d'un capitalisme dérégulé, relève d'une logique compulsionnelle dénuée de réflexion, qui croit que le maximum est l'optimum et l'addiction, la plénitude." Cynthia Fleury
Les séquences sont plutôt anciennes. La même vidéo en 2030 lui sera à 50% consacrée.
"La société de surconsommation, fruit d'un capitalisme dérégulé, relève d'une logique compulsionnelle dénuée de réflexion, qui croit que le maximum est l'optimum et l'addiction, la plénitude." Cynthia Fleury
Remind a écrit:Dommage que vous n’ayez pas interviewé fourcroy. Il aurait pu nous partager sa rencontre avec cette légende qui avait su le rebooster au moment de sa mise à la retraite de l’Education Nationale.
Je vais kidnapper les membres de ta famille et leur faire écouter Larusso pendant deux jours
Très belle vidéo. Ca fait du bien de voir tout ça. Je me rends compte que j'ai vu beaucoup de ces moments en direct. C'est beaucoup d'émotions sur le moment et encore plus après. J'en reviens presque à regretter (beaucoup ici n'ont pas connu), les émissions de sport le dimanche sur la 3. Ca permettrait de découvrir plein de compétitions différentes. En l'epace d'un instant on devenait le plus grand supporter d'une gymnaste au GRS et juste après on priait pour que la France batte la Suisse au Hockey.
L’année dernière j’étais prétentieux, mais cette année je suis parfait
"La société de surconsommation, fruit d'un capitalisme dérégulé, relève d'une logique compulsionnelle dénuée de réflexion, qui croit que le maximum est l'optimum et l'addiction, la plénitude." Cynthia Fleury
Un grand format poignant signé Antenne 3 hier soir, sur un ancien golfeur (50 ans) qui combat la maladie de Parkinson depuis 15 ans. Il a atteint un stade avancé de la maladie, au point de susciter les réactions insanes de passants qui changent de trottoirs à sa rencontre.
On se doute que ses plus belles heures s'écrivent au passé ; mais il n'a pas encore rendu son dernier souffle. C'est un homme de défi, il ne vit qu'en mouvement. Le menu est costaud : une boucle de 1.000 bornes dans les Alpes suisses ; départ de Montreux pour 3 mois de pèlerinage, 40 cols sur la liste et 60.000 mètres de D+.
On le voit trébucher, tomber, rouler. Il suscite tantôt de la peine, tantôt de l'empathie. Il finit toujours par se relever :
Parce que ses poulains savent ce qu'ils doivent faire sur le terrain. En l'occurrence c'est surtout dû à une grosse faute de concentration et de fatigue.