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randoulou a écrit:Betsamee a écrit:Extrait de J+1 a la mi temps de Arse/Liverpool, Oliewski raconte que pour sa premiere conference de presse avec Bielsa il etait bourré et traduisait a l'arrache
putain ce club
Est ce que tu étais bourré quand tu as écrit son nom ?
Betsamee a écrit:Extrait de J+1 a la mi temps de Arse/Liverpool, Oliewski raconte que pour sa premiere conference de presse avec Bielsa il etait bourré et traduisait a l'arrache
putain ce club
Mercato : il était une foire
Avec des histoires d'egos, de gros sous, ou de fous, le marché des transferts a été particulièrement agité.
Dernière journée folle de mercato, lundi, avec notamment l'arrivée de l'attaquant Anthony Martial (Monaco) à Manchester United pour une somme zidanesque (60 millions d'euros, plus 20 de bonus, annoncés), le départ surprise du défenseur Papy Djilobodji (Nantes) à Chelsea ou les ultimes emplettes de l'OM. Entre la fortune de la Premier League, le retour en Ligue 1 de quelques briscards (Hatem Ben Arfa, Lassana Diarra, Mathieu Valbuena), le coming-out financier de clubs comme Marseille et Monaco où le trading a dépassé le sportif, voici onze histoires dans les coulisses du mercato estival.
La phobie administrative de Thauvin
Incorrigible Florian Thauvin. Assigné aux prud'hommes par son jardinier, sermonné par son ancienne propriétaire à Cassis qui lui reprochait des loyers impayés, défait au tribunal de commerce par son ex-mentor, Adil Amazzough, quant à ses droits d'image, le désormais ex-joueur de l'OM a signé mi-août à Newcastle sans intermédiaire… mais aussi sans l'agent avec lequel il est toujours sous contrat, Fabrice Picot. Sa phobie administrative ne s'est pas arrêtée là : Amazzough, qui détient 55 % de ses droits d'image, n'a pas été inclus dans le dossier. De nouvelles batailles sur le terrain judiciaire sont à prévoir. Derrière la paperasse bâclée, un petit cœur tendre : lorsque, le 22 avril, la direction de l'OM lui a appris qu'il pourrait être vendu, Thauvin avait fondu en larmes.
Un vol Paris-Munich sous haute tension
Dayot Upamecano, défenseur de 16 ans transféré début juillet au Red Bull de Salzbourg pour 2,2 millions d'euros, a sauvé les finances de Valenciennes. Mais cette signature a été épique. Alors que Dayot et sa mère sont à Salzbourg, deux taxis arrivent le 9 juillet à Roissy-Charles-de-Gaulle. Dans le premier, l'avocat Thierry Martinez et les deux conseillers du joueur, qui ont opté pour Salzbourg. Dans le second, le papa Upamecano et une grosse surprise : un agent mandaté par le Bayern Munich, Frédéric Dobraje, ex-représentant de Bixente Lizarazu. Une discussion houleuse a lieu dans un café de l'aéroport. Le vol Paris-Munich est l'occasion pour les deux clans de réfléchir. Dobraje insiste pour que le joueur vienne rencontrer la direction du Bayern. L'autre camp hésite, puis plante l'agent sur le tarmac de Munich. Ils rejoignent Salzbourg, à deux heures de route, pour d'ultimes négociations.
A Caen, une histoire de surnoms
Le brillant Ngolo Kanté a animé l'été à Caen. Au printemps, il a quitté son agent, Philippe Flavier, pour la société XL Sport, qui voulait le placer à l'OM. En Normandie, tout le monde a ri jaune : le directeur sportif, Alain Caveglia, est un ancien collaborateur de Flavier, et Xavier Gravelaine, le DG, avait ce même Flavier comme représentant lorsqu'il était un joueur-migrateur (16 clubs en seize ans de carrière). Quand l'offre de l'OM (5 millions + 1 de bonus) est arrivée pour Kanté, Gravelaine, partisan d'un départ à Leicester, a évoqué «un manque de respect». L'OM, sur Twitter, l'a rebaptisé le «Monchi du Calvados», en référence à l'habile directeur sportif du FC Séville. Gravelaine, lui, a surnommé les nouveaux représentants de Kanté «les Magic System» (sans doute pour leurs origines sénégalaises). Ballotté entre le «Monchi du Calvados», «les Magic System», Flavier, des intermédiaires anglais, un agent de paille francilien, ou son pote de cité Samir, Ngolo Kanté s'est réfugié dans la pratique de la trottinette, dans son quartier de la Fouilleuse, à Rueil-Malmaison, et les prières à la mosquée locale. Puis il a opté pour Leicester, début août.
Un doigt de Porto pour Imbula
«Pourquoi aller à Porto ? Je ne vois pas où est la progression par rapport à la L1 !» s'étonne Willy Ndangi, le père de Giannelli Imbula, mi-juin. Le milieu de l'OM rêve de Valence, mais les guerres intestines du club espagnol plombent son transfert. Informé, Nelio Lucas, le patron du fonds Doyen Sports, monte un déjeuner à Paris, avec les partons de l'OM et de Porto, Jorge Nuno Pinto da Costa et le fils de celui-ci, Alexandre. Un accord à 20 millions d'euros est trouvé. Doyen finance une partie de l'opération, convainc le père d'Imbula, lui expliquant que son fils ne s'attarderait pas en Liga Sagres.
Thiago Motta fait la moue
Le bras de fer salarial entamé cet été par Thiago Motta, finalement prolongé et revalorisé fin août par le Paris-SG, est aussi une histoire de statut dans le vestiaire. Seulement huitième salaire de l'effectif en juin, l'ancien du Barça et de l'Inter Milan gronde lors du stage de pré-saison en Autriche : «De toute façon, les vrais patrons, ce sont David Luiz, Thiago Silva et Zlatan. Ce sont eux qui décident de tout !» Heureusement que Nasser Al-Khelaïfi veille au grain, et canalise à grands frais le tout-à-l'ego de ses champions.
Pas de CV anonyme pour Billel Omrani
Dans un milieu sans lettres de recommandation, il est de bon ton de demander quelques conseils avant d'embaucher un joueur. A l'été 2013, alors qu'on lui proposait Vincent Aboubakar, Elie Baup, l'entraîneur de l'OM, avait demandé son avis à Daniel Sanchez, ancien coach du Camerounais à Valenciennes. Verdict ? «Il a les pieds carrés.» Ecarté par l'OM, Aboubakar est cette saison l'attaquant numéro 1 du FC Porto. Cet été, réfléchissant à recruter Billel Omrani, formé à l'OM, le staff du club belge de Saint-Trond a demandé son avis à Jan Van Winckel, préparateur physique de Marcelo Bielsa. Réponse : «Il n'est pas sérieux. Ne le prenez pas.» Il devrait bientôt rejoindre un club de Ligue 2 où Van Winckel n'a pas de contacts.
Les vieux os de Sako recalés
Ancien de Châteauroux et de Saint-Etienne, Bakary Sako a vécu une belle épopée pendant trois saisons chez les Wolverhampton Wanderers, où les supporters locaux vont chanteront les louanges du «Bak Sak». Libéré en juin, l'ailier de 27 ans a été convoité par plusieurs clubs de second rang de la Premier League, et notamment par Steve McClaren, le nouveau coach de Newcastle. Manque de chance, le board des Magpies a une nouvelle politique : pas d'embauche de joueurs de plus de 25 ans. L'agent anglais Mark McKay : «Les clubs anglais veulent un second deal, une grosse plus-value à la revente, c'est pour ça qu'ils misent de plus en plus sur les très jeunes Français à fort potentiel. Ils achètent cher, mais pourront aussi les revendre cher.» Recalé, Sako fait les beaux jours de Crystal Palace. Samedi, il a marqué face à Chelsea, puis offert le but de la victoire à un coéquipier.
David Wantier face à David Wantier
Le 21 juillet, Romain Hamouma, attaquant de Saint-Etienne, officialise sa prolongation de contrat jusqu'en juin 2018. L'issue des négociations ne faisait guère de doute : son agent de toujours, David Wantier, est aussi le conseiller en recrutement de l'AS Saint-Etienne depuis mai. Le club n'a jamais été sourcilleux quant à d'éventuels conflits d'intérêts. Christophe Galtier, l'entraîneur, et Laurent Batlles, ex-joueur et recruteur des verts devenu son adjoint cet été, ont longtemps travaillé avec l'agent Jean-Pierre Bernès, dont ils vantaient les mérites aux joueurs cadres (Stéphane Ruffier, ou Dimitri Payet avant lui). En 2013, l'Anglais Carlton Cole et son représentant attendaient à l'hôtel et s'apprêtaient à signer quand Galtier leur a demandé de rencontrer Bernès pour finaliser le deal, sans que Bernard Caïazzo, le coprésident (autre proche de Bernès), n'y trouve rien à dire. Cole n'a jamais paraphé son contrat. Galtier s'est éloigné de Bernès.
Boudebouz, plongée à Montpellier
Il y a les joueurs qui appellent leur agent quinze fois par jour, pour savoir où ils vont échouer. Et il y a Ryad Boudebouz, qui a déjà vu bien des rêves s'envoler (Lille, Lyon, Marseille) et prend du recul. Fin juin, il est dans sa piscine, à Colmar, quand son représentant lui apprend qu'il va passer de Bastia à Montpellier. Tout est calé, Bastia presse la transaction pour rassurer la DNCG et, plus que son avis, on attend surtout la validation de l'Algérien. Montpellier n'étant pas la ville la moins séduisante pour l'aquatique Boudebouz, il file rejoindre la formation de Rolland Courbis.
La stupéfaction de Jürgen Klopp
A la veille de Reims-OM, le 16 août, l'entraîneur allemand Jürgen Klopp prend son café quand un ancien coéquipier et ami du FSV Mayence 05 l'appelle. Après sept saisons à la tête du Borussia Dortmund, Jürgen Klopp a pris une année sabbatique et attend un grand destin chez un cador européen. Alors, quand son pote aborde l'intérêt de l'OM, qui vient de perdre Bielsa, il est à deux doigts de s'étouffer : «Non, mais attends, comment en sont-ils arrivés à penser à moi ? Ils sont sérieux ? Qu'est-ce que j'irais bien faire à Marseille ?» Une galère qui vogue désormais dans le sillage de l'Espagnol Michel, bon an, mal an.
Michel, au nom du père
La place de Marcelo Bielsa sur le banc de l'OM est encore chaude, le 9 août, que les candidatures affluent déjà sur le BlackBerry de Vincent Labrune, le président marseillais. L'agent Mino Raiola propose un package avec un coach italien et le fantasque buteur Mario Balotelli. Le tout-puissant Jorge Mendes offre les services de Paulo Bento, ex-sélectionneur du Portugal. Les noms de Walter Mazzarri ou de Roberto Di Matteo sont glissés. Mais Nelio Lucas, de Doyen Sports, rafle le premier rendez-vous pour un de ses poulains, l'Espagnol Michel. Celui-ci se rend dans la villa du boss marseillais, à Saint-Rémy-de-Provence, le dimanche après-midi, et il va y rester jusqu'à 4 heures du matin. Michel s'envolera vers 7 heures pour Madrid, rejoignant l'établissement où est hospitalisé son père, gravement malade. «Papa, je vais avoir un emploi», dit-il à son paternel, dont le regard est traversé par une lueur de fierté. Il décédera à la mi-journée.
FabMars a écrit:Lo Provençau, en bien ou en mal?
FabMars a écrit:J'aurais dû m’en douter. Bordeaux est trop à l’Ouest d’Arles pour être positivement considéré de ta part.
Flys a écrit:Bonne idée le naming avec un assureur, vu que leurs supporters se cassent la gueule pendant les matchs avec les grilles qui ne tiennent pas
sonny a écrit:
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