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à dérouler

Ce cirque quand on y repense

Grace ou à cause de Zeroual plus de Ribalta, plus de Tessier merci qui?

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MARSEILLE; Des joueurs de l'OM essuient des tirs en rentrant chez eux À leur retour du Havre, Faris Moumbagna, Jean Onana et Bamo Meïte; ont été agressés en voiture par des hommes armés qui ont ouvert le feu.

Il y avait les cambriolages en plein match, parfois en présence de proches - des home-jackings - plus rarement aussi des agressions au volant - des car-jackings - mais la scène qu'ont vécue trois joueurs de l'Olympique de Marseille dans la nuit de dimanche à lundi est inédite.

Il était à peine plus de 3 h du matin, dimanche soir, lorsque plusieurs Olympiens ont été victimes d'une agression d'une rare violence à leur retour du Havre, où ils venaient de s'imposer par deux buts à un. Selon une information de nos confrères d'Europe 1, confirmée de sources judiciaire et policière, les joueurs venaient de récupérer leurs voitures à la Commanderie, dans le 12e arrondissement de Marseille, lorsque sur le chemin de leur domicile, ils ont essuyé des tirs d'arme à feu.

Les faits se sont déroulés sur la route de la Valentine, peu après 3 h du matin. Les internationaux camerounais Faris Moumbagna et Jean Onana mais également, selon nos informations, le jeune Ivoirien Bamo Meïte se suivaient au volant lorsque le convoi improvisé, qui comprenait notamment un Range Rover, a été stoppé par des malfaiteurs quelques instants après la sortie du centre d'entraînement. Si les Olympiens sont finalement parvenus à échapper à leurs agresseurs, de sources concordantes, ils ont essuyé plusieurs coups de feu.

Deux impacts ont été retrouvés sur la portière conducteur de l'un des joueurs tandis qu'une troisième balle, de calibre encore indéterminé, a fini sa course dans le coffre de l'un des véhicules pris pour cible, toutefois sans faire de victime. Bamo Meïte qui se trouvait derrière les deux premiers véhicules au volant d'une Toyota Yaris a été témoin de la scène, mais n'a pas été visé.

S'il peut s'agir d'une tentative de car-jacking, "le contexte demeure encore très flou", relevait hier Nicolas Bessone, le procureur de la République de Marseille. Le parquet a ouvert une enquête, confiée à la division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS) - l'ex-PJ.

D'importants moyens ont été dépêchés sur la scène de crime, notamment les marins-pompiers et les techniciens de la police scientifique afin de passer les lieux au peigne fin. Tout le staff de l'OM était sous le choc hier, notamment le président Longoria, qui a fait part de sa préoccupation.

Plusieurs Olympiens avaient déjà été victimes d'agressions, notamment Florian Thauvin, en 2016. En août 2005, Habib Beye avait connu une mésaventure similaire, en rentrant de match. Les braqueurs lui avaient tendu un guet-apens à Fuveau en barrant la route avec des poubelles. Mais plutôt que d'ouvrir le feu, les braqueurs avaient pris le temps de féliciter le joueur pour son match, avant de repartir au volant de sa Mercedes. Autres temps, autres moeurs.

La Provence

On se rend compte du truc ?

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«Ça a vrillé» : à Marseille, le car-jacking des joueurs de l’OM teinté de «zones d’ombre»

RÉCIT - Quelques heures après avoir essuyé des tirs d’arme à feu au retour d’un match, Jean Onana et Faris Moumbagna ont été auditionnés par les enquêteurs de la police judiciaire. Les deux footballeurs marseillais pourraient être tombés dans un guet-apens qui a «mal tourné».

Le Figaro Marseille

L’attaque, encore teintée de larges «zones d’ombre», n’a pas tardé à faire couler de l’encre dans la cité phocéenne, pourtant habituée aux règlements de compte et autres violentes fusillades. La faute à des braqueurs à la gâchette facile et à la notoriété des victimes , Jean Onana et Faris Moumbagna, deux joueurs camerounais évoluant dans les rangs de l’ Olympique de Marseille depuis l’hiver dernier. Ces derniers ne comprennent toujours pas les raisons de ce déchaînement de violence vécu dans la nuit de dimanche à lundi dernier.

Les faits, révélés par Le Parisien , se sont produits aux alentours de 3 heures du matin à proximité du centre Robert-Louis-Dreyfus, un domaine de plusieurs hectares appartenant à l’OM et qui lui sert de centre d’entraînement et de formation. Les joueurs, qui avaient participé à la victoire de leur club contre Le Havre en Ligue 1 (2-1) quelques heures plus tôt, quittaient tranquillement le centre pour rentrer chez eux à bord de leur voiture personnelle lorsqu’ils ont été la cible de tirs d’arme à feu .

De source policière et judiciaire, les voitures d’Onana et de Moumbagna ont été touchées à plusieurs reprises par les tireurs, lancés à leur poursuite à bord d’un véhicule. Une troisième voiture, conduite par leur coéquipier Bamo Meïté et qui se trouvait à l'arrière du cortège, n’a essuyé aucun tir. Les trois joueurs ont rapidement quitté les lieux de la fusillade sans être blessés. Les tireurs ont quant à eux pris la fuite sans qu’on puisse les identifier. Une enquête en flagrance a été rapidement ouverte par le parquet de Marseille des chefs de «tentatives d’homicides» et confiée à la Division de la criminalité organisée et spécialisé (DCOS).

L’hypothèse d’un «car-jacking» balayée

Les investigations, toujours en cours ce mardi, laissent entrevoir plusieurs scénarios aux contours encore flous. Selon nos informations, l’hypothèse d’un « car-jacking », c’est-à-dire d’un vol de voiture, ne tiendrait finalement pas la route selon les enquêteurs, qui ont auditionné les joueurs. Ces derniers, «très choqués» par le déroulé des faits, ne comprennent pas comment les tireurs ont pu les retrouver «au bon endroit et au bon moment» pour commettre leur méfait, les footballeurs ayant même emprunté une «petite rue» discrète pour quitter leur centre d’entraînement.

Un «hasard» qui surprend également les forces de l’ordre, qui ont un temps envisagé la thèse d’une rencontre malencontreuse entre des trafiquants de drogue et les joueurs, pris pour des policiers en civil patrouillant dans le secteur. «Les tireurs les ont vus arriver dans la petite rue et ont pu croire qu’il s’agissait de policiers ou même d’une bande rivale», détaille une source policière au Figaro. Une thèse qui semble avoir été mise de côté par les enquêteurs, qui croient désormais en l’hypothèse d’un guet-apens qui aurait «mal tourné». «La volonté n'était peut-être pas de tirer, ça a vrillé», poursuit cette source, qui s’interroge sur la «méthodologie» employée par les braqueurs présumés.

Les motivations des agresseurs, elles, sont d’autant plus floues. Que recherchaient-ils, si ce n’est pas le vol des véhicules personnels des joueurs ? «Tout est envisageable», tente de résumer brièvement une autre source policière, également peu convaincue par une tentative de vol de voiture. Encore troublés par cette agression, Jean Onana et Faris Moumbagna ont immédiatement reçu le soutien de l’Olympique de Marseille, qui n’a pas souhaité faire de commentaires auprès du Figaro. Contacté, l’avocat du club, Olivier Grimaldi, n’a pas répondu à nos sollicitations.

Le Figaro

Information

MARSEILLE; Tirs sur des joueurs de l'OM : l'étrange poursuite

Deux jours après l'agression au volant de joueurs de l'OM à leur retour du centre d'entraînement de la commanderie, de nouveaux éléments rendent les circonstances de la fusillade encore plus étrange.

Dans la nuit de dimanche à lundi, peu après 3 h du matin, les Olympiens quittent la commanderie où ils ont récupéré leurs voitures à leur retour du Havre. Ils viennent de disputer le dernier match de la saison et rentrent chez eux. Vers 3 h 15, trois de leurs véhicules se suivent sur le boulevard des Libérateurs (12e). En tête, le Range Rover de Faris Moumbagna, suivi d'un second Range Rover conduit par Jean Onana. Plus loin, Bamo Meïté ferme la marche au volant d'une Toyota Yaris. Mais après quelques minutes, un autre véhicule apparaît.

L'ordre précis des faits est alors moins évident, mais le véhicule prend en chasse les Range Rover. À son bord, un individu ouvre le feu à au moins trois reprises sur les 4 x 4. Une balle atteint le Range Rover de Jean Onana au niveau du coffre. Deux autres projectiles touchent la voiture de tête. Elles se logent dans la portière du conducteur, Faris Moumbagna, qui accélère et parvient à échapper à ses agresseurs, avant de finir sa course contre un pylône. L'international camerounais est indemne mais sous le choc, comme son compatriote Jean Onana et Bamo Meïte qui, lui, n'a pas essuyé de tir, mais a assisté à la scène depuis sa Yaris.

Quelques minutes plus tard, les secours sont là. Mais les assaillants ont fui sans laisser de traces. Pas même d'étuis de munition, peut-être éjectés dans l'habitacle. À moins qu'un revolver ait été utilisé. Plusieurs ogives seront toutefois extraites des véhicules par la police scientifique.

Le parquet de Marseille ouvre aussitôt une enquête, confiée à la PJ. Des faits qualifiés de "tentatives d'homicide volontaire" qui valent à la Brigade de répression du banditisme (BRB) d'être saisie. Mais si dans les premiers instants, l'hypothèse d'une tentative de car-jacking s'impose, après deux jours d'enquête, "toutes les hypothèses restent envisagées", commentait sobrement hier le procureur de la république, Nicolas Bessone. Celle d'un car-jacking demeure, mais aussi celle d'une "méprise" des agresseurs après une erreur de navigation. L'hypothèse d'un rendez-vous qui aurait tourné au traquenard semble revanche écartée. "Tout est 'clean' de ce côté-là", indique une source proche du dossier.

La Provence

Bordel c'est flippant et gravissime

L'hypothèse qu'ils aient pu être pris par des flics en voiture banalisé, ça parait un peu chelou vu le modèle de bagnole et la config. 2 Range Rovers au milieu de la nuit, on imagine plus une bande des quartiers

alexduke, mieux vaut prévenir que guérir

« Liberté d’expression », « ne pas soutenir une orientation sexuelle imposée ». C’est vrai qu’il n’y a pas d’impôts à Monaco.

Quelle bande de cons

Ca n'a pas été le seul

Bon lui il a tenté d'esquiver

Herpès Léonard, pas d’accord. Il ramassait juste la savonnette ce coquin

gigi,

Ça serait rigolo qu'un joueur avec des sympathies nazies fasse pareil avec les logos no to racisme, en se parant de son droit a la liberté d'expression.

Ils confondent l'Europe et les USA les types.

Modifié en dernier par Lo Provençau le 22 Mai 2024, 19:18, modifié 1 fois.

Ils seraient capables d’en appeler au premier amendement dans leurs stories

Mais pourquoi ces types la ne vont pas vivre dans des pays correspondants a leurs croyances ?

Faudrait leur rappeler que ce n'est pas une conviction, c'est un délit.

Le pire ce sont les commentateurs et consultants qui les "comprennent"

Qui ça ? J’ai l’impression au contraire que tout le monde avait condamné

Par exemple :

Quel teubé

Le nombre de gens, même sérieux, même de plus de 13 ans, qui explique sérieusement que lutter contre l'homophobie c'est la même chose que vanter l'homosexualité ça donne envie de se tirer une balle quand même.

Ça serait rigolo qu'un joueur avec des sympathies nazies fasse pareil avec les logos no to racisme, en se parant de son droit a la liberté d'expression.

Ils confondent l'Europe et les USA les types.

ça mettrait en évidence leur mauvaise foi, mais ça serait pas vraiment rigolo quand même...

En tout cas, le joueur de Monaco, il est pas fin lui... Au moins, Mohamed, il joue pas, à la limite, je trouve ça plus cohérent, c'est entre lui et son club à la rigueur, il fait pas un tour de con pour se faire remarquer, c'est plus sobre je trouve. Mais l'autre, c'est l'attitude d'un gamin de 13 ans, il a dû être trop fier de lui quand il l'a fait dans les vestiaires... "hé j'suis pas une baltringue moi"...

Ce qui m'étonne, c'est que personne dans ce club ne l'ait remarqué et ne lui a rien dit. Avec toutes les caméras le soir d'un match de foot, c'était difficile de faire ça et de pas se faire remarquer

Le nombre de gens, même sérieux, même de plus de 13 ans, qui explique sérieusement que lutter contre l'homophobie c'est la même chose que vanter l'homosexualité ça donne envie de se tirer une balle quand même.

Ba disons que tu dois quand même avoir un bon contingent de Français qui considèrent la lutte contre l'homophobie comme de la propagande LGBT, et c'est une image qu'ils ont en-dehors de l'Occident, alors que dans leur pays, les homos doivent probablement se cacher pour éviter de se faire lapider...