[2014/15 - Ligue 1 - J25] OM 2-2 Reims

Le travelo en grande forme

Franchement, qu'ils publient de la merde qu'ils continuent. Au moins ça n'empêchera pas nos joueurs de dormir.


J'espère qu'on va bien jouer enfin ce soir, parce Reims c'est affligeant en ce moment.

Ridicule cette article , les clans y en a partout au monde , en famille , au boulot , au sport même au journal l Equipe .

Exactement
Après c'est pas pour autant que les mecs se détestent, c'est juste que certains ont plus d'affinités qu'avec dautres

Y a même des clans sur le Fofo.

Y a même des clandos sur le Fofo.

en effet, et on aime pas trop ca par ici

Après les journaleux ne comprennent pas pourquoi Bielsa refuse l'accès aux entrainements ....

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Les insultes de Florian Thauvin à l'encontre de Dimitri Payet à Rennes samedi dernier (1-1) l'ont mis en lumière :  les Marseillais sont loin d'être tous copains  et se regroupent logiquement par affinités.

SAMEDI DERNIER à Rennes (1-1), Dimitri Payet a invité vertement Florian Thauvin à lâcher son ballon plus rapidement. Sur ce coup-là, il pouvait passer pour le porte-parole d'un groupe lui aussi agacé parfois par l'ex-Bastiais. Mais la seule chose lâchée par Thauvin a été une grosse insulte à l'encontre du Réunionnais. Il paraît que ça fait partie de la vie d'un vestiaire. Pourtant, entre footballeurs, comme dans la vraie vie d'ailleurs, on n'insulte pas tous les jours les mamans de ses collègues de travail. En fait, les caméras de télévision du stade de la Route-de-Lorient ont révélé au grand jour ce qui était dans l'air depuis la saison dernière déjà : Thauvin et Payet ne s'apprécient guère, comme ils n'aimaient pas vraiment Mathieu Valbuena et vice versa. Est-ce si grave, docteur ? Deux fortes personnalités du vestiaire marseillais, André Ayew et André-Pierre Gignac, qui a souvent soupçonné le Ghanéen de faire du lobbying pour son frère Jordan quand il était à Marseille, ne sont pas les meilleurs amis du monde non plus. Mais, après cinq ans de vie commune au club, jamais ils ne se sont envoyé des noms d'oiseaux à la figure en public. En exposant sa colère devant les caméras, ce que n'avait pas fait Payet quand il avait insulté Valbuena dans le vestiaire à la mi-temps le 29 mars 2014 à Sochaux, Thauvin a ouvert l'air de la suspicion... et tout le monde ne verra plus la chose du même oeil quand l'un oubliera de faire la passe à l'autre.

Mais la vérité est qu'ils ne s'appréciaient pas plus quand l'OM écrasait tout sur son passage à l'automne 2014. Au coeur de cette période, d'ailleurs, Brice Dja Djédjé, plutôt proche de Nicolas Nkoulou, d'Ayew ou des jeunes Bangoura et Ndoumbou, s'était fait agresser par Gignac à la cantine du club. C'était le 30 octobre, au lendemain d'un autre déplacement à Rennes, pour le compte de la Coupe de la Ligue (1-2) – un voyage en Ille-et-Vilaine qui réveille décidément de vieilles rancoeurs. Le défenseur ivoirien et l'avant-centre avaient en effet déjà failli en venir aux mains sous l'ère José Anigo la saison dernière.

THAUVIN ISOLÉ MAIS PAS EXCLU

Le quotidien à l'OM ressemble donc parfois à une cour de récréation. Pas étonnant donc d'entendre le professeur Marcelo Bielsa évoquer les notes qu'il distribue à chacun de ses élèves, après chaque match, en concertation avec les autres profs, ses adjoints. Il serait réducteur pourtant de croire que le quotidien du vestiaire marseillais, où il y a des clans, comme partout, en fonction des affinités (voir ci-dessus), est rythmé par les conflits. Il y a aussi des amitiés et de belles histoires.

Steve Mandanda est un capitaine écouté et respecté. Mais pas forcément l'homme le plus sociable du vestiaire, au contraire de Gignac, qui, hormis ses soucis avec Dja Djédjé, papillonne d'un groupe à l'autre. Le gardien marseillais, plutôt proche au départ de Jérémy Morel ou d'André Ayew, avec lequel il a partagé longtemps le même agent, s'est pris d'amitié pour Thauvin. L'attaquant avait passé la nuit à l'hôpital avec l'international après son choc à la tête lors de la dernière journée la saison dernière contre Guingamp (1-0). Mandanda n'a jamais oublié ce geste. Thauvin, parfois jalousé en interne pour ses rapports privilégiés avec son président, Vincent Labrune, et son image de chouchou de Bielsa, semble parfois isolé. Mais il n'est pas exclu de la vie de groupe. Après le déplacement à Monaco (0-1, le 14 décembre), il était même resté en Principauté pour dîner avec beaucoup d'autres joueurs, dont… Payet et aussi Mario Lemina, un des rares jeunes de sa génération avec lequel il échange. Avant l'OM, les deux partageaient leur chambre lors de la Coupe du monde des moins de 20 ans en Turquie, à l'été 2013. Et la colocation s'est reformée un temps la saison dernière lorsque Thauvin, en plein divorce avec son ex-conseiller, « Tonton » Adil, venait parfois dormir chez lui. Chez les autres jeunes de l'effectif, il y a les solitaires, comme Giannelli Imbula, plutôt casanier, et les inséparables – Benjamin Mendy, Samba, Batshuayi, dont les tweets d'adieu à Doria (*) ont pris de cours la communication du club dans les derniers jours du mercato. Proche de ce trio, on retrouve Payet et Alaixys Romao, dont les femmes s'apprécient et qui louent ensemble une loge au Vélodrome. Enfin, il y a les gars du cru, comme Rod Fanni et Romain Alessandrini, qui s'est rapproché de Gignac dès son arrivée, à l'été 2014. Tous les trois sont nés dans la région et ils y ont beaucoup de connaissances en dehors du foot. Une respiration qui ne doit pas être désagréable parfois.

BAPTISTE CHAUMIER et VINCENT GARCIA

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OM : la guéguerre des étoiles


Entre l'arrivée de Lucas Ocampos et le retour d'André Ayew de la CAN, Marcelo Bielsa a désormais l'embarras du choix sur les côtés. Romain Alessandrini et Florian Thauvin vont vite devoir élever leur niveau.

MARCELO BIELSA a varié les schémas, parfois tenté de placer des joueurs axiaux (Payet, Batshuayi, Gignac) sur les côtés pour compenser les absences. Mais le temps du bricolage semble terminé. Avec le recrutement de Lucas Ocampos et le retour d'André Ayew de la Coupe d'Afrique des nations (CAN), les alternatives ne manquent pas, la concurrence promet d'être rude et les semaines longues pour ceux qui ne joueront pas, puisque Marseille n'est plus engagé qu'en Championnat.

André AYEW, LE GRAND GAGNANT ?

Les absents ont toujours tort ? Ça ne se vérifie vraiment pas pour André Ayew. Parti disputer la CAN avec le Ghana, le gaucher est de retour à l'OM avec un statut d'indispensable encore renforcé. Parce qu'il a réalisé une superbe compétition en Guinée équatoriale et parce que l'OM a semblé parfois tourner en rond sans lui. Avec sa sélection, il a systématiquement été aligné dans le couloir gauche, comme lors des six premiers mois à l'OM. Mais Bielsa n'exclut pas de l'utiliser dans une autre position pour l'associer à Giannelli Imbula, puisque ni Alaixys Romao ni Mario Lemina n'ont convaincu. Ayew (25 ans) a souvent évoqué, dans le passé, son envie de reculer d'un cran. À cinq mois de la fin de son contrat, il pourrait donc être entendu. Et enfin convaincre les recruteurs des grands clubs dont il rêve ? Pour cela, le Ghanéen devra oublier sa finale de CAN perdue et ses larmes.

THAUVIN, DOS AU MUR

Il a parfois regretté d'être le premier joueur à être remplacé mais Bielsa lui a maintenu une confiance indéfectible, même au coeur de l'automne, quand la comparaison avec Alessandrini ne jouait vraiment pas en sa faveur. Depuis, Florian Thauvin a amélioré ses statistiques (5 buts, 3 passes décisives), même s'il a encore des problèmes d'efficacité, comme les autres joueurs offensifs actuellement. Si Didier Deschamps garde un oeil sur lui, son rendement demeure insuffisant pour intégrer l'équipe de France. Chez les Bleus, Antoine Griezmann a pris plusieurs longueurs d'avance et le débat, avant France-Brésil (26 mars), porte essentiellement sur l'intégration du Lyonnais Nabil Fekir. L'ex-Bastiais (22 ans) n'a plus de temps à perdre.

En interne, il a subtilement fait passer des messages, glissant sa préférence pour le couloir gauche. Si André Ayew est disponible, son souhait paraît inconcevable, tant le Ghanéen est indispensable. Mais si ce dernier recule, l'ex-international Espoirs pourrait être entendu, puisque Ocampos peut évoluer à droite. Il a également un faible pour l'axe. La zone plutôt bien occupée par son ami... Dimitri Payet.

OCAMPOS, LE REBOND ?

Son nom avait été couché sur une liste de douze joueurs ciblés, dès le printemps 2014, par Marcelo Bielsa. L'entraîneur marseillais a finalement obtenu l'arrivée de Lucas Ocampos (20 ans) cet hiver. Prêté par Monaco avec une option d'achat automatique d'environ 11 millions d'euros en cas de qualification en Ligue des champions, l'Argentin a réussi ses débuts, à Rennes (1-1) le week-end dernier. Entré en jeu à la mi-temps, il a égalisé et montré une partie de ses capacités.

Ces qualités, le staff de l'ASM n'y croyait plus, lassé de ses inconstances. Ce n'est pas le cas de Bielsa, qui considère sa polyvalence – il peut jouer dans les deux couloirs ou en deuxième attaquant – comme un vrai atout.

ALESSANDRINI DANS L'IMPASSE

Pour Marcelo Bielsa, Romain Alessandrini est exclusivement un attaquant de couloir. Il serait même le seul dans son effectif. Ce n'est pas tout à fait exact puisque le gaucher (25 ans) a déjà occupé une position plus axiale lors de ses années rennaises (2012-2014). Mais ses capacités de percussion, sa qualité de pied et son goût de l'effort sont essentiels dans le jeu prôné par le technicien argentin. Cela ne lui assure pas une place dans le dispositif marseillais et il semble même avoir un temps de retard. Parce que la concurrence est féroce et parce qu'il n'a pas pu (su ?) saisir les opportunités.

En l'absence d'André Ayew, parti à la CAN, il a été un temps convalescent pour une entorse et son retour précipité face à Guingamp (2-1, le 18 janvier) a entraîné un problème au cartilage de sa cheville gauche, qui l'a encore éloigné des terrains. S'il n'a pas été aidé par ces pépins, il a été trop effacé à Rennes (1-1, le 7 février) pour inverser tout de suite la tendance. .

Ridicule cette article , les clans y en a partout au monde , en famille , au boulot , au sport même au journal l Equipe .

A ce moment là on peut pas parler de clan mais d'affinités naturelles entre individus au sein d'un groupe. Si clan il y a, moi je pense que oui, c'est nuisible à la vie d'un groupe.

La seule "utilité" de cet article, c'est qu'il nous rappelle que l'OM n'est plus engagé qu'en championnat, alors qu'on avait tout ce qu'il faut pour faire de beaux parcours en Coupe.

Putain de rage sur ces conn*rds individualistes égoïstes au melon surdimensionné qui préfèrent se faire éliminer par une CFA plutôt que de faire la bonne passe au bon moment à l'équipier seul devant les cages. Allez crever la bouche ouverte !

Une honte absolue cette "infographie" sur les amitiés des joueurs. Sérieux quel journalisme poubelle, si y'avait besoin d'une preuve que le journalisme sportif français n'a aucun intérêt pour le sport, on pouvait pas rêver mieux.

Un jour de match, alors qu'ils auraient pu analyser pourquoi on est moins performant, faire une infographie sur le pressing (qui est beaucoup moins coordonné qu'avant) par exemple, ils se contentent de parler de l'extra sportif, qui est comme toujours la seule chose qui les intéresse.

Sérieux, pour ce genre de chose, le club devrait se permettre un communiqué regrettant que l'Equipe ne sorte pas, parfois, du caniveau.

le "clan" batsuahayi/Mendy/Samba,ils l'ont trouve grace au selfie que les 3 ont fait pour le depart de Doria??

Je crois que l'on touche clairement le bas fond de l'abysse du "journalisme" sportif. J'espere qu'on va mettre une volee ce soir, ils auront l'air bien couillons.
Enfin non, ils feront quand meme une grosse une sur l'OM, il n'y a que ca qui les interesse, ca fait vendre. Et ce sont nous les 1ers responsable, si on n'achete plus l'Equipe ni ne vas plus sur leur site, ils se cassent la gueule.

Je pense que Bielsa a vite cerné le niveau des journalistes français. Il ne s'est d'ailleurs pas privé de le leur faire comprendre dès ses premiers interviews, au moment où l'équipe tournait à plein régime.
Là, on est moins bien, et les journalistes en profitent pleinement pour essayer de descendre Bielsa et inventer des pb entre les joueurs qui n'existent pas. Dans tous les clubs, à n'importe quel niveau, il y a des groupes qui se forment par affinités. Il n'y a rien de plus normal. et des têtes de cons, il y en a aussi dans tous les vestiaires...

Le problème c'est que ce journal sportif est le seul qui tire quotidiennement et qui tire le niveau vers le bas de plus en plus en remplissant leurs pages d'extra sportif c'est plus un closer du sport qu'un journal sportif.
Je ne lis plus ce torchon depuis longtemps et avec internet et les chaines d'infos continus plus besoin de se lever le matin pour acheter cette bouse pour avoir les résultats sportifs.
Et maintenant avec le progrès technique sortir un quotidien sportif est un échec si on ne mise que sur lui pour tirer des revenus.

Quel ramassis de merde.

ce sont des co**,
dans tout club ou association, les membres se regroupent par affinités,
des groupes d'âge , de loisirs, dont les femmes font les magasins ensemble, ou ayant des gamins du même âge
c'est chercher la petite bête ou les poux dans la paille leur article

Trouver sur le site de Reims

Spoiler: montrer

http://stade-de-reims-paolo92.skyrock.com/tags/2mPb7Xi4XVq-Marseille.html

EDITH : c'est bien gentil de passer 1-2 fois par an juste pour poster un lien vers ton blog, mais ce serait sympa de participer un peu plus et ça éviterait cette impression du gars qui vient juste pour faire sa pub perso.

Modifié en dernier par Carlo le 13 Fév 2015, 14:11, modifié 1 fois.

Je sais pas si vous réalisez que l'Epique est juste dans ce mouvement global de "peopolisation" des médias, que ce soit en sports en politique en économie etc (et je parle pas des médias eux-mm hein ^^), dans tout ske vous voulez ce qui prime de plus en plus c'est le scoop vie perso, le dernier selfie avec une célèb', le tweet retweeté 109834 fois, le compte FB avec pleins de Like, etc etc...

Le "social" au sens (très, trop) large du terme est en train de gagner la bataille, tranquille. Pour les infos et le fond, vous repasserez, personne n'achète, ou si peu.

Ce qui est paradoxal avec l'Equipe c'est que leur version Mag' est d'excellente qualité.

Sinon, je vous invite à continuer cette discussion dans le bar, j'ai posté un lien sur le même thème qui en dit long sur le niveau du journalisme.