Magneto a écrit:La nuit passée, je me remets toujours pas de l'absence de Payet dans ce match.
j'avais eu la mm réaction suite au match au LOL, suite auquel je me souviens plus avoir autant ragé sur une défaite depuis des lustres, je veux dire lundi soir j'avais encore de la bave de RAGE aux lèvres...
(et ça s'est vu )Ensuite je me suis dit que si Payet avait le même niveau
face au QSG et au LOL que face à Reims ou Nice, c'est simple, il ne serait pas à l'OM, tout simplement. Ça console pas complètement œuf corse, mais ça explique et ça calme, du moins.
Jolie nalyse très juste du
Bourricot, me souviens des premiers matches de Moco et Abdennour était pas catastrophique, il était CA-TA-CLY-SMIQUE
, faudrait lui poser la question mais je suis sûr que Jardim a eu de sérieuses envies de se pendre en août-septembre (pour de bon son équipe était immonde).
Sinon pour revenir au match d'hier, certains avancent que ce n'est pas une catastrophe en soi, et ils ont raison.
Mais ce qui me gêne c'est surtout ce que ce match projette pour le futur proche. En ski me concerne, pour moi le titre c'est terminé, paradoxalement une journée où Paris perd son 1er match en championnat. On a jamais vu une équipe se vautrer chez TROIS rivaux directs et remporter le titre, en tous cas je crois pas. Pas tant sur le plan comptable (encore que évidemment ça compte), mais je répète sur ce que ça "dit" de l'équipe en question.
Belle 1ère mi-temps ce sidi, comme prévu les Mocogasques nous ont attendu en priant pour que les cages soient trop étroites pour nos joueurs (et elles le furent, c'est insupportable putain
) et en enchaînant les tirages de maillot et autres vicieuseries au milieu de terrain, pour mieux nous cueillir en 2nde période, notre pire si j'ai bien compris les comm's.
La dynamique de l'OM est passée d'excellente à bonne puis moyennasse, doit y avoir de la fatigue physique mais aussi psychique, le manque de leader ça finit par se payer cash, bref la (courte) trêve arrive et c'est tant mieux.
Reste encore un match, et celui-là, faut EXÉCUTER notre adversaire, sinon rien.