Re: [PSG 2013-14] Qatar Act III : Le Cheikh en Blanc
07 Mai 2014, 21:56
Enculés de parisiens qui faussent le maintien !! Merde !
Allez Sochaux quand même !
Allez Sochaux quand même !
Re: [PSG 2013-14] Qatar Act III : Le Cheikh en Blanc
07 Mai 2014, 22:26
Jack73 a écrit:Le QSG officiellement Champion de France qui sort sous les sifflets du parc à la mi-temps
Rennes qui mène au Parc 2-1
Un public de connaisseurs
Re: [PSG 2013-14] Qatar Act III : Le Cheikh en Blanc
08 Mai 2014, 05:54
sonny a écrit:Jack73 a écrit:Le QSG officiellement Champion de France qui sort sous les sifflets du parc à la mi-temps
Rennes qui mène au Parc 2-1
Un public de connaisseurs
www.clubdemerde.fr
Re: [PSG 2013-14] Qatar Act III : Le Cheikh en Blanc
08 Mai 2014, 07:07
Comme il se la péte Laurent blanc dans son itw après leur soirée arrosée. Mais putain
Re: [PSG 2013-14] Qatar Act III : Le Cheikh en Blanc
08 Mai 2014, 07:28
belle partie hier soir, le PSG démontre sa supériorité sur les autres clubs, vainqueur de la L1 à 2 journées de la fin 
les Qatars boys et leurs dirigeants avaient l'air ravi , pour l'an prochain, va falloir, serrer les boulons et mettre un peu plus d'engagement, sinon la désillusion sera là
les Qatars boys et leurs dirigeants avaient l'air ravi , pour l'an prochain, va falloir, serrer les boulons et mettre un peu plus d'engagement, sinon la désillusion sera là
Re: [PSG 2013-14] Qatar Act III : Le Cheikh en Blanc
08 Mai 2014, 07:37
J'ai regardé jusqu'au 2ème but rennais. Mais la première partie de mi temps de Rennes jusqu'à son but. Des plots . Un remake de la coupe de France. avec en point d'orgue le cadeau d'Armand (sic) au PSG. Mais bon, c'était l'équipe bis de Rennes, donc fallait pas trop leur en demander.
Et ce Nelson Oliveira, je sais pas s'il s'est amélioré après, mais quel sacré boulet.
. Un remake de la coupe de France. avec en point d'orgue le cadeau d'Armand (sic) au PSG. Mais bon, c'était l'équipe bis de Rennes, donc fallait pas trop leur en demander.Et ce Nelson Oliveira, je sais pas s'il s'est amélioré après, mais quel sacré boulet.
Re: [PSG 2013-14] Qatar Act III : Le Cheikh en Blanc
08 Mai 2014, 08:16
je lutterais pour le maintien je l'aurais mauvaise la.
Quelle attitude detestable putain.
Quelle attitude detestable putain.
Re: [PSG 2013-14] Qatar Act III : Le Cheikh en Blanc
08 Mai 2014, 08:45
Non mais j'ai retrouvé l'article de son ITW... http://www.football.fr/ligue-1/articles ... er-564866/
#chevillesquienflent #autofellation
Information
Laurent Blanc est arrivé très tard en conférence de presse, bien après minuit, festivités du titre avec les joueurs obligent. Malgré la défaite face à Rennes mercredi (1-2, 36e journée de Ligue 1), il savoure le titre. Sa prolongation de contrat n'est toujours pas officialisée mais ne saurait tarder. L'entraîneur parisien a surtout profité de l'occasion pour faire quelques mises au point à son sujet.
Laurent, y a-t-il eu de la fête malgré tout ?
Oui. Je pense qu’il y en aura une plus importante et organisée contre Montpellier. Quelques joueurs ont été très, très bons après le match, dans le vestiaire, pour faire des bêtises. Ça fait partie de la joie inhérente à un titre, c’était ponctuel mais bien amené. Ce qu’il faut retenir, c’est le titre. Je suis déçu de la défaite et j’espère finir avec quelques points de plus d’ici la fin pour battre le record. Avec le championnat qu’elle a fait, cette équipe mérite d’entrer dans le livre des records de Ligue 1. Mais pour ça, il faudra rester concentrés, prendre des points à Lille et contre Montpellier. Ce ne sera pas évident, comme ça ne l’a pas été d’apprendre que Monaco a fait 1-1 alors qu’on est en plein discours d’avant-match… Il faut voir ça sur le global, les louanges sont pour les joueurs, le staff technique et médical. Au départ, le résultat n’était pas acquis.
Allez-vous prolonger ?
Oui, vous le verrez dans peu de temps… Mais puisqu’on est champions, je veux mettre les choses au point. J’ai peut-être fait une erreur de communication, je me disais qu’il était hors de question de prolonger tant qu’on n’était pas titrés. Même s’il y avait des discussions ou des accords avec le club, mais ça, vous ne le saviez pas… Le problème, c’est que ça part dans tous les sens et vous affirmez des choses très fausses. C’est peut-être ma faute, mais je pense que les journalistes doivent vérifier. Il paraît que j’exige certaines choses, que je demande un "team manager", que je trouve mon salaire pas assez élevé… Voilà, passons à une autre question (sourire).
Est-ce que ce titre efface l’échec en Ligue des champions ?
Tout le monde a du mal à digérer. Même si on veut la gagner à l’avenir, on n’a pas de garanties là-dessus. Il y a plein d’exemples qui le démontrent. Je vais faire mon possible, j’ai appris beaucoup en tant qu’entraîneur. J’ai retenu beaucoup et je n’ai sans doute pas réalisé les meilleures choses, sinon on se serait qualifiés. Si tout le monde essaie de faire mieux, c’est comme ça qu’on progresse. Le problème, c’est que j’ai l’impression que notre saison est seulement évaluée sur la Ligue des champions. Et comme tout le monde veut qu’on la gagne, la saison est pratiquement bonne à jeter aux orties ! C’est un peu simpliste, car Manchester City est éliminé en huitièmes et va être champion… Si c’était arrivé au PSG, ç’aurait été un désastre et tout le monde aurait crié sur tous les toits. Pour l’entraîneur, je n’en parle même pas… On connaît les règles du jeu, mais je pense qu’on sous-évalue un peu les titres nationaux. Il faut voir si on analyse la saison sur 10 mois ou les quatre derniers matches. Il faut analyser tout le championnat. Parce que si on finit en boulet de canon après un départ difficile, quelle est l’analyse ? Il faut être réaliste et juste.
"Pas convaincu que Paris serait champion avec n'importe quel entraîneur"
Quelles images fortes de la saison retenez-vous ?
Il y en a beaucoup. On commence par deux nuls et il y a de la pression, surtout sur l’entraîneur dont on se demande s’il ne va pas faire ses valises. On a su rectifier le tir avec une bonne préparation physique. Il y a eu des matches clés comme celui à Marseille – je ne le fais pas exprès – où on domine dans le jeu à 10 contre 11 sur toute la deuxième période. Ça nous a persuadé, ça a confirmé qu’on était sur le bon chemin et qu’on était très forts. Il y en a certainement eu d’autres, ceux très maîtrisés dans le jeu à domicile. C’est important pour moi, on a su allier le beau jeu et les buts. Ce n’est pas si facile, on l’a vu sur la fin de saison où on avait encore le jeu mais plus l’efficacité… On disait que c’était facile quand on gagnait 4-0 ou 5-0, mais ce sont des moments qu’il faut savoir apprécier. C’était une très, très belle saison.
Qu’est-ce qu’on ressent quand on est champion sans jouer ?
Je ne voulais pas regarder ce match de Monaco. Mais tu as toujours un ami qui se charge de t’annoncer le score… J’étais en train de préparer mon discours d’avant-match de 30 secondes, il n’a même pas duré 10 secondes (sourire)… On a bien attaqué le match durant les 25 premières minutes, et après on est retombés dans nos travers avec trop de passes non efficaces. Ça nous a mis devant le fait accompli et on n’a pas mal joué en seconde période, face à une équipe qui jouait son maintien et était très regroupée. On n’a pas su concrétiser.
Où placez-vous ce titre par rapport à celui de Bordeaux ?
Ce n’est pas la même chose. A Bordeaux, c’était le premier, et on se souvient toujours plus des premières fois. Mais celui-là, je l’apprécie. Car au début, on disait que Paris serait champion avec n’importe quel entraîneur. C’est peut-être vrai, mais je n’en suis pas convaincu… Il faut marquer des points, instaurer une philosophie de jeu et discuter avec de grands joueurs. On ne choisit pas 11 mecs qu’on met sur le terrain et voilà, ce serait trop simple… Oui, les joueurs font tout, mais le staff technique est important aussi. Dans les bons comme les mauvais moments.
Ces critiques vous ont-elles perturbé ?
On parle sans savoir. La jalousie est un vilain défaut, c’est ce que disait mon père et il avait raison. Ça finit toujours par de la méchanceté. Je n’ai pas ce défaut-là, heureusement, même si j’en ai d’autres… Il faut venir voir comment on travaille au PSG, je ne reste pas dans la tribune. Je fais comme tous les autres, je participe à l’entraînement et à certaines choses. Oui, je délègue beaucoup, mais je crois qu’un entraîneur de très, très haut niveau doit déléguer parce qu’il y a plein de choses à gérer. Pour moi, tout le monde a raison. Il ne faut pas critiquer. La sortie de Christian Gourcuff, c’est oublié. Je suis beaucoup allé à l’étranger, j’ai eu cette chance et il faut ouvrir son esprit. Il y a sans doute d’autres méthodes qui sont bonnes, mais il n’y en a pas qu’une.
Laurent, y a-t-il eu de la fête malgré tout ?
Oui. Je pense qu’il y en aura une plus importante et organisée contre Montpellier. Quelques joueurs ont été très, très bons après le match, dans le vestiaire, pour faire des bêtises. Ça fait partie de la joie inhérente à un titre, c’était ponctuel mais bien amené. Ce qu’il faut retenir, c’est le titre. Je suis déçu de la défaite et j’espère finir avec quelques points de plus d’ici la fin pour battre le record. Avec le championnat qu’elle a fait, cette équipe mérite d’entrer dans le livre des records de Ligue 1. Mais pour ça, il faudra rester concentrés, prendre des points à Lille et contre Montpellier. Ce ne sera pas évident, comme ça ne l’a pas été d’apprendre que Monaco a fait 1-1 alors qu’on est en plein discours d’avant-match… Il faut voir ça sur le global, les louanges sont pour les joueurs, le staff technique et médical. Au départ, le résultat n’était pas acquis.
Allez-vous prolonger ?
Oui, vous le verrez dans peu de temps… Mais puisqu’on est champions, je veux mettre les choses au point. J’ai peut-être fait une erreur de communication, je me disais qu’il était hors de question de prolonger tant qu’on n’était pas titrés. Même s’il y avait des discussions ou des accords avec le club, mais ça, vous ne le saviez pas… Le problème, c’est que ça part dans tous les sens et vous affirmez des choses très fausses. C’est peut-être ma faute, mais je pense que les journalistes doivent vérifier. Il paraît que j’exige certaines choses, que je demande un "team manager", que je trouve mon salaire pas assez élevé… Voilà, passons à une autre question (sourire).
Est-ce que ce titre efface l’échec en Ligue des champions ?
Tout le monde a du mal à digérer. Même si on veut la gagner à l’avenir, on n’a pas de garanties là-dessus. Il y a plein d’exemples qui le démontrent. Je vais faire mon possible, j’ai appris beaucoup en tant qu’entraîneur. J’ai retenu beaucoup et je n’ai sans doute pas réalisé les meilleures choses, sinon on se serait qualifiés. Si tout le monde essaie de faire mieux, c’est comme ça qu’on progresse. Le problème, c’est que j’ai l’impression que notre saison est seulement évaluée sur la Ligue des champions. Et comme tout le monde veut qu’on la gagne, la saison est pratiquement bonne à jeter aux orties ! C’est un peu simpliste, car Manchester City est éliminé en huitièmes et va être champion… Si c’était arrivé au PSG, ç’aurait été un désastre et tout le monde aurait crié sur tous les toits. Pour l’entraîneur, je n’en parle même pas… On connaît les règles du jeu, mais je pense qu’on sous-évalue un peu les titres nationaux. Il faut voir si on analyse la saison sur 10 mois ou les quatre derniers matches. Il faut analyser tout le championnat. Parce que si on finit en boulet de canon après un départ difficile, quelle est l’analyse ? Il faut être réaliste et juste.
"Pas convaincu que Paris serait champion avec n'importe quel entraîneur"
Quelles images fortes de la saison retenez-vous ?
Il y en a beaucoup. On commence par deux nuls et il y a de la pression, surtout sur l’entraîneur dont on se demande s’il ne va pas faire ses valises. On a su rectifier le tir avec une bonne préparation physique. Il y a eu des matches clés comme celui à Marseille – je ne le fais pas exprès – où on domine dans le jeu à 10 contre 11 sur toute la deuxième période. Ça nous a persuadé, ça a confirmé qu’on était sur le bon chemin et qu’on était très forts. Il y en a certainement eu d’autres, ceux très maîtrisés dans le jeu à domicile. C’est important pour moi, on a su allier le beau jeu et les buts. Ce n’est pas si facile, on l’a vu sur la fin de saison où on avait encore le jeu mais plus l’efficacité… On disait que c’était facile quand on gagnait 4-0 ou 5-0, mais ce sont des moments qu’il faut savoir apprécier. C’était une très, très belle saison.
Qu’est-ce qu’on ressent quand on est champion sans jouer ?
Je ne voulais pas regarder ce match de Monaco. Mais tu as toujours un ami qui se charge de t’annoncer le score… J’étais en train de préparer mon discours d’avant-match de 30 secondes, il n’a même pas duré 10 secondes (sourire)… On a bien attaqué le match durant les 25 premières minutes, et après on est retombés dans nos travers avec trop de passes non efficaces. Ça nous a mis devant le fait accompli et on n’a pas mal joué en seconde période, face à une équipe qui jouait son maintien et était très regroupée. On n’a pas su concrétiser.
Où placez-vous ce titre par rapport à celui de Bordeaux ?
Ce n’est pas la même chose. A Bordeaux, c’était le premier, et on se souvient toujours plus des premières fois. Mais celui-là, je l’apprécie. Car au début, on disait que Paris serait champion avec n’importe quel entraîneur. C’est peut-être vrai, mais je n’en suis pas convaincu… Il faut marquer des points, instaurer une philosophie de jeu et discuter avec de grands joueurs. On ne choisit pas 11 mecs qu’on met sur le terrain et voilà, ce serait trop simple… Oui, les joueurs font tout, mais le staff technique est important aussi. Dans les bons comme les mauvais moments.
Ces critiques vous ont-elles perturbé ?
On parle sans savoir. La jalousie est un vilain défaut, c’est ce que disait mon père et il avait raison. Ça finit toujours par de la méchanceté. Je n’ai pas ce défaut-là, heureusement, même si j’en ai d’autres… Il faut venir voir comment on travaille au PSG, je ne reste pas dans la tribune. Je fais comme tous les autres, je participe à l’entraînement et à certaines choses. Oui, je délègue beaucoup, mais je crois qu’un entraîneur de très, très haut niveau doit déléguer parce qu’il y a plein de choses à gérer. Pour moi, tout le monde a raison. Il ne faut pas critiquer. La sortie de Christian Gourcuff, c’est oublié. Je suis beaucoup allé à l’étranger, j’ai eu cette chance et il faut ouvrir son esprit. Il y a sans doute d’autres méthodes qui sont bonnes, mais il n’y en a pas qu’une.
#chevillesquienflent #autofellation
Re: [PSG 2013-14] Qatar Act III : Le Cheikh en Blanc
08 Mai 2014, 09:21
Décidément, le QSG n'arrive jamais à fêter ses titres. 
Re: [PSG 2013-14] Qatar Act III : Le Cheikh en Blanc
08 Mai 2014, 09:41
Putain les mecs je vais prendre mon pied quand on va allé leur botter les fesses au Parc la saison prochaine.
IL est où le smiley el loco ?
IL est où le smiley el loco ?
Re: [PSG 2013-14] Qatar Act III : Le Cheikh en Blanc
08 Mai 2014, 09:45
Bonne idée, je vais en faire un 
Re: [PSG 2013-14] Qatar Act III : Le Cheikh en Blanc
08 Mai 2014, 09:48
Re: [PSG 2013-14] Qatar Act III : Le Cheikh en Blanc
08 Mai 2014, 09:52
Bibpanda a écrit:Putain les mecs je vais prendre mon pied quand on va allé leur botter les fesses au Parc la saison prochaine.
IL est où le smiley el loco ?
J'ai trop hate de connaitre ce moment
Re: [PSG 2013-14] Qatar Act III : Le Cheikh en Blanc
08 Mai 2014, 10:55
Je voulais inserer un tweet de Raphael Raymond qui clashe Blanc suite à son itw, mais je n'arrive pas ..Y'en a t'il un qui peut m'indiquer comment faire ?
Re: [PSG 2013-14] Qatar Act III : Le Cheikh en Blanc
08 Mai 2014, 11:14
Comme indiqué au survol du BBcode... tu ouvres le tweet, et tu copies-colles le lien de ton navigateur. Ca donne ça :
