MassaliaLive.com

[Betsamee]

De Mongolfier qui nous la joue genre il a pas kiffe se faire Tapie

[pretender]

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[Betsamee]

Emouvant Sauzee , c'est ca aimer l'OM

[Lo Provençau]

Ouaip. Sauzée et Di Méco avaient limite les larmes aux yeux. Moi aussi d'ailleurs.

[pretender]

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[EL MAGNIFICO]

merde j'ai loupe le doc

[Lordi0m]

J'avais 8ans et demi (oui quand tes petit le "et demi" ça compte vachement).

Je me souvient que j'avais l'habitude de voir des bouts de match à la télé de n'importe quel match de foot, je n'étais pas encore fan, venant d'Alsace je savais juste une chose, c'est que j'aimais pas le RC Strasbourg.
Pour pas faire comme tous le monde et les copains de l'école je disais qu'ils étaient nul, sans trop savoir.
J'aimais certains joueur, j'aimais Vôller (pour sa moustache qui me faisait rire) et Papin notamment. Mes parents ne suivait pas trop le foot, mon père de temps un autre un match, moi je regardais surtout téléfoot !
Voilà ou j'en étais niveau foot en général.

Et vient ce soir de 26 mai 1993, je me souvient que mon père était là pour une fois, dans mes souvenirs je crois pas qu'avant le match j'ai eu vent d'un engouement spécial. Mais ce soir là, mon père regardais le match avec moi dans ce canapé en cuir blanc devant la table basse en verre et en bambou. Et il me dit que je pourrais voir le match en entier. C'est là dans les premières minutes du match, alors que Barthez s'en prend pleins la figure que je comprends que c'est pas normal !

Dans mes souvenirs il y a la fatigue, j'étais fatigué mais super excité quand même, je me souvient du but, avant la mi temps, de la joie que ça procurait, d'avoir crié et d'avoir fait peur a ma mère qui était venu voir ce qu'il se passait .
Je me souvient que je me disait que ça durerais super longtemps les mi-temps (c'était la première que je ne passais pas a aller me coucher...).

J'ai moins de souvenir de la seconde mi temps, (sauf de l'entrer de Papin) mais je me souvient de la double délivrance de la fin de la rencontre, de un fini le match donc c'est bon, on a gagner (oui "on" car à ce moment précis, c'était bon, le virus avait pris.) et du fait de pouvoir aller me coucher !
Dans mon village de 300 habitants, pas d’effervescence, pas de klaxons...
Je me souvient du lendemain ou du sur lendemain avoir dis a pas mal de copain de classe que j'étais du coup, fan de l'OM !
S'en est suivit beaucoup de galère quand ils sont tombé en D2 (ça chambrais de la part des "Strasbourgeois"), je suivais quelques matchs sur france info notamment, j'avais mes vignettes paninis ou même en D2 ils y avait une page spécial OM !

Plus qu'un match de foot, pour moi, mon 26 mai 1993, c'est le début d'une passion, une nuit d'apprentissage de ce que peux être la ferveur.

Ah et merci Papa pour m'avoir permis de regardé ce match

[dlb1664]

merde j'ai loupe le doc

t'inquiètes, lui il va pas te louper

[gob]

j'étais en plein examens de 3e année de médecine.

Vu le match avec des potes, genre coca-pizzas-baguettes des grandes occasions, 44 minutes a souffrir, 1 minute de bonheur, 15 minutes d'angoisse et 48 minutes de peurance ( peur et souffrance cumulées).
Et puis ensuite : fumis dans la piscine, virée en ville sur le toit des bagnoles ( tout le monde faisait n'importe quoi, c'est hallucinant) puis le vieux port puis retour at home avec images VHS en boucle jusqu'à 7 heures du mat et le départ pour la fac et l'épreuve de pharmacologie.

Retrouver que des mecs détronchées ( y compris les profs et appariteurs), ne rien comprendre aux questions posées, sauver les meubles avec les appariteurs qui nous laissaient sortir nos cours ( pas longtemps quand même ), puis retour maison et départ pour le stade pour attendre les joueurs.
Là, ambiance de feu, attente interminable et puis les cris et les cornes de brume dehors vers 20 h et enfin, l'arrivée des joueurs et toute la folie qui suit ( la coupe, les chants de boli etc ...)

Le temps de torcher une dernière épreuve le lendemain et nous étions samedi pour ce match d'anthologie contre ce qui était encore Paris à l'époque, le but de Boli d'un autre monde, les hools parisiens et les blessés marseillais et puis le titre de champion.

Trois jours de malade.

Et puis, la satisfaction très personnelle de pouvoir quelques jours après prendre et soulever cette coupe d'Europe ( je serai bien parti en courant avec )

[pretender]

Vu que L'Equipe consacre pas mal d'articles (good) sur le sujet, j'ai pensé que ça valait le coup de les partager ici :

Information

http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Sauzee-ma-meilleure-saison/372582

Le 22/05/1993 à 12:05:00
Foot - OM 93 :
Franck Sauzée : « La meilleure saison de ma carrière »


Vingt après le sacre européen de l'OM face à Milan (1-0), le 26 mai 1993, à Munich, nous avons retrouvé les acteurs de la finale. Témoignage de l'ancien milieu de terrain international Franck Sauzée (47 ans), aujourd'hui consultant pour Canal Plus.

Franck Sauzée : «1992-1993, la plus belle saison de ma carrière » (L'Equipe)

Criée et tueurs à gages

« Moi, j’étais comme Eric Di Meco, avec qui j’étais en chambre : je n’aimais pas m’entraîner. On était vraiment fait pour les matches. Et j’appréciais l’engagement. Dans cette équipe, on était des guerriers ! On aimait bien « rentrer dans la moulure » et on avait une défense de tueurs à gages ! On était très disciplinés et exigeants avec nous-mêmes. Le premier qui reculait dans un duel et n’en sortait pas vainqueur se faisait pourrir par les autres. C’était comme la criée sur le Vieux-Port ! Une équipe qui ne se parle pas, elle ne vit pas… Nos adversaires nous craignaient car ils savaient qu’on était prêts à flirter avec nos extrêmes limites pour parvenir à nos fins.

Numéro 8 pas bridé

J’ai vécu quatre super saisons à l’OM (1988-90 puis 1991-93), je suis très attaché à ce club, à la région. Aujourd’hui encore, je vis en pleine campagne, dans un petit village, au nord d’Aix-en-Provence. Cette saison-là (1992-93), j’étais un numéro 8 très attiré par le but. Je pense d’ailleurs que ce fut la meilleure saison de ma carrière. En finale, par contre, je me suis trouvé moyen. J’avais un rôle plus défensif. J’avais Rijkaard à l’impact et on s’est annihilés. Les Milanais avaient l’habitude de presser et de jouer sur 30 mètres. Les autres équipes n’avaient peut-être pas assez de caractère pour les défier dans leur propre registre. Nous, on a su le faire.


Cachetons recrachés

J’étais fou quand Jean-Jacques Eydelie a dit que les joueurs avaient fait la queue, juste avant la finale, pour recevoir une piqûre dans le cul (*). C’est honteux. Mais il m’est arrivé d’être confronté à « ça ». Quand j’étais jeune, il y avait le Captagon (un psychostimulant), peut-être que j’en ai pris « à l’insu de mon plein gré », comme dirait l’autre… Après, on a tous joué, un jour, sous infiltration. Mais je n’avais pas envie de prendre des trucs qui auraient pu m’amener à le payer un jour. Dans ce métier, tu ne sais pas forcément ce qu’on va te filer. A l’OM, Joël Coste (le second médecin du club, à l’époque) faisait tampon entre Bernard Tapie et les joueurs. Avec Tapie, il fallait feindre. En cas de doute, je faisais semblant d’avaler le cachet, je le mettais sous ma langue et j’allais le recracher aux toilettes… »

(*) Eydelie raconte cette scène à la page 91 de son ouvrage Je ne joue plus !, paru en 2006 (Ed. l’Archipel).
Recueilli par Alban TRAQUET, à Aix-en-Provence

[pretender]

A voir aussi cette vidéo de Boksic. J'avais oublié qu'il parlait le français.
Comment je le kiffais-kiffe l'Alan. Version olympienne, c'était bonnard (de même du souvenir de joueur qu'il était à la Lazio).
La justesse et la finesse élégante technique du geste.

http://video.lequipe.fr/video/a6a89872f1ds.html

[pretender]

Je mets les autres en spoil :

Rudi Völler : "Milan venait d'une autre étoile"

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Le 21/05/1993 à 18:05:00
Foot - OM 93 :
Rudi Völler : «Milan venait d'une autre étoile...»

Vingt ans après le sacre européen de l'OM face à Milan (1-0), le 26 mai 1993, à Munich, nous avons retrouvé les acteurs de la finale. Témoignage de l'ex-attaquant international allemand Rudi Völler (53 ans), actuel directeur sportif de Leverkusen.


Allô, Franz ?

«Quand j’ai signé à l’OM (à l’été 1992), j’arrivais de l’AS Roma, où j’avais évolué cinq saisons. Quand j’étais joueur, j’ai toujours essayé de voir plus loin, au-delà de la rive. Bernard Tapie voulait me prendre. Alors avant de signer, j’ai téléphoné à Franz Beckenbauer (la légende allemande avait brièvement entraîné l’OM en 1990-91). C’est pourquoi rien ne m’a surpris ensuite, chez Bernard Tapie… Dans son style, c’était un grand « motivateur ». Mais je lui ai toujours dit ce qui ne me plaisait pas quand je l’estimais nécessaire. C’est une des raisons pour laquelle il me respectait, d’ailleurs.

L'ami du petit déjeuner

A mon arrivée à Marseille, je logeais à l’hôtel avec Fabien Barthez, Marcel Desailly et Raymond Goethals (l’ancien entraîneur de l’OM est décédé en décembre 2004, à 83 ans). On se croisait tous les matins au petit déjeuner et Goethals commençait à fumer dès 8 heures. Un véritable artiste : il arrivait à boire et manger tout en tirant sur sa cigarette. Mais c’était un grand homme. Il avait un très bon œil et une super expérience. Partout où je suis passé, j’ai toujours eu une bonne relation avec les supporters, mes coéquipiers ou les responsables du club. Bon, je suis Allemand et j’arrivais de la Roma, où c’était bien organisé. A Marseille, ce ne l’était pas aussi bien…


Milan, la « référence ultime »

Sur le but de Boli, heureusement que je ne touche pas le ballon ! Et il y a beaucoup d’autres photos de moi plus belles que celle-ci (sourire). Face au Milan, on a atteint quelque chose que l’on ne pensait pas nous voir atteindre. Normalement, les Milanais étaient imbattables : c’était la meilleure équipe du monde à l’époque. Une équipe qui venait d’une autre étoile. Milan était la référence ultime et le championnat d’Italie était, de loin, le meilleur d’Europe. L’affaire VA-OM ? Je l’ai vécue comme les autres et j’étais surpris, d’autant plus que nous étions tellement forts ! C’est pour ça que je n’ai jamais compris cette histoire… »

Recueilli par Alban TRAQUET à Leverkusen

VA-OM : Et maintenant Munich !

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Le 21/05/1993 à 09:00:00
Foot - 21 mai 93 :
VA - OM : Et maintenant Munich !

L'OM a fait le travail en s'imposant à Valenciennes (1-0) grâce à un but d'Alen Boskic. Un succès qui permet aux Marseillais de se rapprocher d'un cinquième titre et de préparer la finale de la Ligue des champions dans les meilleures conditions.

Le but de Boksic, l’unique de la rencontre, vaut de l’or. Vainqueur (1-0) tout en maîtrise à Valenciennes, l’OM compte désormais six points d’avance sur ses poursuivants parisiens et monégasques. Et même si le PSG et l’ASM venaient à s’imposer samedi face à Nantes et à Metz, jamais un leader avec quatre points d’avance à deux journées de la fin n’a été privé de son titre. Marseille se rapproche donc à toute vitesse de son cinquième titre consécutif, le neuvième de son histoire. Et cerise sur le gâteau, la bande à Deschamps peut désormais se concentrer l’esprit libre vers la grande finale de Munich. Le club nordiste, en revanche, voit son avenir dans l’élite s’assombrir.
La rencontre ? Pas vraiment du grand spectacle à vrai dire. Les ambitions sont différentes des deux côtés, tout comme le niveau des deux formations. Pelé, après un mauvais renvoi de Pageaud, est tout près d’ouvrir la marque d’entrée (2e). Mais Marseille, qui impose son physique et sa vitesse à des Valenciennois sans génie, trouve l’ouverture par Boksic qui marque en deux temps après un service de son compère ghanéen (21e). Le plus dur est fait pour l’OM qui se contente ensuite de gérer son avance… et ses efforts en vue du choc contre Milan, Goethals se permettant de sortir Pelé à la mi-temps. Et malgré un retourné de Gohel (40e) et l’activité de Burruchaga après la pause, VA, amoindri par la sortie sur blessure de Robert (23e), ne parviendra pas à inquiéter une équipe phocéenne déjà tournée vers Munich.
La fiche de match et les notes

VALENCIENNES – MARSEILLE 0-1 (0-1)
18 102 spectateurs. Arbitre : M. Veniel. But : OM : Boskic (21e)
Avertissements : Régis (19e) et Duncker (79e) à Valenciennes ; Boksic (19e) et Deschamps (57e) à Marseille.
VALENCIENNES : Pageaud (5) – Foulon (5), Glassman (5), Régis (5), Gaillot (5) – Grosselin (6), Burruchaga (cap) (6), Fernier (4) (Dufresne, 82e), Dunker (5) – Gohel (6), Robert (5) (Kovac, 23e). Entraineur : Boro Primorac.
MARSEILLE : Barthez (6) – Angloma (6), Desailly (6), Di Méco (7) – Eydelie (5), Sauzée (6), Deschamps (cap) (6), Thomas (6) – Pelé (6) (Durand, 46e), Boksic (6), Völler (5) (Ferreri, 89e). Entraîneur : Raymond Goethals.

Papin prolonge à Milan

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http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Papin-prolonge-a-milan/371277

Le 21/05/1993 à 12:00:00
Foot - 21 mai 93 :
Papin prolonge à Milan


Jean-Pierre Papin a annoncé avoir signé une prolongation de contrat d'un an avec l'AC Milan. L'ancien Marseillais est désormais lié au club lombard jusqu'en 1996. En revanche, Frank Rijkaard et Ruud Gullit, libres le 30 juin 1993, sont toujours dans l'expectative. Les négociations entre les deux joueurs néerlandais et les dirigeants rossoneri sont gelées, Adriano Galliani, le numéro 2 du club milanais, expliquant que la priorité du moment était de se «concentrer sur les matches de Cagliari et de Munich.»

Boli prêt pour Munich :

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Le 21/05/1993 à 11:00:00
Foot - 21 mai 93 :
Boli : « Prêt pour Munich »


Basile Boli, qui s’est fait une contracture à la cuisse droite lors de la 35e journée contre Lille (4-1), était encore trop juste pour faire sa rentrée à Nungesser, ce qui embêtait un peu Raymond Goethals pour la répétition tactique prévue contre Valenciennes (1-0). Cela dit, il n’y a aucun souci à se faire concernant la présence du libéro marseillais à Munich. « J’ai couru pendant une heure ce matin (NDLR : soit le 20 mai 1993) et même si je ne peux pas encore forcer sur les petites réactions vives, l’état de ma blessure s’est nettement amélioré depuis le début de la semaine. Il reste encore six jours avant la finale. Tout ira bien d’ici là et je serai prêt pour Munich. Pas question de rater ça. D’ailleurs je suis apte à reprendre l’entraînement collectif. »

Valenciennes accuse :

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http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Valenciennes-accuse/371260

Le 21/05/1993 à 10:00:00
Foot - 21 mai 93 :
Valenciennes accuse !

Les Valenciennois ont posé des réserves hier jeudi 20 mai 1993 auprès de l’arbitre M. Veniel, avant même le début de la seconde mi-temps de la rencontre VA-OM, puis du délégué de la Ligue,
affirmant que trois de leurs joueurs auraient été approchés par un dirigeant phocéen la veille du match et se seraient vu proposer de l’argent pour « être moins performants que d’habitude. » L’un de ces joueurs, le libéro Jacques Glassmann, a fait connaître son identité à M. Veniel et a déclaré ceci à l’issue de la rencontre : « Un dirigeant marseillais m’a appelé mercredi à notre hôtel. Maintenant je sais qu’il n’y aura pas de preuve puisque c’était un coup de téléphone. C’est donc ma parole contre celle des gens de l’OM. Je suis un garçon honnête, j’ai conscience des accusations que je porte. Je vais à présent discuter avec mes dirigeants et attendre qu’on m’interroge… »

Milan partira au dernier moment :

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http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Milan-partira-au-dernier-moment/370703

Le 20/05/1993 à 10:00:00
Foot - 20 mai 93 :
Milan partira au dernier moment


Contrairement à l’Olympique de Marseille qui rejoindra la Bavière dès la fin de la semaine, l’AC Milan ralliera Munich mardi, soit la veille de la finale. Les Rossoneri conservent ainsi les mêmes habitudes que durant toute leur campagne européenne, à savoir se déplacer seulement un jour avant leur rencontre.

Van Basten souffre toujours

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Le 20/05/1993 à 09:30:00
Foot - 20 mai 93 :
Van Basten souffre toujours

Marco Van Basten se plaint toujours de sa cheville droite, opéré cinq mois auparavant. L’attaquant néerlandais de l’AC Milan n’a pu s’entraîner normalement mercredi et pourrait être ménagé pour la rencontre de Serie A face à Cagliari le 21 mai, afin de se préserver pour la finale de la Ligue des champions le 26 mai.

[gaby]

Merci, c'est sympa.

[gaby]

Elle est en ligne la vidéo de l'équipe 21 ?

[Lo Provençau]

Je l'ai pas retrouvée. Le titre du docu c'est "A jamais les premiers"

http://www.ajamaislespremiers.com/

[Jester]

La vidéo est là Messieurs :

Spoiler: montrer

[richardB]

Oh putain ça donne limite envie de chialer, surtout quand on voit l'équipe actuelle et son staff en carton.

[richardB]

[pretender]

Itw d'un qui a mal digéré la défaite, le patron milanais, j'ai nommé Franco Baresi.
Charisme, expérience, je crois que c'est l'un des défenseurs qui m'ont le + marqué, et que j'aurais tendance à mettre dans une équipe sur les 30 dernières années.

Information

Le 23/05/1993 à 10:10:00
Foot - OM 93 :
Franco Baresi : « J'aimerais rejouer la finale ! »


Vingt ans après le sacre européen de l'OM face à Milan (1-0), le 26 mai 1993 à Munich, nous avons retrouvé les acteurs de la finale. Témoignage de l'Italien Franco Baresi (53 ans), ex-capitaine et défenseur mythique de l'AC Milan, actuel représentant du club lombard pour les opérations extérieures.

Pris dans le béton

« On était convaincus de pouvoir gagner ce match même si l’OM, cette année-là, disposait d’une grande équipe. C’est une des meilleures que j’ai affrontées en Europe dans ma carrière. Mais je dois dire que notre Milan méritait de l’emporter. J’aimerais bien rejouer la finale ! Sur le but de Boli, on a été surpris. Frank Rijkaard était sur lui au marquage. Moi, je gardais ma zone, j’étais au premier poteau. Ce n’était pas facile de passer au-dessus de Rijkaard, Boli a eu le bon timing ! En seconde période, nous étions vraiment fatigués, nous n’avons pas eu suffisamment de lucidité. Et en plus, ils ont bétonné en défense.


Goethals, ce « marpione »
Cette finale, c’est vraiment un grand regret. Autant nous méritions de perdre celle de 1995 (0-1) face à l’Ajax Amsterdam, autant ce n’était pas le cas en 1993. Je me souviens de l’entraîneur de Marseille, Goethals. Il était rusé, expérimenté, très attentif tactiquement. C’était un marpione (fourbe, roublard) ! Je me souviens de Deschamps, aussi. J’ai souvent joué contre lui, ensuite, lorsqu’il était à la Juve. C’était un joueur terriblement hargneux, il avait un jeu agressif. C’était le boss du milieu de terrain, j’ai de l’admiration pour ce joueur. Et Desailly, aussi, qui nous a rejoint à la fin de l’année 93. Il était extraordinaire physiquement !


Rivera, l'idole

Le secret d’une grande équipe, c’est de faire comprendre aux joueurs qu’ils font partie d’un groupe, qu’ils doivent respecter les autres et partager le même objectif. Cela fait partie de la culture du Milan. Et cette génération (Maldini, Costacurta, Tassotti…) avait un sentiment très fort d’appartenance au club. J’ai joué vingt ans ici (1977-1997) et j’ai eu la chance de connaître Gianni Rivera (ancien meneur de jeu et capitaine milanais, Ballon d’Or 1969). J’avais 18 ans, je ne l’ai côtoyé qu’une saison mais j’ai énormément appris auprès de lui. Dans sa façon de parler, de gérer le groupe. Il avait tout gagné mais il était humble, à la disposition de tout le monde. Il était toujours positif. Un mec extraordinaire ».

Recueilli par Alban TRAQUET, à Milan

http://www.lequipe.fr/Football/Actualit ... ale/372813

[peezee]

On est passés de Patator à Patatino. Cool.

Information

** DROIT AU BUT **

faut l'dire vite !