[OFFICIEL] *** Deschamps à l'OM : c'est FINI ***

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Re: [OFFICIEL] *** Deschamps à l'OM : c'est FINI ***

Messagepar jarlandine » 19 Juil 2018, 12:45

Nan, mais, Nanard, sa démarche était de demander aux joueurs de VA de ne pas blesser un de ses joueurs avant le match européen , pas de perdre sciemment, vu les classements des 2 équipes ....
" L’équité, c’est une certaine logique, du bon sens, alors que l’égalité est impossible, dans le football." Pape Diouf :diouf:
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Re: [OFFICIEL] *** Deschamps à l'OM : c'est FINI ***

Messagepar aristote2 » 19 Juil 2018, 20:14

Toujours face sombre : DD était à la Juve et ne devait pas être exempté d'armoire à pharmacie.
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Re: [OFFICIEL] *** Deschamps à l'OM : c'est FINI ***

Messagepar koudy » 20 Juil 2018, 12:08

Adebayor qui prend 20 kilo de muscle en passant de moco à arsenal c’est uniquement les œufs au bacon?
Et pourtant personne dit rien
jarlandine a écrit:Bien fait , au suivant, qu' ils y passent tous , ça en calmera d' autres à défaut de leur faire pousser un cerveau
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Re: [OFFICIEL] *** Deschamps à l'OM : c'est FINI ***

Messagepar koni » 20 Juil 2018, 13:27

Ils sont nombreux en arrivant en Angleterre.
Drogba par exemple
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Re: [OFFICIEL] *** Deschamps à l'OM : c'est FINI ***

Messagepar negrOM » 20 Juil 2018, 14:46

Nasri...
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Re: [OFFICIEL] *** Deschamps à l'OM : c'est FINI ***

Messagepar jarlandine » 20 Juil 2018, 15:43

Ah, lui, il a perdu en cerveau ce qu' il a pris en muscles alors, du coup il est en QI négatif :hehe:
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Re: [OFFICIEL] *** Deschamps à l'OM : c'est FINI ***

Messagepar Dragan » 21 Juil 2018, 03:15

Information
LA VICTOIRE, LE JEU, SON CLAN, SES JOUEURS... DIDIER DESCHAMPS SE CONFIE À NICE-MATIN APRÈS SON NOUVEAU TITRE DE CHAMPION DU MONDE Par Vincent Menichini Le 20/07 à 07h44 MàJ 20/07 à 09h28
Didier Deschamps, le sélectionneur de l’équipe de France a accordé un long entretien à Nice-Matin, jeudi après-midi, du côté de Monaco. Il est deux fois champion du monde et épanoui comme jamais.
Un homme heureux. Apaisé, comme il ne l’a peut-être jamais été. Revenu mardi sur la Côte d’Azur, Didier Deschamps, tout frais champion du monde en tant que coach, vingt ans après l’avoir été en tant que joueur et capitaine, nous a accordé un long entretien, jeudi après-midi.

Le teint hâlé, affûté, "DD", bien qu’un peu fatigué, n’a pas regardé sa montre. Durant plus d’une demi-heure, on s’est retrouvé en tête-à-tête avec le boss des Bleus. On a parlé de tout: du jeu, de cette finale, des Champs-Elysées, de lui, de son clan. De sa vie. Une vie qu’il a eu la force de couronner de succès.

Elle ressemble à quoi la vie de Didier Deschamps depuis dimanche soir?
(Direct) La vie est belle. Je profite avec ma femme, mes amis. Je reprends le cours de ma vie normale. Je fais pas mal de photos, de selfies, et non pas qu’avec des Français…


Il y a de la fatigue, aussi?
Oui, un peu. J’ai un peu perdu ma voix, car on en a bien profité avec le staff et les joueurs (sourires).


Quel a été le moment le plus fort sur le plan émotionnel?
Celui où vous entendez le coup de sifflet final lors de France – Croatie? Il y a tellement de moments forts... Quand le match se termine jusqu’au moment où Hugo lève la Coupe, c’est une sorte de consécration. On se dit : “ça y est, on est champion du monde…” Mais notre retour en France, depuis Roissy, c’était quelque chose d’incroyable. Voir autant de monde sur les bords de la route, les voies d’en face à l’arrêt, c’était fabuleux.

Une fois sur les Champs-Elysées, il y a ce bruit impressionnant et étourdissant que fait la foule…
Ha oui… Cela a un côté surréaliste. A cet instant, il y a tellement d’émotions, des fumigènes un peu partout, de la joie, des cris. C’est une foule en délire avec des enfants, des parents, des grands-parents. On voit des sourires, partout. Dans le sport, on a la possibilité de donner du bonheur aux gens. C’est un privilège, même, qui ne résout pas malheureusement tous les problèmes du quotidien. Or, partager ça avec le peuple français, c’est magique. Car, on est tous champions du monde.

Cela vous a rappelé votre défilé de 1998?
C’était différent car on était en France. Là, on était loin. On avait des bribes d’informations, vu des images mais on ne pouvait pas réellement se rendre compte de ce qu’il se passait en France.

Avez-vous craqué?
Oui, de bonheur… Je ne pleure pas de joie. J’ai savouré et je savoure encore.

A chaque fois que votre équipe marquait, vous vous retourniez systématiquement vers vos proches. C’était un besoin?
Ils étaient là, à tous les matchs, en groupe. Il n’y a pas eu que des moments agréables ces derniers mois. Pour ceux qui m’entourent, ça a pu être violent, injuste. Ils sont même beaucoup plus tendus et stressés que moi pendant les matchs…


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C’est votre clan?
Oui, c’est ma vie.

Vous êtes plus expressif qu’avant, non?
Je ne sais pas… J’arrive à 50 ans, c’est peut-être ça (sourires). J’avais tout simplement envie de savourer parce que c’est le haut-niveau et que c’est dur.

Il y a également eu cette communion avec votre fils Dylan…
C’est particulier car il était trop petit quand j’ai connu ça en tant que joueur (ému). Il m’a beaucoup aidé, bien préparé, car il est de la même génération de beaucoup de mes joueurs. Du coup, rien ne me choque. Il m’a entraîné, même, car il parle comme eux, a les mêmes centres d’intérêt, écoute les mêmes musiques. Je suis vacciné (rires)… Après, on n’est jamais vraiment objectif avec ses propres enfants. Mais je sais qu’il attendait ce moment, qu’il voulait le vivre avec moi. C’était donc très fort, oui.




Avez-vous pensé à l’après, déjà?
Non. On va profiter d’abord, mais il y aura une suite.

Vous serez toujours le sélectionneur de l’équipe de France, en septembre?
Oui, oui, à moins que mon président en décide autrement (sourires). C’est prévu comme ça, j’ai toujours respecté mes engagements. J’ai une relation de confiance et de respect avec Noël Le Graët. Il compte sur moi jusqu’en 2020. Je serai là.

N’était-ce pas le moment idoine pour partir?
J’ai ma liberté mais je n’y ai pas pensé, comme je n’ai jamais songé à l’après avant l’Argentine ou l’Uruguay.

Et si vous aviez gagné l’Euro en 2016, ça aurait pu changer la donne?
On ne l’a pas gagné, donc, la question ne se pose pas. Peut-être que ça nous a permis d’être champions du monde mais on a laissé passer une opportunité incroyable d’être champions d’Europe.

Vous n’avez toujours pas digéré?
C’est dur… Mais bon, ça nous a servis pour appréhender cette finale différemment.

Vous avez rejoint Mario Zagallo et Franz Beckenbauer dans le cercle fermé des vainqueurs de Coupe du monde en tant que joueur et entraîneur…
Franz Beckenbauer m’a invité. J’irai avec grand plaisir.

Le doublé Coupe du monde-Euro, joueur et entraîneur, ça n’a jamais été fait…
Ha bon? Il y a toujours des choses qui n’ont pas été faites. Je ne vais pas m’en plaindre. On verra bien.


Vous avez fait le pari de faire confiance à Benjamin Pavard et Lucas Hernandez, deux latéraux inexpérimentés sur la scène internationale. Vous ont-ils bluffé?
Peut-être que dans votre esprit, ils étaient remplaçants, mais ils ont joué dès la préparation. Si je les ai pris, ce n’était pas pour leur faire plaisir. Sur leur valeur, on n’avait aucun doute avec le staff. L’inconnu, c’était de savoir comment ils allaient appréhender cette première compétition internationale.

Ce premier match poussif contre l’Australie vous a-t-il contrarié?
J’avais fait le choix de la fraîcheur, mais ceux qui étaient censés amener cela se sont rendus compte qu’entre le vouloir, y être et le faire, il y avait de la route. Quant à ceux qui n’étaient pas dans le onze au départ, ils ont su inverser la tendance dès le deuxième match.

Vous parlez d’Olivier Giroud et Blaise Matuidi. Comment ont-ils vécu leur mise à l’écart?
Ils étaient déçus mais c’est normal. J’ai parlé avec eux. Au final, peut-être que ça leur a permis d’être performants ensuite. Tout a été réuni lors de ce premier match: le résultat, capital, ceux qui ont touché du doigt le niveau de la Coupe du monde et ceux qui ont apporté un plus. Au final, ce n’était pas si mal comme entrée en matière.

Le Pérou?
C’est le premier déclic. Un vrai match d’équipe, même si on souffre trop en deuxième période. Il s’est passé quelque chose. On a trouvé un équilibre. Ma plus grande fierté, c’est d’avoir su créer une telle force collective.

Paul Pogba a pris une nouvelle dimension dans ce groupe...
Il est un peu le symbole de la réussite pour les plus jeunes, fait le liant avec les anciens de par son vécu. Paul a pris le leadership, avec d’autres. Mais, oui, il a pris du poids parce qu’il était performant sur le terrain. Il a également normalisé ses relations avec le monde extérieur, et notamment avec la presse. C’était important.

Cela vous énerve-t-il d’entendre que vous êtes champion du monde, mais que vous ne jouez pas bien?
Celui qui est champion, pour moi, c’est le meilleur. Point. Ce n’est ni recevable, ni audible, comme après l’Euro, que d’affirmer qu’on était allé en finale parce qu’on avait battu personne (Remonté). Les mecs ne connaissent rien… Il ne faut jamais enlever le mérite à l’équipe qui gagne. On n’a pas tout bien fait, bien sûr. Il y a une marge de progression, bien sûr… Mais on a su s’adapter mieux que les autres.

Avez-vous douté contre l’Argentine?
(Direct) Non. C’est le match fondateur? La bascule, oui, car c’est un huitième de finale, l’Argentine en face, et qu’à un moment, on est mené 2-1. Avoir renversé ce match nous a donné beaucoup de force. Après, on va dire, que ce n’était pas l’Argentine d’avant, que Messi, ce n’est plus ce que c’était… Oui, oui, bien sûr. Si Messi on ne l’a pas vu, c’est parce qu’il y a des joueurs qui ont fait sorte que ce soit le cas.

Comme N’Golo Kanté, qui a réalisé un Mondial époustouflant…
Lui, c’est un rayon de soleil. Je l’appelle ‘’Petit bonhomme’’. Il a toujours le sourire. Il est discret, n’aime pas se mettre en avant. Il se fait chambrer mais tout le monde l’adore. Pour un coach, c’est du velours.

Vos joueurs ont été omniprésents sur les réseaux sociaux. Avez-vous suivi ça?
Non, je ne regarde jamais. Je les avais mis en garde sur ce que je voulais et ne voulais pas. Il ne fallait surtout pas qu’ils parlent des adversaires, des partenaires et préserver l’intimité du groupe. Apparemment, cela a été plus fourni sur la fin. Mais je ne suis pas là pour leur dire ce qu’ils doivent écrire. J’en ai un qui a 22 ans, ils s’expriment comme ça.

Êtes-vous devenu plus tolérant?
J’ai toujours été tolérant. J’étais peut-être plus démonstratif ou affectif avec certains car ils ont besoin de ça. C’est une génération qui marche à l’affect. Un geste, une parole. Il faut faire en sorte de maintenir tout le monde en éveil.


Est-ce qu’il vous arrive de stresser parfois?
(Il avance ses mains vers nous). Regardez, cela fait 45 ans que je n’ai pas d’ongles et ils ont poussé pendant la Coupe du monde. C’est magnifique! J’avais tout essayé pour arrêter de les ronger. Je n’ai jamais été aussi calme et serein. Je dormais très bien et pour moi le sommeil, c’est capital.

En conférence de presse, vous avez toujours été zen…
Je n’y vais pas pour jouer un rôle, ni pour régler des comptes. Il y a des choses qui ont été dites. C’était parfois injuste, voire violent mais c’est comme ça. Je reçois des messages aujourd’hui. Il y a du rétropédalage, comme on dit. Sur le jeu, on peut débattre mais il ne faut pas franchir la ligne blanche. Enfin, passons…

Quel est votre secret pour être aussi apaisé?
Rien de spécial, je fais du gainage. Attention, je suis animé par plein de questions. Ça tourne, ça retourne dans ma tête! J’échange beaucoup avec Guy (Stephan, son adjoint, ndlr). Il ne faut pas croire que tout est aussi limpide, non plus, mais pour transmettre de la confiance et de la sérénité, mieux vaut l’être.

Le soir, une fois dans votre chambre, vous faisiez quoi?
Je ne veux pas passer pour un philosophe mais j’avais un livre de chevet "Choisir sa vie". J’aime bien et le conseille. Il est petit, plein d’histoires de vie, positif. J’avais également ma chaîne favorite, C17, avec la musique et les clips (rires).

Un Français Ballon d’or, c’est possible?
Ce serait mérité. Certains joueurs ont eu du succès en club. Rafael (Varane), Antoine (Griezmann), Kylian (Mbappé) ou Paul (Pogba) sont des candidats.

Vous avez eu des pensées particulières ces derniers jours…
Oui, ce sera moins gai mais ça fait partie de la vie. C’est ma vie. Ils ne sont plus là, je ne vis pas avec mais sans eux. Je ne veux pas qu’on s’apitoie sur mon sort. Je ne suis pas le seul à avoir vécu des moments douloureux (En 1987, son frère Philippe, de deux ans son aîné, disparaît dans un accident d’avion, ndlr). Cela donne de la force. Même si on vit un grand moment de bonheur, ça n’efface pas. On continue à vivre pour ceux qui sont là, sans jamais oublier. C’est la vie.



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Re: [OFFICIEL] *** Deschamps à l'OM : c'est FINI ***

Messagepar Lorenzin' » 25 Juil 2018, 18:36

Non seulement, quelques pseudo experts de foot continuent à le dėnigrer malgré son succès total uniquement dû à la chance mais en plus un s'est amusė à comparer 2 photos de 98 et 2018 en indiquant que la diffėrence entre les 2 est de 20 dents.
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