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« Leonardo considère que Nice, Saint-Étienne, Rennes, Sochaux et Reims, qui ont battu le PSG, sont une quantité négligeable. Et que c’est un combat qui ne l’intéresse pas. Lui, c’est l’Europe. On ne s’habille pas chez Tati, on ne mange pas au fast food chez Leonardo. C’est plutôt Avenue Montaigne, trois étoiles et petits couverts en vermeil. Et ça, c’est un manque de respect insupportable. Ça suffit, l’an passé c’était les entraîneurs français qui étaient nuls, maintenant ce sont les jardiniers français qui le sont. Alors si ce sont les équipes françaises qui sont nulles, à quoi bon se mesurer à elles ? Parce que nous, "nous n’avons pas une équipe bâtie pour la Ligue 1". Mais c’est lui qui a bâti l’équipe ! Pour disputer ce genre de match, là où on joue à pousse-ballon, fulmine Jean-Michel Larqué, qui va plus loin dans son attaque à l’encontre du directeur sportif du PSG. S’il n’est pas content, s’il considère qu’on est des has been, des sous-développés du football, qu’il aille voir ailleurs ! Je ne sais pas si c’est une stratégie. Je pense qu’il a des qualités intellectuelles, mais elles ne sont peut-être pas à la hauteur de celles qu’on pouvait lui prêter à une époque. »
Et Moumoutte aussi (Moutier)
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« On le sent vraiment fébrile et quasiment acculé. Les Qataris, quand ils sont arrivés, lui ont donné carte blanche et carte bleue. On se demande ce qu’il souhaite et ce qu’il cherche. De là à chercher à se faire virer, je ne franchirai pas le pas. Mais chercher à ne pas être conservé en disant « de toute façon, en France, on ne peut rien faire », il y a un pas qu’on peut, peut-être, franchir »
), et lui avait déjà sprinté presque 180 m de mémoire. 