MassaliaLive.com

[Koenigs Sbire]

Lo Provençau, rien ne les obligeait à investir dans le PSG jusqu'à preuve du contraire, le fameux Qatargate étant voué à faire "pschiit" puisque toute désignation d'attribution d'évènements sportifs est le théâtre de collusions, corruptions etc.

Paris est attractif, c'est irréfutable.
D'autres villes le sont beaucoup moins en raison d'environnements et de contextes gangrenés. Je ne désespère cependant pas de voir une concurrence s'installer avec des clubs comme Lille et Lyon, ainsi que Monaco qui va remonter.

Quant à l'OM, la ville étant gangrenée jusqu'à l'os par la corruption et la criminalité, je pense que le club va louper le train malgré un beau stade à venir.

[Lo Provençau]

Lo Provençau, rien ne les obligeait à investir dans le PSG jusqu'à preuve du contraire, le fameux Qatargate étant voué à faire "pschiit" puisque toute désignation d'attribution d'évènements sportifs est le théâtre de collusions, corruptions etc.

Paris est attractif, c'est irréfutable.
D'autres villes le sont beaucoup moins en raison d'environnements et de contextes gangrenés. Je ne désespère cependant pas de voir une concurrence s'installer avec des clubs comme Lille et Lyon, ainsi que Monaco qui va remonter.

Quant à l'OM, la ville étant gangrenée jusqu'à l'os par la corruption et la criminalité, je pense que le club va louper le train malgré un beau stade à venir.

"gangrenée jusqu'à l'os par la corruption et la criminalité" Tu confonds pas avec Gotham City ? Pour ce que je constate, c'est que l'IDF et l'Etat français lui-même se défendent pas mal dans ce domaine.

Je ne nie pas que la ville de Paris soit attractive. Ce que je conteste, c'est l'intervention du plus haut personnage de l'Etat, élu, pour favoriser un club, comme par hasard son club favori. Utiliser cette position, c'est pour moi une rupture d'égalité. On a la confirmation qu'en France il y a les clubs qui se débrouillent tout seul et un autre qui dispose de moyens de pression et de lobby hors du commun, pour la seule et unique raison qu'il est celui de la "capitale".

C'est d'autant plus impressionnant de voir leur palmarès famélique d'ailleurs, et les titres des autres équipes sont d'autant plus méritoires.

[sonny]

La ville de Paris est attractive mais sans Sarko et l'2tat français (couplé avec Platini et le vote de l'UEFA) ils ne seraient pas venu à Paris ni même en France.

[Koenigs Sbire]

Lo Provençau, je suppose que tu as bien compris mon propos tout de même: il y a évidemment de la criminalité sur Paris, mais le "contexte marseillais" est un frein considérable à la venue d'investisseurs potentiels pour l'OM.

[Lo Provençau]

Lo Provençau, je suppose que tu as bien compris mon propos tout de même: il y a évidemment de la criminalité sur Paris, mais le "contexte marseillais" est un frein considérable à la venue d'investisseurs potentiels pour l'OM.

Je ne le conteste pas, mais le sujet est autre. On parle ici d'un club qui aurait disposé de l'ingérence du politique, et pas le moindre, dans le but de favoriser une seule équipe, pas la plus méritoire, au détriment des autres.

[Einstein]

Pourquoi "favoriser" ? "au détriment" ? Quand le politique conseille à Tapie de reprendre l'OM ce n'est pas "au détriment" des autres clubs?

Certes Sarko a un faible pour le PSG, et un Président n'a pas à mon sens à assister à un match de son équipe favorite en tribunes, mais de là à pousser des cris d'orfraies pour cela?!
Combien de travaux, de contrats de toute sorte, d'investissements sont conclus par népotisme avec le politique en France? Dans le monde? Ça oui, c'est choquant! Mais le fait de conseiller la reprise d'un club plutôt qu'un autre parce qu'il y a une opportunité réelle et que ça fait plaisir au supporteur qui sommeille en lui, franchement à côté c'est peanuts.

[Lo Provençau]

Pourquoi "favoriser" ? "au détriment" ? Quand le politique conseille à Tapie de reprendre l'OM ce n'est pas "au détriment" des autres clubs?

Certes Sarko a un faible pour le PSG, et un Président n'a pas à mon sens à assister à un match de son équipe favorite en tribunes, mais de là à pousser des cris d'orfraies pour cela?!
Combien de travaux, de contrats de toute sorte, d'investissements sont conclus par népotisme avec le politique en France? Dans le monde? Ça oui, c'est choquant! Mais le fait de conseiller la reprise d'un club plutôt qu'un autre parce qu'il y a une opportunité réelle et que ça fait plaisir au supporteur qui sommeille en lui, franchement à côté c'est peanuts.

C'est pour ça que je ne pense pas qu'il y ait des répercussions légales.

Sinon oui, quand on voit les sommes investies, c'est bien favoriser au détriment des autres. Le championnat est à terme faussé et quelle belle preuve de morale sportive quand on voit que l'un des clubs les plus riche au monde aujourd'hui est un club qui n'a consciencieusement rien fait depuis une brave vingtaine d'année pour en arriver en là.

En résumé, encouragez vos supporters à se flinguer, papa l'Etat viendra faire le ménage et vous apportera un gros sucre d'orge.

[jerrib]

Information

Décédé jeudi 17 janvier, Nick Broad a été incinéré à Londres. Une délégation du PSG était présente aux obsèques du responsable du projet performance du club parisien. Mais Le Parisien précise que plusieurs joueurs se sont décommandés du voyage alors qu’un avion spécial a été affrété pour l’occasion. Une attitude qui a provoqué le mécontentement de Carlo Ancelotti. Sur son compte Twitter, Christophe Berard, journaliste du quotidien francilien, précise même que seulement trois joueurs du PSG étaient présents.

Décevant

[Koenigs Sbire]

Trois joueurs? Je mise sur Jallet, Douchez et Armand.

[killerdemars]

[sonny]

Qu'il donne les noms des présents.

[Fidel Cienaga]

Qui croire ?

[IceCold]

Mwé je suis pas convaincu que cette équipe de sénateurs soit compétitive, quand on voit le peu d'influence du Mister Carlo dans le vestiaire et le comportement sur la pelouse. Pas plus, pas moins que chez City où on embauche le directeur technique du Barça pour s'inscrire dans la durée.
Le fonds du problème c'est surtout le salarié, le joueur de foot contemporain, Anelka, Nasri, Tevez, Ballotelli, Menez, et consort. Que tu les empiles, les ranges les uns à côté des autres, les fistes, les giffles ou les dorlotes, ils sont constants dans leur crasse.

Carlos & Mario n'ont rien à foutre dans ta liste

[jerrib]

Interview de l'auteur de la bio sur Zlatan

Spoiler: montrer

Information

Qu’est-ce qui vous a donné envie d’écrire l’autobiographie de Zlatan Ibrahimovic?

En lisant des choses sur lui, j’ai immédiatement vu le potentiel de l’histoire qu’il y avait à raconter sur lui; ce jeune homme sorti du ghetto, une incarnation du rêve américain version suédoise… Pour moi, c’était une bonne opportunité de parler des banlieues via ce personnage. L’immigration est une chose nouvelle en Suède, nous avons très peu de livres qui traitent de ce phénomène. Socialement, Ibrahimovic était un sujet intéressant. J’ai lu beaucoup de livres sur le football, j’ai trouvé ça ennuyeux. Je lui ai dit qu’il fallait aller plus loin que ça et il m’a tout de suite donné son accord.

Comment s’est passée votre première rencontre avec Zlatan Ibrahimovic?

Je l’ai rencontré pour la première fois à Milan en septembre 2010. Zlatan avait décidé d’écrire un livre et mon éditeur m’avait mis sur l’affaire en pensant que j’étais le meilleur pour l’écrire. Tous les Suédois connaissent Zlatan Ibrahimovic, évidemment, mais je ne l’avais jamais croisé avant. J’étais très nerveux avant de le rencontrer. Il s’est tourné vers moi et m’a dit: «David, est-ce que tu crois en Dieu?». C’était une question sensible, parce que je ne crois pas en Dieu. Je lui ai répondu que je ne savais pas et il m’a dit «alors tu ne crois pas en Zlatan non plus!».

Quelles règles de fonctionnement avez-vous mis en place avec lui pour l’écriture du livre?

La seule règle que j’ai mise en place, c’était la franchise. Pour faire un bon livre, il fallait qu’il me raconte absolument tout, comme à son meilleur ami. Je devais avoir son entière confiance, qu’il soit sûr que je ne répéterai pas certaines choses. Il m’a dit des choses que je n’ai répétées à personne, pas même à ma femme. Après, on voit ensemble ce que l’on garde ou non dans le livre. Mais en aucun cas il ne devait se censurer avant. Sa femme Helena était très souvent à ses côtés et me disait aussi de lui parler de tel ou tel sujet pour l’inciter à se livrer davantage.

Comment se passaient les entretiens?

On se parlait pendant des heures et des heures. On faisait ça à Milan ou dans son énorme maison de Malmö, qui est évoquée dans le livre. Au fur et à mesure, son attitude évoluait. Au début, il était très viril, presque macho, à me parler de voitures. On voit que c’est quelqu’un qui a vécu avec des hommes toute sa vie. Petit à petit, il s’est vite rendu compte que ce livre était un bon moyen de se comprendre lui-même. Je me suis familiarisé au personnage et je me le suis approprié. Pendant sept-huit mois, j’étais Zlatan Ibrahimovic.

Le livre évoque l’alcoolisme de son père et la toxicomanie de sa demi-sœur. A-t-il eu du mal à se livrer sur ces sujets?

Il voulait écrire un livre sans cacher une quelconque part de sa vie mais il s’est vite rendu compte que cette vérité pouvait blesser certains de ses proches. Il fallait quand même écrire que son père pouvait parfois être ivre mort, que le frigo était vide et que sa mère le tapait à coups de cuillère. Six mois après l’avoir rencontré, je ne savais toujours pas ce que j’avais le droit de dire ou non à ce sujet dans le livre. Il m’a dit: «tu peux raconter tout ça, mais fais-le avec amour David.» C’était sa seule condition.

Pourquoi commencez-vous le livre par son passage au FC Barcelone?

C’était un peu conventionnel de commencer le livre par «Je suis né le…». C’était l’une des raisons mais cela vient aussi du fait qu’il était très marqué par ça quand je l’ai commencé. La blessure était encore ouverte, il m’a très facilement raconté tout ce qu’il s’était passé dans le vestiaire de Barcelone cette année. J’ai dû enlever certaines choses qu’ils me disaient sur Pep Guardiola. Ce n’est pas de la censure, mais on ne pouvait pas le formuler comme ça.

Ils parlent souvent des «Suédois» pour désigner certains jeunes de Malmö, sa ville de naissance. Se sent-il étranger dans son propre pays?

Il a grandi dans une Suède différente de celle que les gens connaissent. Il avait presque 20 ans la première fois qu’il a regardé une chaîne de télévision suédoise. Il vivait dans son propre univers, dans son ghetto. En 1994, il ne connaissait même pas le gardien de l’équipe suédoise qui venait de finir à la troisième place de la Coupe du monde alors que c’était un héros national. Quand il arrive dans l’équipe des jeunes du Malmö FC, il se sent très différent des jeunes de la classe moyenne suédoise qui compose l’équipe.

Le livre finit alors qu’il est encore au Milan AC. Pensez-vous à faire une suite?

Pourquoi pas? Avec son arrivée en France et tout ce qu’il s’est passé depuis 2011 dans sa vie, il y aurait de quoi faire. Mais c’est encore un peu trop frais.

Juste un passage magnifique :

Information

«David, est-ce que tu crois en Dieu?». C’était une question sensible, parce que je ne crois pas en Dieu. Je lui ai répondu que je ne savais pas et il m’a dit «alors tu ne crois pas en Zlatan non plus!».

[sonny]

[Fidel Cienaga]

Au nom du suivi de l'info :

Information

Obsèques de Nick Broad. On a le nom des 3 joueurs du PSG présents.
Camara, Le Crom, Areola.
Zlatan avait lui présentation de chaussures devant la presse à la même heure à Paris.

C'est beau un monde qui joue.

[Flys]

Quelle bande d'enculés.

[oukimaya]

J'avais oublié que Le Crom était à Paris

Oreola , je sais pas qui c'est ce type !! ?

[Fidel Cienaga]

Le 27e gardien, grand espoir parmi les espoirs mais bien caché au fond de l'armoire.

[Kenshi]

Un jeune goal (je sais pas exactement quel âge mais moins de 20 ans), grand espoir du foot français à ce poste et fleuron de la formation parisienne