MassaliaLive.com

[Phoenix]

La vidéo de son discours de départ est magnifique et très émouvante.

[gob]

Oui, en direct au vel', c'était beau.

[EL MAGNIFICO]

merde heureusement que j'ai vue le sponsor papin qui joue contre le Celtic sa m'aurait marque

[EL MAGNIFICO]

gob, mon meilleur pote francais chiale toujours quand il ecoute son discours

[pretender]

[pretender]

Et

celle-ci :

[gaby]

Un reportage de Téléfoot sur Waddle au printemps 90.

http://videos.tf1.fr/telefoot/telefoot-vintage-chris-waddle-l-anglais-qui-a-seduit-la-ligue-8241045.html

[Jeansgeg]

1990 : Waddle - JPP
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2013 : Valbuena - Gignac

[Lordi0m]

J'aime bien comme ils sont avec Berlusconi

[Bibpanda]

[Jack73]

Zabel qui cire les pompes de cette merde de Berlusconi (10:25) , c'est priceless

[Bibpanda]

[koni]

Ce but de Boli c'est quand même complètement surréaliste...
On parle beaucoup de la finition qui est bien évidemment exceptionnelle, mais que dire de la construction... Putain le brésil des 50s !

[gaby]

Le pire c'est qu'à la base il y va pour mettre un taquet à Ricardo qui l'avait chauffé dans le couloir.

[randoulou]

C'était pour avoir chargé Abedi plutôt non ?

[gaby]

Je ne sais pas, c'est ckil disait dans l'Equipe de vendredi.

[Jester]

Y avait celui-là aussi :

[Betsamee]

Y avait celui-là aussi :

Quelle violence putain

Comment les marseillais finissent le match a 11

[koni]

C'était pour avoir chargé Abedi plutôt non ?

Oui c'est ce que Boli explique dans le dvd "A jamais les premiers".
Il explique d'ailleurs que ce n'était pas à son tour de charger Ricardo (mais celui de Mozer il me semble), mais quelques minutes plus tot Ricardo s'en prend à Boksic.
Ca part un peu en couilles, Lama charge verbalement Boli... Et donc il décide d'y aller même si c'est pas à lui, pour le défoncer

[koni]

Y avait celui-là aussi :

Quelle violence putain

Comment les marseillais finissent le match a 11

Enorme
Ginola a salement mangé tout le match. D'ailleurs le tacle de Di Méco est une merveille ! Le mec prend tout sauf le ballon.
Derrière il s'essuie les mains tel un boucher qui vient de découper son steak et a les mains pleins de sang.
Et dans le même temps, il embrouille le banc parisien !