Vincent Labrune, (pire) EX-Président du Club

Pancho11, c'est plus le poulain de DD qu'Anigo, je crois que l'histoire Gameiro Gignac a été répétée mille fois

gigi, parlons-en de la période Bouchet justement.

Je suis loin d'admirer le bonhomme qui m'exaspérait avec sa prétention, ses déclarations à la Aulas type l'OM, c'est le show business, ou encore sa meilleur équipe depuis 10 ans qu'on a eu dans le rectum. Ceci dit, son parcours est intréressant et révélateur sur plusieurs points:

- Ca c'est trés bien passé en termes de résultats sportifs sous Perrin

- Le même Perrin s'est fait littérallement pourrir et saboter par notre hijo de puta national de Josiel, qui va se faire une spécialité d'intoxiquer son propre club dans les années suivantes d'ailleurs.

- Résultat, Perrin part alors que la situation n'a rien de désespérée. Deschamps est resté dans une situation pire à la trêve, on a été champions. Et encore une fois Josiel aurait aimé qu'il parte en janvier.

- Pour le remplacer, Bouchet nomme Anigo, qui se plante lamentablement aprés avoir fait un parcours de qualité en matchs A/R européeens selon le principe, "8 derrières et on balance sur Drogba", à la portée de n'importe quel entraineur de DH disposant d'un tel avant centre.

- Anigo s'étant planté, ce n'est pas lui qui trinque, mais Bouchet, à qui il est reproché une mauvaise gestion. C'est le président qui a le plus fait pour les infrascrutures du club, il a lourdement investi dans ses installations et sa réorganisation, et n'a reçu aucune aide de RLD. Le même RLD sappant son autorité pour tailler une pipe à Lizarazu. Mais le problème, bien entendu, c'est sa mauvaise gestion.

- Le même Anigo, soutenu par les "supporters" qu'on croirait venus de Bastia et de Naples en cars, tous chauves, est propulsé "Directeur Sportif".

- Sous la lente reconstruction Anigodioufienne, on recrute Arrache, Moussilou, Samassa, Mears, Krupoviesa, Akalé en pure perte. On met notre argent sur Ziani, Givet, Zubar, Baky Koné, Ben Arfa, qui auront au total couté un bras en n'étant pas au niveau. On prolonge un Rodriguez infirme à un salaire énorme, qu'on octroie aussi inexpliquablement à Kaboré et Valbuena, valorisés comme des superstars.

- Anigo négocie personnellement avec son ami chauve à couilles Jean-Christophe Cano l'arrivée pour 5 ANS de Cognac, au même salaire que Niang!

- Son départ est bloqué parce que le joueur a refusé un échange avec Gyan alors qu'il était d'accord pour un prêt: le prêt limite la casse, le temps que Deschamps parte, ensuite on nommera Antonnetti qui titularisera Gignac ce qui permettra de le prolonger 3 ans et de l'augmenter.

Vous avez dit qu'il n'y avait pas de contexte marseillais? Il y'a un PUTAIN de contexte marseillais.

Je sais pas si on aurait pu être champion en gardant Perrin jusqu'à la fin de la saison

...

On va encore dire que je défend Anigo mais je te trouve très partial dans ta sélection de joueurs qui définissent la période Diouf.

D’ailleurs pour clarifier ma position, j'ai trouvé que l'OM à progressé de 2005 jusqu'au titre, j'estime donc que les personnes à la direction ont fait du bon boulot.
Ce qui n’empêche pas de dire qu'on aurai pu faire mieux, mais étant supporter depuis 1996, c'est la seule période où on a constamment joué les 3 premières places que j'ai connue, j'en déduit donc qu'on aurait surtout pu faire pire.

Rocca, un poulain par défaut alors

gigi, parlons-en de la période Bouchet justement.

Je suis loin d'admirer le bonhomme qui m'exaspérait avec sa prétention, ses déclarations à la Aulas type l'OM, c'est le show business, ou encore sa meilleur équipe depuis 10 ans qu'on a eu dans le rectum. Ceci dit, son parcours est intréressant et révélateur sur plusieurs points:

- Ca c'est trés bien passé en termes de résultats sportifs sous Perrin

- Le même Perrin s'est fait littérallement pourrir et saboter par notre hijo de puta national de Josiel, qui va se faire une spécialité d'intoxiquer son propre club dans les années suivantes d'ailleurs.

- Résultat, Perrin part alors que la situation n'a rien de désespérée. Deschamps est resté dans une situation pire à la trêve, on a été champions. Et encore une fois Josiel aurait aimé qu'il parte en janvier.

- Pour le remplacer, Bouchet nomme Anigo, qui se plante lamentablement aprés avoir fait un parcours de qualité en matchs A/R européeens selon le principe, "8 derrières et on balance sur Drogba", à la portée de n'importe quel entraineur de DH disposant d'un tel avant centre.

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Non mais tu pètes un câble!!!

Les joueurs HAISSAIENT Perrin, il pourrissait Beye par exemple, il y a eu une vraie cassure.
L'équipe d'Anigo a juste réussi la plus belle épopée de l'OM depuis 99! Et c'est Anigo qui lance Flamini... C'était pas à 10 derrière, Anigo relance Meriem et 10 axial et prend Battlès au mercato.

C'est l'été 2004 qui est juste le pire mercato de l'histoire du foot français, probablement de la faute d'Anigo, mais certainement aussi celle de Bouchet... Et de Diouf putain!

Après je suis d'accord sur une chose : Bouchet ET Anigo auraient dû partir ensemble...

C'est pas faux, les joueurs n'aimaient pas Perrin. Suffit de voir comme ils l'ont lâché contre Nice.

Il s'était pas barré à la mi temps en leur disant de se démerder?

Si, comme il l'avait fait à Madrid il me semble.

Je crois que c'est ça, Drogba le raconte dans son livre.

Les joueurs n'appréciaient pas Perrin car trop strict. Genre il a poussé une gueulante phénoménale après OM - Austria Vienne où on se qualifie (1-0 chez eux, 0-0 au vél), ce qui au vu des matchs n'était pas exagéré et la suite de la saison lui a donné raison.

Il s'est fait pourrir par Beye & cie (alors que c'est lui qui l'a fait venir).

Habib Beye le tacleur fou.

Je crois que c'est ça, Drogba le raconte dans son livre.

Ca doit être digne d'un Marc Levy ca aussi tiens

Je ne pense pas que ce soit lui qui l'ait écrit.

Non mais même en terme de contenu. Toutes les 2 pages il doit clamer son amour pour l'OM en disant qu'il reviendra

Information

Quand il présidait le conseil de surveillance de l’OM, il prenait déjà les décisions stratégiques au nom de l’actionnaire, Robert Louis-Dreyfus, puis de sa veuve, Margarita. Mais c’était dans l’ombre. Depuis juin, Vincent Labrune, 40 ans, est le président du club. En pleine lumière, ce qu’il goûte peu.

Hôtel, tribunes et SMS. S’il vit toujours à Paris, Labrune a ses repères à Marseille : sa chambre au Sofitel Vieux-Port, sa place de parking au centre d’entraînement et son bureau, celui de Jean-Claude Dassier avant son éviction. Il l’occupe assez peu, ironisent des salariés qui vivent dans le souvenir de Pape Diouf, un président délégué paternel. Il n’a en tout cas manqué qu’un match cette saison, la venue de Saint-Étienne en août. Samedi dernier, avant Rennes, il a partagé la collation des joueurs malgré 40 °C de fièvre. Mardi, il a sauté dans un avion pour Athènes sitôt finie une réunion du groupe Louis-Dreyfus aux côtés de Margarita, dont il est le conseiller et porte-parole. Ce soir, il sera évidemment dans les tribunes à Gerland. La saison dernière, son attitude explosive y avait passablement exaspéré l’état-major lyonnais.

Président bénévole, il consacre "trois à quatre heures par jour" à l’OM, au détriment de sa société de conseil, VLB Communication, et de ses activités de production audiovisuelle, qu’il a déléguées cet été pour mener à bien le mercato marseillais. Il y a aussi sacrifié une partie de ses vacances avec sa compagne. "J’ai arrêté de compter ses SMS. Mais pour conclure l’arrivée de Jérémy Morel, on s’est parlé jusqu’à 3 heures du matin", sourit José Anigo.

Réflexion, vestiaire et tutoiement. "Il est très bon dans la communication et la gestion des ego, observe un ancien salarié. Mais il ne supporte pas de mettre le nez dans les dossiers." "Vincent se tient informé de tous les points importants, rétorque Philippe Perez, ancien de Réservoir Prod devenu directeur général de l’OM. C’est l’entreprise qui est accaparante, pas tellement lui." "J’ai d’abord une réflexion stratégique mais je suis actif ", dit Labrune, qui rappelle que c’est lui "qui règle tous les problèmes depuis trois ans [au conseil de surveillance depuis janvier 2008]!" Cet été, il a négocié les primes avec les joueurs. Il y a dix jours, il est surtout allé défendre lui-même Nicolas Nkoulou, menacé de six matches de suspension, devant la commission de discipline de la Ligue (LFP). "Il connaissait le dossier et s’est montré éloquent", assure l’avocat Régis Rebuffat, qui l’accompagnait. Nkoulou n’a écopé que de trois matches.

Après avoir écarté Dassier en juin, il a défini précisément les périmètres de Didier Deschamps, José Anigo et Philippe Perez pour trouver une organisation plus sereine. "Nous avions déjà une relation de confiance. Maintenant, nous travaillons aussi dans la transparence", apprécie DD, qui confie aussi : ""De toute ma carrière, Vincent est le premier président que je tutoie." Sans mélange des genres : "Il vient parler dans le vestiaire, mais il n’y a pas d’ingérence." "On échange sur la partie technique, mais il a sollicité notre avis plus souvent qu’il n’a donné le sien", ajoute Anigo. Leur relation n’a pas souffert du strict cadre financier imposé par l’actionnaire, qui a empêché l’arrivée coûteuse de l’attaquant de la Juve Amauri. "Financièrement, rien ne l’aurait fait sortir des clous", dit Anigo.

Droits télé, CFA et élection. S’il revendique avant tout un rôle de "gestionnaire", Labrune fait valoir une large connaissance du foot et des médias, ses deux passions. Au point d’être prévenu de l’article du JDD dès les premiers coups de fil à son entourage et de proposer aimablement le nom de quelques interlocuteurs… Les instances le voient arriver d’un très bon œil. "Avec lui, je discute autant de L1 que de CFA. J’ai été bluffé qu’il connaisse certains jeunes joueurs du Havre", raconte Jean-Pierre Louvel, président du club normand et de l’UCPF, le syndicat des clubs pros.

Fin septembre, il sera naturellement candidat au siège laissé vacant par Dassier à l’UCPF. Mais aussi au conseil d’administration de la Ligue, où ils seront trois (avec Patrick Trotignon et Patrick Le Lay) pour deux places. Convaincu par des présidents de L1 et celui de la LFP, son élection fait peu de doute. "Il sera d’un apport indéniable. Son avis sur les droits TV est l’un des plus pertinents du milieu", indique Bernard Caïazzo, le président de Saint-Étienne. Le prélude à un avenir plus politique? Non, selon Louvel, qui ne voit "pas d’ambition personnelle chez Labrune, plutôt un souci de mettre en valeur l’héritage de RLD".

http://www.lejdd.fr/Sport/Football/Actu ... OM-391173/

On n'a jamais été prétendant au titre @ Labrune France bleue

ben il me semble qu'il avait dit que cette année les résulats ne seraient pas prioritaires (ou un truc du genre).

Je me souviens que tu avais gueulé ce jour là

ce mec n'a aucune cohérence. On dirait qu'il gere le truc en total amateur. C'est deja l'impression qu'il me faisait avec ses discours préconcus et démagos du mois de juin. Espérons qu'il apprenne vite le job et qu'il finisse pas comme Bouchet.

HussardOM, il a surtout dit tout et son contraire. Que l'OM allait jouer le titre quoiqu'il arrive puis qu'on s'en battait un peu des résultats face aux enjeux financiers (phrase tres a la mode mais absurde tant les perfs sportives conditionnent une bonne partie des révenus) pour enfin rebalancer que l'ojectif etait le titre avec le seul bémol de l'eventuelle surpuissance de la team du QSG...
aujourd'hui il y a 19 bémols et il vient raconter que le titre n'etait pas un objectif non seulement cette année mais a plus long terme aussi

pour l'instant il maitrise rien, ne met en avant aucune stratégie claire et adapte ses beaux discours a la situation du moment. Si on termine pas sur le podium avec les -20m€ de la C1 que ca implique, j'ai peur qu'il se fasse pipi dessus.