Une réconciliation semble désormais impossible. Surtout si les résultats ne s'améliorent pas. José Anigo se retrouve en effet face à la mission la plus périlleuse de sa carrière de dirigeant. D'autant que son discours a du mal à passer auprès de certains, encore dans l'effectif. D'autres, dans le même cas, sont déjà partis. Comme Amalfitano l'été dernier. Les deux hommes avaient atteint le point de non-retour. Un cas isolé ? Pas sûr. Et si c'était plutôt le symbole des limites d'un système ?
La fin de l'article est quand même lourd en sous entendu... Tout comme la partie sur les transferts ou l'on rappelle les suspicions sur Anigo. Rare de voir un article aussi critique à la Provence...