Supporters de l'OM

Ça fait des semaines qu'ils préparent l'arrivée de la flamme ici les 8 et 9 mai, avec une grosse mobilisation des groupes de supporters.
On peut imaginer qu'ils avaient pas prévu que l'OM se retrouve en 1/2 de C3 quoi.

Mais ça paraît plus logique et rationnel d'imaginer que les types laissent entendre qu'ils vont mettre le stade à feu et à sang parce que ce sont d'incorrigibles garnements

Oui surtout que depuis le coup de sang de début de saison j'ai l'impression qu'ils font plutôt l'union sacrée avec les joueurs et Gasset.

Peezee, Écoute, on verra bien. L'un n'empêche pas forcément l'autre d'ailleurs.
Après tout ils ont bien fait dévisser Longoria à la fameuse réunion juste avant de faire des tifos pour Sa Sainteté.

Mais en tout cas, ils sont censés être sur le Vieux Port le 8 mai et le lendemain en ville aussi lors du relais.

Modifié en dernier par Lo Provençau le 29 Avr 2024, 14:34, modifié 1 fois.

Dimeco63, ouais, sauf que c'est pas tout à fait la même avec Longoria, et mm McCourt qui s'est pris une belle bannière dans la tronche hier soir à ce que j'ai entendu. Sans parler de l'intrigant Tessier qui pourrait pousser les groupes à une fronde.

En revanche ouais pas trop de soucys avec les joueurs, et aucun avec Gasset qui fait son taff, lui.

Lo Provençau, en étant qq peu cynique on pourrait imaginer que les Rachid boys se disent : "vu qu'on est prévus de longue date d'être à Marseille jeudi prochain et que donc on "s'auto-interdit" de déplacement, ça nous donne toute liberté pour foutre le ouaille jeudi vu qu'on s'en branle de toute sanction qui pourrait s'ensuivre".

Humm... p-ê pas si irréaliste que ça si on reprend le message bizarre du gars au mégaphone hier soir (c'était Rachid ?)...

Je crois surtout qu'ils préparent l'arrivée imminente du nouvel actionnaire.

Serait pas temps de renommer ce sujet "insupportables supporters" ?

Je crois surtout qu'ils préparent l'arrivée imminente du nouvel actionnaire.

Ils ont prévu de s'installer à Marignane.

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MOINS DE 2800 SUPPORTERS DE L'ATALANTA SONT ATTENDUS CE SOIR AU VÉLODROME; Des tifosi sous surveillance

Près de 1 000 policiers sont mobilisés pour assurer la sécurité du match et gérer la venue des supporters italiens.

Près de 2 800 tifosi de l'Atalanta vont prendre possession du parcage visiteurs du stade Vélodrome, ce soir, à l'occasion de la demi-finale aller de Ligue Europa contre l'OM. Les supporters olympiens seront bien moins nombreux à Bergame où, en raison des travaux de rénovation du Gewiss Stadium, la capacité d'accueil est réduite à 15 000 places, soit à peine 750 billets pour les Marseillais.

Réunis dans la Curva Nord, les ultras lombards traînent une solide réputation sur la scène italienne et, aussi, en Europe. C'est même l'un des virages les plus craints et respectés d'Italie depuis les années 1980. Cette saison, des incidents ont déjà éclaté à Lisbonne, début mars, avec des fans des Glasgow Rangers, même si le déplacement à Liverpool, au tour précédent, s'est déroulé sans problème. "C'est une fierté pour nous d'amener autant de tifosi dans toute l'Europe alors qu'on vient d'une petite ville. Je suis heureux, ils vont découvrir un autre stade fantastique après Anfield Road", apprécie Gian Piero Gasperini, l'entraîneur de l'Atalanta. Mario Pasalic ne dit pas autre chose : "On est très heureux et fier d'amener autant de gens pour la coupe d'Europe. J'espère qu'on leur donnera le sourire...", glisse l'ancien Monégasque.

Parmi ceux qui font le voyage en Provence, 300 éléments sont d'ailleurs considérés comme potentiellement à risques. La Préfecture de police des Bouches-du-Rhône a donc décidé de reconduire un dispositif similaire à celui mis en place pour la réception de Benfica, avec près de 1 000 policiers réquisitionnés. Ils seront escortés en métro jusqu'au Vel'. Le but sera surtout d'éviter les heurts avec les Marseillais, aussi bien en centre-ville qu'aux abords du stade. "On va se faire soulever...", plaisantait l'un d'entre eux après la qualification de l'OM. "Ils n'ont pas d'idées politiques, ils n'aiment que la violence", cingle un confrère transalpin qui suit la "Dea" alors que leur leader charismatique Claudio "Bocia" Galimberti cumule par exemple plus de 25 années d'interdiction de stade.

La Ligue du nord, le parti d'extrême-droite, a pourtant longtemps trouvé (et trouve toujours) un terreau fertile dans la Nord, comme l'appellent les Atalantini, tandis que des groupuscules d'extrême-gauche ont aussi essaimé. Les deux camps ont d'ailleurs bataillé jusqu'au mitan des années 2000 pour s'approprier le virage. Le match contre la ville voisine de Brescia est ainsi l'un des derbies les plus chauds de la Botte, et les ultras de Bergame, parfois comparés à ceux de l'Hellas Vérone ou de l'Inter Milan, aiment à rappeler leur "nordicité" lors des rencontres contre les clubs romains ou le Napoli, n'hésitant pas à entonner des chants racistes. Ils revendiquent d'ailleurs cette étiquette de "méchants".

Aujourd'hui, une nouvelle transition s'opère au sein de la Curva Nord, qui rassemble près de 6 000 personnes, dans le sillage de "Bocia" et de son leitmotiv : "Solo Atalanta". Mais au-delà de ce goût prononcé pour la violence et les excès, les Bergamasques ont aussi un rôle social développé, inhérent à la culture ultra. La pandémie de Covid-19 l'a démontré. Interdits de se déplacer à Valence en mars 2020 pour le huitième de finale retour de Ligue des champions et finalement remboursés, ils avaient décidé de reverser la totalité de la somme, soit 40 000€, à l'hôpital lombard alors que Bergame était l'épicentre italien de la pandémie. La situation était tellement dramatique à l'époque que Galimberti avait même demandé au président de l'Atalanta de déclarer forfait pour devancer les décisions de la Fédération italienne.

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Ah ouais j'avais oublié que le Covid avait frappé très durement Bergame au tout début (alors qu'il n'y avait encore quasi aucun cas en France et que certains se gaussaient de l'état déplorable de l'Hôpital en Italie qui expliquait cette cata, aucun risque en France - on a vu la suite).

Faut espérer que le match se déroule à peu près normalement côté supporters, à la lecture de cet article ça me semble pas garanti.

peezee, c'est facile de se moquer après coup, mais à l'époque, il était légitime de penser que le nuage du covid aurait du mal à franchir les Alpes.

fourcroy,

Belle ambiance observée depuis le canapé.

aristote2,

Ce stade ne mérite pas une saison sans Europe l'an prochain. Même la Conférence des clubs qui s'intéressaient à Thauvin à son prime, ca vaudrait quand même le coup.

boodream,

peezee, c'est facile de se moquer après coup, mais à l'époque, il était légitime de penser que le nuage du covid aurait du mal à franchir les Alpes.

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Le chef-d'oeuvre des Winners dévoilé; Le groupe de supporters de l'OM a hissé son tifo pour habiller le fort Saint-Jean à l'arrivée du "Belem". En mettant en avant les symboles fondateurs de la ville, il a fait honneur aux Marseillais venus l'admirer depuis le Pharo.

Comme une apothéose marseillaise dans un show qui fait la fierté du pays. Et d'une ville. Le tifo de tous les records, qui s'étend sur 160 mètres de long et 12 mètres de hauteur, a été dévoilé au moment où le "Belem", hôte de la flamme olympique, a débuté son entrée entre les bras du Vieux-Port, le fort Saint-Nicolas d'un côté, le fort Saint-Jean de l'autre. Les Winners, à l'initiative de la conception du tifo, ont hissé la grande voile par centaines, et transformé par la même occasion les portes de la ville en un décor olympique monumental fait de bleu ciel et de blanc, qui restera pour longtemps gravé dans les annales de la cité phocéenne. Noyps, le graffeur marseillais qui a dessiné le tifo, a choisi de faire un clin d'oeil au mythe fondateur de Marseille en représentant, sur près de 5 000 m², le marin grec Protis qui tend la flamme olympique, partie d'Athènes, à la Ligure Gyptis, dont l'union a donné naissance à la cité il y a 2 600 ans.

"On a passé l'après-midi à faire des essais pour s'assurer que le tifo épousait bien les contours de la façade. Un coup pour tester l'angle, un autre au niveau de l'arrondi de la tour du Fanal. On l'a fait, et on l'a fait tous ensemble", exulte l'artiste, créateur de plusieurs fresques pour l'Olympique de Marseille, aussi bien au centre d'entraînement et de formation de la Commanderie que sur la façade du Vélodrome. "On a réussi parce qu'on est une grande famille. Je suis tellement fier de ma ville, d'être supporter de son club de foot, et aujourd'hui d'être graffeur", enchaîne Enzo, qui a passé ses nuits dans le hanger du parc Chanot où a été créé le tifo, lourd comme deux voitures. Au moment où il est hissé, surplombé par un arc-en-ciel, les Marseillais massés par milliers du côté du Pharo n'en croient pas leurs yeux. "C'est un cadeau, ce tifo, à la fois pour nous et pour les JO", lâche un père à sa fille. "Notre culture et notre patrimoine en sortent grandis", abonde sa voisine, qui aurait voulu un petit pied de nez aux Parisiens. "Mais on l'a ! On est les premiers à accueillir la flamme. C'est pas beau, ça ?".

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L'OM SERA SOUTENU PAR UN CONTINGENT DE PLUSIEURS CENTAINES DE SUPPORTERS; Les fidèles au coeur du chantier bergamasque

Le parcage visiteurs du stade de l'Atalanta est le vestige d'un autre monde, où 750 supporters de l'OM prendront place, ce soir, pour la demi-finale retour de Ligue Europa.

Un bout de béton ceinturé par un grillage, situé à côté de la Curva Sud, fermée pour cause de travaux de rénovation. Un chantier entamé en 2019 et dont le parcage visiteurs du Stadio Atleti Azzurri d'Italia (annoncé à guichets fermés) est l'un des uniques vestiges. Le petit contingent de supporters de l'OM, seulement 750 autorisés à se déplacer, va le découvrir ce soir. "Si on avait joué dans un stade de 50 000 places, on aurait eu plus de tickets (2 500, Ndlr)... Plus on a de supporters, plus on est content, mais on sait aussi que tous les autres qui ne peuvent être là nous pousseront derrière leur télévision", prévoyait Jean-Louis Gasset, hier, en conférence de presse. Bloquée à 15 000 sièges, la jauge globale ne permet pas plus, le club qui reçoit devant céder 5 % de la capacité aux visiteurs.

La ferveur des fidèles olympiens sera diluée dans le brouhaha des fans de l'Atalanta, respectés dans toute l'Italie et au-delà. Mais ceux qui ont pu décrocher un précieux sésame peuvent vivre une partie d'anthologie. "Les amener à Dublin, ce serait énorme. On a envie de nous faire plaisir, de faire plaisir au club et aussi aux supporters qui ne nous ont jamais lâchés", appuyait Jordan Vérétout, de retour en Italie. "Ça va être chaud, il faut s'y préparer. On sait l'attente de nos supporters, on va essayer de leur faire plaisir", prolongeait l'entraîneur de l'OM.

Mais avant de parler de plaisir, les groupes de supporters devront avaler les 550 kilomètres qui séparent Marseille de Bergame. Le gros de la troupe est parti en bus (mais aussi en minibus et en voitures) cette nuit. Certains, comme les South Winners, étaient mobilisés par l'arrivée de la flamme olympique. Dans la cité lombarde, ils ont un point de rendez-vous à proximité de la gare, sur une place avec bars et restaurants. Ils devront ensuite rallier le stade en fin de journée et se soumettre à un contrôle d'identité, les policiers italiens vérifiant que les noms soient les mêmes que ceux sur les billets. Les drapeaux sont autorisés, ainsi que trois mégaphones et trois tambours. Pas plus. Les Marseillais sont donc loin des processions habituelles dans la Botte, comme à Milan (contre l'Inter et l'ACM) ou à Naples ces dernières années, où plusieurs milliers de supporters étaient à chaque fois de la partie.

Comme ils l'ont fait contre le Sporting ou Liverpool aux tours précédents, les ultras de Bergame, regroupés pour leur part dans la Curva Nord, pourront faire entendre leurs voix et soutenir les joueurs de la "Dea".

La Provence

J espère un bel accueil au stade pour le prochain match de L1 Banane...