Supporters de l'OM
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Re: Supporters de l'OM
par Ryo Saeba » 19 Sep 2023, 22:40
Par contre l’OM peut très bien communiquer à quel prix unitaire il revend la place au groupe de supporters les places en virages et déplacement et libre à chacun de voir la marge que les groupes se font si le supporter en achète via eux.
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Re: Supporters de l'OM
par gigi » 20 Sep 2023, 00:19
Ryo Saeba, ça c’est le truc que devrait dire l’actionnaire. Je serais fou si j’étais à la place de FMC qui se fait traiter de pince alors qu’il a foutu 1/2 milliard dans le club et qu’il fait du social avec les places en virages.
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Re: Supporters de l'OM
par Dragan » 20 Sep 2023, 06:45
Ces fils de chiens qui ont proféré des menaces à nos dirigeants et à leurs familles doivent se casser bien loin de notre club.
Ils nous font honte et nous traînent plus bas que le caniveau
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Samba / Renan Lodi, Lacroix, Mbemba, Clauss / Lemar, Kondogbia, Guendouzi, Is. Sarr / Alexis, Aubameyang
Blanco / J. Firpo, Gigot, Seidu, R. Pereira / Harit, Soumaré, Ounahi, Mughe/ Ndiaye, Vitinha
Ventes : Touré, Balerdi, Lopez, Rongier, Veretout, Amavi, Lirola
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Re: Supporters de l'OM
par Dragan » 20 Sep 2023, 08:17
Information
LES PRÉCÉDENTES CRISES; Les virages ont toujours le dernier mot
Quand les virages se mettent à gronder, les jours des présidents sont comptés. Si la vox populi revendique à longueur de réseaux sociaux que "l'OM, c'est nous", ce sont surtout les historiques associations de supporters qui font la pluie et le beau temps dans les hautes sphères du club marseillais. Parmi elles émerge celle parée d'orange, qui trône dans la partie haute du Virage Sud : les South Winners. À la baguette pour sceller le sort de Didier Deschamps en plein quart de finale de Ligue des champions en 2012, le groupe a souvent été meneur pour faire partir les présidents qui dérangeaient pour diverses raisons.
Jean-michel roussier (1995-99)
Arrivé de l'univers de la pub, il avançait avec une logique d'entreprise et des envies affichées de faire feu de tout bois du côté du merchandising. Le dirigeant avait, aussi, une idée en tête : récupérer les droits à l'image de l'OM concédés à certains clubs de supporters, ainsi que les listings contenant leurs informations personnelles. Sa tête était ainsi réclamée à chaque match, ou presque, lors de ses derniers mois de règne. Menacé, isolé au sein du club et placé sous protection policière, il garde cependant la confiance de Robert Louis-Dreyfus mais finit par démissionner,
yves marchand (1999-2000)
Cadre de "RLD" chez Adidas, le Suisse, venu pour "structurer l'entreprise" n'a jamais su s'adapter au contexte local. En conflit ouvert avec Pierre Dubiton, trésorier de l'association, détesté par les supporters, il tiendra 17 mois, jusqu'à ce que Jean-Claude Gaudin implore Robert Louis-Dreyfus de mettre un terme à cette situation.
christophe bouchet (2002-2004)
Ancien journaliste qui avait commis le péché de critiquer Bernard Tapie, il devient président actionnaire pour sa connaissance du club mais aussi des "milieux politiques, économiques et juridiques" (dixit RLD), il agace par son côté franc-tireur, ses attaques envers et contre tous. Les supporters lui reprochent vite de préférer l'extra-sportif au sportif, en somme. Raccompagné chez lui par la police après une défaite contre le PSG en coupe de la Ligue, cambriolé à quatre reprises, voyant ses enfants pris à partie, totalement isolé en interne, il démissionne le 25 novembre 2004.
vincent labrune (2011-2016)
Ancien président du conseil de surveillance de l'OM pendant trois ans, homme qui murmurait à l'oreille des Louis-Dreyfus, celui qui est devenu président de la LFP a tenu un quinquennat à la tête de l'OM. S'il a gagné un combat pour récupérer la gestion des cartes d'abonnements en virages, mais sa stratégie sportive s'est révélée illisible, voire foireuse, en dépit du coup d'éclat Bielsa. Usé, détesté, il verra son calvaire prendre fin à l'été 2016, à mesure que l'influence des hommes de l'ombre de MLD, Igor Levin et Mehdi ElGlaoui, grandissait. Et que la vente du club à Frank McCourt se profilait.
jacques-henri eyraud (2016-2021)
Son arrivée, conjuguée à celle du propriétaire américain, incarnait un nouvel espoir. Mais l'ancien directeur de la communication de Disneyland Paris a vite fait déchanter les fans de l'OM. De projets mal ficelés présentés à grand renfort de Powerpoint à une gestion catastrophique du magot octroyé par McCourt, dilapidé dans des transferts aussi improbables qu'onéreux, le diplômé de Havard, au ton hautain, a su faire l'unanimité contre lui. Menacé, isolé, acculé, il a vécu une véritable attaque en règle d'un centre d'entraînement RLD qu'il avait déserté. Face à cette situation devenue ingérable, McCourt l'écartera au profit de Pablo Longoria. Un soulagement pour tout le monde. Lui y compris.
La Provence
Quand les virages se mettent à gronder, les jours des présidents sont comptés. Si la vox populi revendique à longueur de réseaux sociaux que "l'OM, c'est nous", ce sont surtout les historiques associations de supporters qui font la pluie et le beau temps dans les hautes sphères du club marseillais. Parmi elles émerge celle parée d'orange, qui trône dans la partie haute du Virage Sud : les South Winners. À la baguette pour sceller le sort de Didier Deschamps en plein quart de finale de Ligue des champions en 2012, le groupe a souvent été meneur pour faire partir les présidents qui dérangeaient pour diverses raisons.
Jean-michel roussier (1995-99)
Arrivé de l'univers de la pub, il avançait avec une logique d'entreprise et des envies affichées de faire feu de tout bois du côté du merchandising. Le dirigeant avait, aussi, une idée en tête : récupérer les droits à l'image de l'OM concédés à certains clubs de supporters, ainsi que les listings contenant leurs informations personnelles. Sa tête était ainsi réclamée à chaque match, ou presque, lors de ses derniers mois de règne. Menacé, isolé au sein du club et placé sous protection policière, il garde cependant la confiance de Robert Louis-Dreyfus mais finit par démissionner,
yves marchand (1999-2000)
Cadre de "RLD" chez Adidas, le Suisse, venu pour "structurer l'entreprise" n'a jamais su s'adapter au contexte local. En conflit ouvert avec Pierre Dubiton, trésorier de l'association, détesté par les supporters, il tiendra 17 mois, jusqu'à ce que Jean-Claude Gaudin implore Robert Louis-Dreyfus de mettre un terme à cette situation.
christophe bouchet (2002-2004)
Ancien journaliste qui avait commis le péché de critiquer Bernard Tapie, il devient président actionnaire pour sa connaissance du club mais aussi des "milieux politiques, économiques et juridiques" (dixit RLD), il agace par son côté franc-tireur, ses attaques envers et contre tous. Les supporters lui reprochent vite de préférer l'extra-sportif au sportif, en somme. Raccompagné chez lui par la police après une défaite contre le PSG en coupe de la Ligue, cambriolé à quatre reprises, voyant ses enfants pris à partie, totalement isolé en interne, il démissionne le 25 novembre 2004.
vincent labrune (2011-2016)
Ancien président du conseil de surveillance de l'OM pendant trois ans, homme qui murmurait à l'oreille des Louis-Dreyfus, celui qui est devenu président de la LFP a tenu un quinquennat à la tête de l'OM. S'il a gagné un combat pour récupérer la gestion des cartes d'abonnements en virages, mais sa stratégie sportive s'est révélée illisible, voire foireuse, en dépit du coup d'éclat Bielsa. Usé, détesté, il verra son calvaire prendre fin à l'été 2016, à mesure que l'influence des hommes de l'ombre de MLD, Igor Levin et Mehdi ElGlaoui, grandissait. Et que la vente du club à Frank McCourt se profilait.
jacques-henri eyraud (2016-2021)
Son arrivée, conjuguée à celle du propriétaire américain, incarnait un nouvel espoir. Mais l'ancien directeur de la communication de Disneyland Paris a vite fait déchanter les fans de l'OM. De projets mal ficelés présentés à grand renfort de Powerpoint à une gestion catastrophique du magot octroyé par McCourt, dilapidé dans des transferts aussi improbables qu'onéreux, le diplômé de Havard, au ton hautain, a su faire l'unanimité contre lui. Menacé, isolé, acculé, il a vécu une véritable attaque en règle d'un centre d'entraînement RLD qu'il avait déserté. Face à cette situation devenue ingérable, McCourt l'écartera au profit de Pablo Longoria. Un soulagement pour tout le monde. Lui y compris.
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Re: Supporters de l'OM
par Dragan » 20 Sep 2023, 08:19
Information
SUPPORTERS; La réunion qui a tout déclenché; Les leaders des groupes ont réclamé la tête de l'état-major olympien lundi soir.
La grogne ne date pas d'hier, ni de lundi. Mais la fracture entre les responsables des groupes de supporters et les dirigeants de l'OM est aujourd'hui une plaie béante. Cible du mécontentement des leaders des associations marseillaises, Pablo Longoria en a pris pour son grade, en début de semaine, au cours d'une réunion à sens unique, pourtant fixée de longue date. Les responsables des sept "familles" (South Winners, Commando Ultra, Fanatics, MTP, Dodger's, Club des amis de l'OM et Handifan) ont réclamé la démission de tout l'état-major olympien présent (Longoria donc, mais également Javier Ribalta, le directeur du football, Pedro Iriondo, le directeur de la stratégie, et Stéphane Tessier, le directeur administratif et financier), avant de tourner les talons et de quitter La Commanderie, théâtre du conflit, sans attendre de réponse.
Figure tutélaire des SW, tombeur de Didier Deschamps à l'époque et grand soutien de José Anigo, à la manoeuvre lors de la révolution des cyprès en janvier 2021, Rachid Zeroual, celui qui depuis des lustres parle plus fort que tout le monde avec sa voix rauque, a invité chacun à démissionner et à faire ses valises. D'autres leaders ont aussi pris la parole durant ce colloque testostéroné et expéditif.
"Il n'y a pas eu de menaces de mort comme on a pu l'entendre, sûrement pas ! Juste un coup de pression comme on sait le faire à Marseille, indique en préambule un participant, sous couvert d'anonymat. On a évoqué plusieurs choses, dont la gestion des cas (Steve) Mandanda et (Dimitri) Payet, mais aussi ceux de (Matteo) Guendouzi et (Alexis) Sanchez, énumère-t-il. On a parlé du début de saison, de la mauvaise qualité du jeu, aussi, et de certains dossiers, comme les problèmes avec les féminines et le centre de formation. Et on a reproché à (Pablo) Longoria la politique sportive du club, mais aussi de se gaver sur le dos de l'OM, de faire manger ses amis en les mettant en place, de prendre des sous sur les transferts... Là, il a répondu : 'Si vous pensez que j'ai pris 1€, je quitte le club'. Il était blanc comme un linge, on aurait dit un petit garçon en train de se faire gronder par des adultes et les autres n'ont pas bronché. Il n'a pas compris qu'en tant que président, il doit imposer son autorité et nous dire de rester à notre place. Au lieu de ça, il tremble...", prolonge ce témoin privilégié.
En vingt minutes maximum, ce drôle d'échange était plié, les supporters prenant le temps, par la suite, de discuter entre eux sur le parking du centre Robert Louis-Dreyfus. Le 6 juin dernier, déjà, après une entrevue houleuse deux jours après le déplacement tumultueux à Ajaccio, le vice-président des SW avait indiqué à Longoria de "préparer (s)es bagages", comme nous l'avions raconté quelques semaines avant la reprise de l'entraînement. Marcelino n'avait pas encore pris ses fonctions à la tête du plus fada des clubs français, mais la fronde était déjà en place. Un autre leader avait eu des propos moins amènes, encore, à l'endroit du dirigeant espagnol et de Frank McCourt, le propriétaire américain. La légère hausse du prix des abonnements s'était également invitée au menu, l'un des convives prévenant : "Vous la paierez...". Le jeu peu emballant de l'"Olympique de Petit Marcel" n'est donc pas à la source du conflit, même s'il n'a fait que grossir le débit de leur colère, tout comme l'élimination peu flatteuse dès le troisième tour préliminaire de Ligue des champions. Un fiasco qui n'a pas été digéré, encore moins après les épisodes Tottenham (en C1) et Annecy (en coupe de France) de la saison dernière.
Une position collégiale mais
qui n'est pas partagée par la base
C'est d'ailleurs une position collégiale entre tous les groupes et leurs noyaux, même si elle n'est pas validée par la base de chaque entité, dont certains se demandent à quoi jouent leurs chefs. Des voix s'élèvent en effet sur les réseaux sociaux et dans les travées du Vélodrome, en même temps que la pétition mise en ligne en soutien à Longoria, preuve de sa popularité (bien qu'elle ne s'effrite au fil des étés), sur ces supporters qui pensent que le club leur appartient. Un débat éternel, mais qui n'a pas d'effet sur les principaux concernés, sûrs d'être dans leur bon droit. Cela souligne tout de même le pouvoir accordé aux associations de fidèles et leur poids dans l'institution. Jacques-Henri Eyraud peut en témoigner, comme d'autres avant lui (lire ci-dessous), mais pour ce dernier, personne ne s'en était plaint, même si la violence utilisée lors de la désormais célèbre invasion de La Commanderie avait été largement dénoncée.
Reste à savoir la suite des événements après cette journée au suspense insoutenable. Car lors de leur discussion sur le parking, certains responsables assuraient avoir encore d'autres dossiers embarrassants sous le bras pour le président olympien. Comme si la chasse aux dirigeants était lancée alors que d'autres croient même toujours, sans avoir d'informations, à une vente imminente du club marseillais.
Il n'y a pas à dire, l'OM rend fou.
La Provence
La grogne ne date pas d'hier, ni de lundi. Mais la fracture entre les responsables des groupes de supporters et les dirigeants de l'OM est aujourd'hui une plaie béante. Cible du mécontentement des leaders des associations marseillaises, Pablo Longoria en a pris pour son grade, en début de semaine, au cours d'une réunion à sens unique, pourtant fixée de longue date. Les responsables des sept "familles" (South Winners, Commando Ultra, Fanatics, MTP, Dodger's, Club des amis de l'OM et Handifan) ont réclamé la démission de tout l'état-major olympien présent (Longoria donc, mais également Javier Ribalta, le directeur du football, Pedro Iriondo, le directeur de la stratégie, et Stéphane Tessier, le directeur administratif et financier), avant de tourner les talons et de quitter La Commanderie, théâtre du conflit, sans attendre de réponse.
Figure tutélaire des SW, tombeur de Didier Deschamps à l'époque et grand soutien de José Anigo, à la manoeuvre lors de la révolution des cyprès en janvier 2021, Rachid Zeroual, celui qui depuis des lustres parle plus fort que tout le monde avec sa voix rauque, a invité chacun à démissionner et à faire ses valises. D'autres leaders ont aussi pris la parole durant ce colloque testostéroné et expéditif.
"Il n'y a pas eu de menaces de mort comme on a pu l'entendre, sûrement pas ! Juste un coup de pression comme on sait le faire à Marseille, indique en préambule un participant, sous couvert d'anonymat. On a évoqué plusieurs choses, dont la gestion des cas (Steve) Mandanda et (Dimitri) Payet, mais aussi ceux de (Matteo) Guendouzi et (Alexis) Sanchez, énumère-t-il. On a parlé du début de saison, de la mauvaise qualité du jeu, aussi, et de certains dossiers, comme les problèmes avec les féminines et le centre de formation. Et on a reproché à (Pablo) Longoria la politique sportive du club, mais aussi de se gaver sur le dos de l'OM, de faire manger ses amis en les mettant en place, de prendre des sous sur les transferts... Là, il a répondu : 'Si vous pensez que j'ai pris 1€, je quitte le club'. Il était blanc comme un linge, on aurait dit un petit garçon en train de se faire gronder par des adultes et les autres n'ont pas bronché. Il n'a pas compris qu'en tant que président, il doit imposer son autorité et nous dire de rester à notre place. Au lieu de ça, il tremble...", prolonge ce témoin privilégié.
En vingt minutes maximum, ce drôle d'échange était plié, les supporters prenant le temps, par la suite, de discuter entre eux sur le parking du centre Robert Louis-Dreyfus. Le 6 juin dernier, déjà, après une entrevue houleuse deux jours après le déplacement tumultueux à Ajaccio, le vice-président des SW avait indiqué à Longoria de "préparer (s)es bagages", comme nous l'avions raconté quelques semaines avant la reprise de l'entraînement. Marcelino n'avait pas encore pris ses fonctions à la tête du plus fada des clubs français, mais la fronde était déjà en place. Un autre leader avait eu des propos moins amènes, encore, à l'endroit du dirigeant espagnol et de Frank McCourt, le propriétaire américain. La légère hausse du prix des abonnements s'était également invitée au menu, l'un des convives prévenant : "Vous la paierez...". Le jeu peu emballant de l'"Olympique de Petit Marcel" n'est donc pas à la source du conflit, même s'il n'a fait que grossir le débit de leur colère, tout comme l'élimination peu flatteuse dès le troisième tour préliminaire de Ligue des champions. Un fiasco qui n'a pas été digéré, encore moins après les épisodes Tottenham (en C1) et Annecy (en coupe de France) de la saison dernière.
Une position collégiale mais
qui n'est pas partagée par la base
C'est d'ailleurs une position collégiale entre tous les groupes et leurs noyaux, même si elle n'est pas validée par la base de chaque entité, dont certains se demandent à quoi jouent leurs chefs. Des voix s'élèvent en effet sur les réseaux sociaux et dans les travées du Vélodrome, en même temps que la pétition mise en ligne en soutien à Longoria, preuve de sa popularité (bien qu'elle ne s'effrite au fil des étés), sur ces supporters qui pensent que le club leur appartient. Un débat éternel, mais qui n'a pas d'effet sur les principaux concernés, sûrs d'être dans leur bon droit. Cela souligne tout de même le pouvoir accordé aux associations de fidèles et leur poids dans l'institution. Jacques-Henri Eyraud peut en témoigner, comme d'autres avant lui (lire ci-dessous), mais pour ce dernier, personne ne s'en était plaint, même si la violence utilisée lors de la désormais célèbre invasion de La Commanderie avait été largement dénoncée.
Reste à savoir la suite des événements après cette journée au suspense insoutenable. Car lors de leur discussion sur le parking, certains responsables assuraient avoir encore d'autres dossiers embarrassants sous le bras pour le président olympien. Comme si la chasse aux dirigeants était lancée alors que d'autres croient même toujours, sans avoir d'informations, à une vente imminente du club marseillais.
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Re: Supporters de l'OM
par Dragan » 20 Sep 2023, 08:29
Information
"S’il y a des menaces, c’est inacceptable", gronde Eric Di Meco
Invité d’Apolline Matin sur RMC ce mercredi, Eric Di Meco, ancien joueur de l’OM (1980-1994) jette un regard inquiet sur la situation du club alors que la tendance est à un départ de l’entraîneur Marcelino, choqué par les menaces de supporters contre les dirigeants lors d’une réunion, lundi. Tout en restant prudent sur les circonstances, il regrette le timing de cette crise.
"Je suis malheureux parce que je connais tous les protagonistes de cette histoire. Je sentais qu’il y avait une certaine tension et des reproches faits à la direction ces derniers temps. Mais le timing me surprend: c’est soit trop tôt, soit trop tard. Si on veut être factuel, il y a eu une réunion lundi soir qui était prévue de longue date concernant les déplacements en Coupe d’Europe qui a tourné au règlement de compte des supporters envers le président (Pablo Longoria). Les reproches ne sont pas sportifs, ce ne sont pas les résultats qui ont généré cette fronde. Ce qui est reproché au président, c’est la gestion économique du club, la gestion sportive avec quatre entraineurs et une quarantaine de mouvements depuis l’arrivée de Longoria, le départ de certains salariés au profit de proches de Longoria, la gestion du centre de formation où on fait passer certains intérêts au détriment de petits jeunes marseillais. Mais il faut être très prudent."
"J’invite les supporters ou la direction à s’exprimer parce que j’ai entendu parler de menaces de mort. Je sais qu’on est entre le coup de pression et les menaces. S’il y a eu des menaces, c’est inacceptable. Le timing me gêne, il y a un enchaînement de quatre matchs et c’est un peu tirer contre son camp."
Invité d’Apolline Matin sur RMC ce mercredi, Eric Di Meco, ancien joueur de l’OM (1980-1994) jette un regard inquiet sur la situation du club alors que la tendance est à un départ de l’entraîneur Marcelino, choqué par les menaces de supporters contre les dirigeants lors d’une réunion, lundi. Tout en restant prudent sur les circonstances, il regrette le timing de cette crise.
"Je suis malheureux parce que je connais tous les protagonistes de cette histoire. Je sentais qu’il y avait une certaine tension et des reproches faits à la direction ces derniers temps. Mais le timing me surprend: c’est soit trop tôt, soit trop tard. Si on veut être factuel, il y a eu une réunion lundi soir qui était prévue de longue date concernant les déplacements en Coupe d’Europe qui a tourné au règlement de compte des supporters envers le président (Pablo Longoria). Les reproches ne sont pas sportifs, ce ne sont pas les résultats qui ont généré cette fronde. Ce qui est reproché au président, c’est la gestion économique du club, la gestion sportive avec quatre entraineurs et une quarantaine de mouvements depuis l’arrivée de Longoria, le départ de certains salariés au profit de proches de Longoria, la gestion du centre de formation où on fait passer certains intérêts au détriment de petits jeunes marseillais. Mais il faut être très prudent."
"J’invite les supporters ou la direction à s’exprimer parce que j’ai entendu parler de menaces de mort. Je sais qu’on est entre le coup de pression et les menaces. S’il y a eu des menaces, c’est inacceptable. Le timing me gêne, il y a un enchaînement de quatre matchs et c’est un peu tirer contre son camp."
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Re: Supporters de l'OM
par Verbal Kint » 20 Sep 2023, 08:41
Les représentants des groupes semblent faire front commun...
Et on entend que "la base" ne serait pas sur la même ligne...
Si c'est vraiment le cas, n'est-il pas tant de changer les représentants ? Ne sont-ils pas sensés représenter l'ensemble des supporters marseillais ?
Et on entend que "la base" ne serait pas sur la même ligne...
Si c'est vraiment le cas, n'est-il pas tant de changer les représentants ? Ne sont-ils pas sensés représenter l'ensemble des supporters marseillais ?
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Re: Supporters de l'OM
par boodream » 20 Sep 2023, 09:27
Di Méco ne se mouille pas, comme d'habitude. Voire il défend ses copains.
«On a fait une erreur dans ce mercato, c'est d'avoir eu des discussions avec un joueurs qui ont trop duré. Et ça, c'est une erreur qu'on essaiera de ne pas reproduire» 
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Re: Supporters de l'OM
par Verbal Kint » 20 Sep 2023, 09:35
Ouais il ne se mouille pas...
Genre, ça fait parti de l'OM les coups de pression, c'est bon enfant, c'est le folklore et si tu n'es pas capable de gérer ça c'est que tu n'as pas les épaules....
Tout en ajoutant, par contre si c'est des menaces c'est différent.... Sans vraiment définir la frontière entre les deux...
Il ne dit rien quoi....
Genre, ça fait parti de l'OM les coups de pression, c'est bon enfant, c'est le folklore et si tu n'es pas capable de gérer ça c'est que tu n'as pas les épaules....
Tout en ajoutant, par contre si c'est des menaces c'est différent.... Sans vraiment définir la frontière entre les deux...
Il ne dit rien quoi....
- Verbal Kint
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