Supporters de l'OM

Ben sur le fond, le supporter est con évidemment, mais encore une fois, ce genre d'attitude n'est en rien exclusive aux supporters de l'OM.
On peut le regretter mais c'est ainsi, et on est pas les derniers sur ce forum à pourrir des joueurs de notre équipe.
Par contre, aller provoquer une escalade et taper sur le mec en question, ça c'est de la responsabilité de l'OM et des personnes payées pour représenter le club.
Il ne s'agit pas de défendre l'un par rapport à l'autre, juste de balancer un peu les opinions lues ici ou là mettant la seule responsabilité sur le supporter parce que "quand on t'insulte c'est normal de répliquer".
Dans ce cas, en l'occurrence, non ce n'est pas normal.
Et oui, désolé Scrouitch, mais un salaire pas seulement élevé mais énorme, implique quelques responsabilités.
Si l'UEFA sanctionne l'OM sur ce cas précis, ce ne sera de toute façon pas pour les insultes des supporters, mais pour l'attitude d'Evra qui est aller jeter de l'huile sur le feu en invitant ce supporter à venir sur la pelouse pour se battre avec lui.

Lo Provençau, si l'OM est sanctionné c'est surtout pour son dispositif de stadier insuffisant pour empêcher les supporters de descendre sur la pelouse si j'ai bien compris. Surtout qu'au moment de cette scène, ils n'étaient que 3 présents, les autres étaient occupés ailleurs.

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Un dossier explosif pour l'OM
L'IRRÉELLE SOIRÉE DE GUIMARAES POURRAIT AVOIR DES RÉPERCUSSIONS PROFONDES SUR LES RELATIONS ENTRE LE CLUB ET LES ASSOCIATIONS DE SUPPORTERS.

MARSEILLE – Dans la nuit de jeudi à vendredi, le supporter frappé par Évra est dans l'avion affrété par l'OM pour près de 190 fans. Il discute avec ses collègues, avec les stadiers du club, laisse éclater sa colère : « Si Évra n'est pas sanctionné, on monte direct à la Commanderie ! » La vingtaine, il fait partie des Fanatics, groupe du virage nord du Vélodrome réputé pour son énergie, il est de tous les déplacements. Pendant ses vacances à Dubaï, à l'été 2016, il a même pratiqué… la boxe thaï. Hier, auprès des siens, le jeune homme confiait ne pas vouloir porter plainte contre Évra et espérait juste que son abonnement au Vélodrome ne soit pas annulé.
Seulement trois stadiers de l'OM étaient présents quand Évra a frappé

Pour la direction de l'OM, cette affaire est bien plus sérieuse. Dans son communiqué, elle consacre deux fois plus de place aux comportements des supporters qu'au geste d'Évra : «Les premiers résultats de l'enquête interne font apparaître un comportement inacceptable de la part d'une poignée de provocateurs ayant proféré des injures haineuses particulièrement graves […] Le club poursuit son enquête et utilisera tous les moyens de droit à sa disposition à l'encontre d'individus qui, sous couvert de leur passion pour l'OM, mettent en danger sa réputation en pénétrant sur le terrain et en injuriant un joueur au lieu de le soutenir. » Parmi les supporters présents sur les lieux de l'altercation, on retrouve des Fanatics, des MTP, des Yankee…
L'OM vise tous les groupes. « Eyraud va les forcer à faire le ménage chez eux… ou il le fera lui-même », confie un proche.

Certains dirigeants, comme Michel Tonini (Yankee) présent au Portugal, ont compris toute la portée symbolique du high-kick de Guimarees : la tension pourrait atteindre un point de non-retour, d'autant que le club risque de nouvelles sanctions (envahissement de pelouse, fumigènes). Dans sa version Tonini insiste sur le geste d'Évra, chambré à la base pour « une frappe ratée à l'échauffement », et demande des poursuites pénales contre lui. « Il y a une enquête interne, on va la suivre attentivement, confie un responsable d'asso. Il y a trois ans, un adhérent des Yankee s'est battu avec un stadier, il s'est pris trois ans d'interdiction de stade, a croupi aux Baumettes un mois en attendant son procès. L'OM se constitue systématiquement partie civile quand ses supporters sont concernés par des voies de fait. Là, c'est un salarié de l'OM qui a tapé sur un fan, on va voir leur attitude. »

Le dispositif déployé par le club à Guimaraes interroge : seulement treize stadiers encadraient les 500 supporters. Aguerris, respectés et identifiés par les groupes, ils avaient contribué à éviter un envahissement du terrain à Louis-II, le 27 août, au moment du quatrième but de Monaco (1-6 au final). Jeudi, dans un parcage ouvert à tous les vents, situé juste en bas du stade et sans appui de l'UEFA ou de stadiers locaux, ils étaient dispersés au moment de l'altercation : certains réglaient un problème de consignes à l'entrée, d'autres évitaient des échauffourées entre les Winners et des ultras portugais ayant enfilé des maillots du Paris-SG. Seulement trois membres de l'OM étaient sur le bord de la pelouse, où Évra a frappé.

(L'équipe)

Euh c'était à l'extérieur ce match. Me semble que le premier fautif c'est le club receveur.
D'ailleurs c'est bien dit :

Jeudi, dans un parcage ouvert à tous les vents, situé juste en bas du stade et sans appui de l'UEFA ou de stadiers locaux, ils étaient dispersés au moment de l'altercation :

Lo Provençau, cool. Mais sur le fond sinon? Peut-on considérer qu'un supporter n'a pas tous les droits ou pourraient ils descendre déféquer sur les lignes de buts en gage de ferveur?

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Selon nos informations, l'OM souhaite identifier les supporters impliqués dans les incidents de jeudi à Guimarães et les interdire de stade. Des menaces de sanction que les groupes de supporters vivent comme une injustice.

Les incidents de Guimarães devraient laisser des traces et tendre encore plus les relations entre la direction de l’OM et les groupes de supporters marseillais. Après le premier volet, destiné à comprendre pourquoi et comment Patrice Evra avait perdu ses nerfs, et avant de remettre en question les conditions de sécurité mises en place à Guimarães, l’enquête diligentée par l’OM pour "déterminer les responsabilités" dans les incidents de jeudi soir vise désormais à identifier clairement les supporters qui sont descendus sur la pelouse. Soit pour s’approcher de Patrice Evra, soit au moment du mouvement de foule qui a suivi le fameux coup de pied du défenseur de l’OM.

Jacques-Henri Eyraud a demandé à ses équipes de faire le nécessaire, grâce à des photos, des vidéos ou des témoignages, pour mettre un nom sur le visage de chaque supporter, en priorité ceux qui se sont retrouvés en première ligne face à l’ancien capitaine des Bleus, notamment le fan de l’OM visé par le coup de pied d’Evra qui, pour le moment, n’a pas l’intention de porter plainte. En sera-t-il de même si la carte d’abonné lui est supprimée? Affaire à suivre.

"Eyraud ne lâchera pas"

L’OM aurait déjà joint certains leaders de groupes de supporters pour les prévenir de leur intention d’être très ferme et sévère. La direction olympienne a même émis le souhait de convoquer différents supporters ou responsables d’associations impliqués dans les incidents de Guimarães. Thierry Aldebert, le directeur de la sécurité de l’OM, pourrait d’ailleurs rencontrer certains d’entre eux ce dimanche avant le match contre Caen (17h).

"Eyraud ne lâchera pas. Il veut que les supporters impliqués payent et soient interdits de stade", confie un proche de l’OM. En fait, il s'agirait plus d'une annulation de l'abonnement qu'une véritable interdiction de stade, conséquence d'une décision judiciaire. Le communiqué écrit vendredi par la direction olympienne pour annoncer la mise à pied de Patrice Evra laissait d’ailleurs entrevoir une volonté de frapper fort et de se montrer intransigeant avec certains fans de l’OM.

es groupes de supporters - qui estiment que c’est à cause de Patrice Evra que la situation a dégénéré, car c’est lui qui a demandé à un supporter de venir s’expliquer et car c’est lui qui a essayé d'en frapper un - vivent ces menaces de sanction comme une injustice. Et ont déjà prévenu le président de l’OM qu’ils ne se laisseront pas faire et qu’il fallait s’attendre à de vives réactions si certains fans étaient sanctionnés.

RMC

Oh si on a envie de descendre chier sur la pelouse, on descend compris le parisien ?

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Et ont déjà prévenu le président de l’OM qu’ils ne se laisseront pas faire et qu’il fallait s’attendre à de vives réactions si certains fans étaient sanctionnés.

Ces mecs sont vraiment un fardeau.

Une vraie mafia qui gangrenne notre club

Pour le coup je pense qu'ils auraient tort de jouer aux plus cons, ça donnera l'occasion à Eyraud de faire un gros ménage, pour le meilleur comme pour le pire

Kenshi, sauf que le Eyraud qui se cache depuis 2 mois me laisse des doutes.

gigi, c'est pas faux. Ce dossier peut être un virage important dans son mandat de président.

gigi, c'est pas faux. Ce dossier peut être un virage important dans son mandat de président.

peezee, on ne cite pas les messages qui sont juste au dessus du sien

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L'ombre d'Évra planera

LA DIRECTION DU CLUB MARSEILLAIS CRAINT DE DEVOIR FAIRE FACE À UNE AMBIANCE PARTICULIÈRE EN TRIBUNES, TROIS JOURS APRÈS LE DÉRAPAGE DU LATÉRAL SURVENU AU PORTUGAL.

L'état-major olympien est en alerte. Une réunion a eu lieu hier entre plusieurs groupes de supporters (MTP, Fanatics…), dont des éléments sont concernés par l'incident de Guimaraes, et il craint des répercussions sur l'ambiance dans les virages, cet après-midi. Le communiqué de la direction, publié vendredi soir, très critique vis-à-vis des « provocateurs » au sein des associations, a été durement ressenti. De là à provoquer des messages corsés et des craquages de fumigènes ? C'est une possibilité, d'autant que les filtrages à l'entrée du stade semblent plus poreux depuis le début de saison, pour des raisons impossibles à déterminer. « Tout le monde est perdant après Guimaraes, c'est vraiment dommage », explique le patron d'un groupe non concerné par l'envahissement de terrain au Portugal, jeudi, et qui n'a prévu aucune banderole pour la rencontre d'aujourd'hui.

Jacques-Henri Eyraud, le président olympien, devait lui s'envoler hier pour la Floride, en compagnie de Jean-Claude Gaudin, le maire de Marseille (LR), de l'adjoint en charge des finances Roland Blum, du président de la chambre de commerce Jean-Luc Chauvin et d'un contingent de chefs d'entreprise locaux. Ils seront rejoints en cours de séjour par le propriétaire de l'OM, Frank McCourt, passablement agacé par les débordements de jeudi, un mois et demi après des banderoles cinglantes à son encontre au Vélodrome (OM - Konyaspor : 1-0, le 14 septembre). Eyraud, chargé de préparer une « fan expérience » de qualité, joue serré. Concernant Évra, il pourrait préparer, avec discrétion, une résiliation à l'amiable comme il l'a fait sur des dossiers différents mais tout aussi médiatiques (Franck Passi, Lassana Diarra).

L'équipe

C'est les montagnes russes ce club. Comment on passe d'un OM Paris à l'ambiance extraordinaire et au contenu positif suivi d'une victoire à Lille poussive à un OM Caen qui s'annonce explosif.

pourquoi a l'amiable ? le mec a nuit a l'image du club dans l'exercice de son travail, y a pas plus caracterise comme faute grave. aucun cadeau.

Le meilleur public de France ( ) va encore frapper...

Quand je vois sur Twitter les réactions des uns et des autres, je me dis que ça sent vraiment pas bon cette histoire. Certains supporters se donnent une légitimité qu'ils n'ont pas. Pour ceux qui vivent sur Marseille, ça donne quoi auprès des "vrais gens"? Eyraud aura t il des soutiens pour son opération grand ménage (Après un match au Portugal c'est cocace )?

C'est les montagnes russes ce club. Comment on passe d'un OM Paris à l'ambiance extraordinaire et au contenu positif suivi d'une victoire à Lille poussive à un OM Caen qui s'annonce explosif.

Alors que si on les avais encouragé à tabasser Evra parce qu’ils ont payés leur place, on aurait vécu une superbe ambiance encore cet aprem.

Ça fait 6-7 ans que ce stade n’a plus rien d’impressionnant et ces morbacks mafieux capitalisent sur ce qu’etait le velodrome jadis. Qu’ils crèvent tous, de Tonini a Cataldo en passant par Zeroual. Ces mecs tuent l’OM.

depuis OM-Bayern je n'ai plus aucune consideration pour ces raclures, je pense que cet apres midi ca va etre gerbant

J’ai peur que certains sabotent le match et pourrissent la fin de saison. À mon avis ils en rangent de l’aspect sportif, l’OM pour euxc’est Un moyen de revendiquer leur cause/identité