Valbuena, bouc émissaire.
Sa relance croisée est contrée. Au bûcher ! Pour le reste, une superbe frappe sur la barre (donc un tir non cadré comme dirait Gob), une belle entente en première mi-temps avec Lucho, une grosse activité, des gestes réussis. Mais bon, il est nul. La preuve : il fait la même taille que Koenigs.
Mandanda a été bon. J'espère ne plus relire dans l'immédiat les équations Mandanda = [1 tir cadré = 1 but].
Lucho a distribué des quantités de ballon pendant une heure, en a perdu pas mal, aussi, et a gâché une belle occasion, comme trop souvent. Comme Valbuena, il est peut-être irritant, mais il est indispensable dans cette équipe.
Gignac très bon ? Ah oui, il marque. Et un joli but, d'ailleurs. Janot est à deux doigts de la sortir, mais c'est un beau geste d'attaquant. A part son but, on a plutôt retrouvé le Gignac peezien, genre le gars qui tire comme une mule dans un angle fermé au lieu de se demander s'il n'y aurait pas des fois une autre solution.
La leçon du match reste l'importance cruciale de l'avant-dernière passe...
"La société de surconsommation, fruit d'un capitalisme dérégulé, relève d'une logique compulsionnelle dénuée de réflexion, qui croit que le maximum est l'optimum et l'addiction, la plénitude." Cynthia Fleury