Betsamee a écrit:a la 4eme journee le nombre de points est anecdotique pour moi, le principal c'est la qualité de jeu et ce soir on a retrouve l'équipe de la fin de saison, on va refaire mal
La dernière partie me semble assez anticipée car l'équipe manque encore un peu partout d'automatismes, en défense comme en attaque, mais je suis d'accord avec la première partie. On sent déjà une nette évolution depuis les deux premiers matchs et comme, en plus, on a la chance que les favoris aient aussi patiné, la soirée rend optimiste.
Quelques remarques.
Si M'Bia est parti consulter un marabout relativement aux Bordeaux-OM, j'espère qu'il ne l'a pas payé. Parce que ça fait quand même au moins 3 fois de suite qu'on doit gagner là-bas et qu'on ramène un point.
Ayew est meilleur de match en match ; Rémy fait un vrai bon match, en particulier au début. On gagne au change par rapport à Koné - il a les mêmes qualités, plus les autres.
Brandao est aussi indispensable par sa présence physique et sa combattivité qu'insupportable par sa technique. Gignac n'est pas au point du tout ; il ne sait pas quoi faire du ballon. Faudra beaucoup bosser la mise en place à l'entraînement devant...
Valbuena a peut-être bien mangé son pain blanc.
Mandanda donne l'impression d'avoir sorti un bon match, sauf qu'il n'a finalement presque rien eu à faire, sauf ses (bonnes) sorties aériennes ; je m'associe ici à la remarque de JPP.
Faudrait peut-être songer à fixer une ligne défensive (je sais qu'il y a des blessés). Ca manquait un peu d'automatismes entre Azpilicueta et Hilton, m'a-t-il semblé.
Chapron s'est beaucoup planté... Deux pénos flagrants oubliés (un de chaque côté) ; le rouge n'est pas en soi une ineptie, sauf qu'il ne correspond pas à la jurisprudence. Des fautes bordelaises non sifflées sur les attaquants en bonne position.
On sera probablement assez loin devant Bordeaux en fin de saison.
"La société de surconsommation, fruit d'un capitalisme dérégulé, relève d'une logique compulsionnelle dénuée de réflexion, qui croit que le maximum est l'optimum et l'addiction, la plénitude." Cynthia Fleury