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Exemplaire depuis le début de sa carrière, Fabrice Abriel (Photo Presse-Sports) a toujours fait preuve de patience et de combativité pour gagner sa place. Et comme l'an passé, le milieu de terrain de l'OM, «menacé» cette fois-ci par Andre Ayew, va devoir batailler à nouveau pour ne pas cirer le banc. Chose qui ne lui fait pas peur. Le Marseillais connaît d'ailleurs bien la chanson. Les nombreux matches à disputer cette saison lui donneront encore du temps de jeu, c'est certain. Mais pour le moment, ce n'est pas sa situation personnelle qui le préoccupe, mais plutôt celle du groupe.
Battu lors de la première journée de Ligue 1 par Caen (1-2), l'OM est pointé du doigt en ce début de Championnat. «Nous ne sommes pas du tout concentrés sur notre saison . Il faut dire qu'ils fabulent tous sur les transferts ! Qui vient ? Qui ne vient pas ? Qui part ? Qui ne part pas ? ... ça n'arrête pas, nous lance Abriel. On ne sait même pas si des joueurs comme Niang, Ben Arfa ou encore Samassa seront encore là en fin de semaine. Nous n'avons vraiment pas la tête au jeu , mais j'espère qu'on va rapidement s'y remettre».
«On se perd dans les hypothèses»
L'ambiance en coulisses est loin d'être harmonieuse, et la confiance en prend un coup. Sauf pour Abriel. «Nous n'avons pas le choix : nous devons nous reprendre. Mais pour ça, il faudra attendre la fin du marché des transferts. Après, tout rentrera dans l'ordre. Et à l'approche de la Ligue des champions, on sera beaucoup plus vigilants qu'aujourd'hui». Pour le moment, «on se perd dans des hypothèses. Les dirigeants ont peut être mal géré la situation nous avoue-t-il. Mais c'est le marché qui veut ça. Certains joueurs avaient leur bon de sortie mais n'ont eu des propositions que tardivement. Du coup, le club ne veut plus les laisser partir. C'est comme ça».
Battu lors de la première journée de Ligue 1 par Caen (1-2), l'OM est pointé du doigt en ce début de Championnat. «Nous ne sommes pas du tout concentrés sur notre saison . Il faut dire qu'ils fabulent tous sur les transferts ! Qui vient ? Qui ne vient pas ? Qui part ? Qui ne part pas ? ... ça n'arrête pas, nous lance Abriel. On ne sait même pas si des joueurs comme Niang, Ben Arfa ou encore Samassa seront encore là en fin de semaine. Nous n'avons vraiment pas la tête au jeu , mais j'espère qu'on va rapidement s'y remettre».
«On se perd dans les hypothèses»
L'ambiance en coulisses est loin d'être harmonieuse, et la confiance en prend un coup. Sauf pour Abriel. «Nous n'avons pas le choix : nous devons nous reprendre. Mais pour ça, il faudra attendre la fin du marché des transferts. Après, tout rentrera dans l'ordre. Et à l'approche de la Ligue des champions, on sera beaucoup plus vigilants qu'aujourd'hui». Pour le moment, «on se perd dans des hypothèses. Les dirigeants ont peut être mal géré la situation nous avoue-t-il. Mais c'est le marché qui veut ça. Certains joueurs avaient leur bon de sortie mais n'ont eu des propositions que tardivement. Du coup, le club ne veut plus les laisser partir. C'est comme ça».
http://www.francefootball.fr/FF/breves2 ... -tous.html
Ca a l'air sérieux quand meme