Franchement je ne m'aviserai pas de relever l'attaque. je trouve qu'à certains moment le parler et la volonté de vouloir englober des mots pr expliquer des sentiments dénote parfois moins d'une volonté de transmettre qu'un narcissisme prononcé. Autant que celui de vouloir signer un post tel un pseudo-journaliste accompli..voir d'adopter un style d'écriture volontairement académique..
Comme si il s'agissait de devoir démarquer sa personne par un vocubulaire léché qui au final n'a de sens que pr son propre égo autant parler à son miroir pr être plus en phase. Une vision surfaite de soi pr être en adéquation avec ses frustrations personnelles.
Il existe certaines émotions qui ne s'expliquent pas mais s'exprime comme une communion et un désir de partage et non comme un désir amputé d'une quelconque prise de plaisir digne d'une frustration sexuelle longue d'une dizaine d'années.
"Mais il est vrai que certains essai laissent à penser que nous vivons dans une société castractrice ( une vision intéressante sur le sujet je trouve
http://philo-et-nutella.skyrock.com/711 ... trice.html).
Mais tu laisse à penser que l'auto-castration serait plus dû à une volonté propre de l'homme qu'un fait de la société.."
L'acquisition d'un titre de champions de France après 17 ans de disette en est une. çà ne s'explique pas çà se vit et se partage par des émotions pas par rendu écrit. Le partage d'émotion est alors vif , court et sujet à l'emportement..
(et les messages émis autant que reçus en sont réduit à l'état de l'appréciation de stimulis..Néanmoins le fait de vouloir se démarquer peut expliquer un comportement asocial que je trouve éxagéré. L'asocial étant est terme inexistant à la base. l'individu ne né pas dans la société se couper d'un organe qui n'est pas de soi ne peut en rien déterminer une quelconque preuve d'intégration..l'ntégration dans mon opinion personnelle est intrasèque à l'individu et peut se résumer par l'acceptation de soi..
Mais ainsi le refus de partage de stimulis brut est une négation de soi..car il est à la base même de l'individu..en l'occurence le refus d'accepter et d'émettre des stimulis de tels sorte est une preuve de manque d'integration et d'un comportement déviant..(enfin c'est un opinion personnelle..complètement théorique))
Actuellement le ressenti prime avant le recul et la reflexion et je trouve celà proprement idiot de reflechir avant d'avoir fêter un titre correctement. Tant qu'il ne sera pas honoré comme il se doit toute reflexion posée
est présomptueuse aussi bien qu'absurde car ds les esprits le titre aussi bien que ds les faits n'est pas encore notre avant le 16 mai. Celà convient au sens de désacralisation de l'objet..du but.
Mtnt ta double remarque sur ma personne ainsi que la tentative déplorable de pointe d'humour est je trouve déplacée autant que le manque d'égard que tu as eu sur ma personne à la base. Reduire le titre a une émotion est-il réducteur ? Ou bien prendre le recul sur un titre à peine gagné ne l'est-il pas encore plus ? Le fait de faire un raccourci entre ma réponse simpliste et un esprit simple n'est-il pas là marque d'irrespect et d'arrogance totale ? voir d'un esprit reducteur ?
Je te laisse y réflechir.
D'ailleurs j'aime bcp ta signature (GG) elle me fait penser à une émission qui passe sur RMC durant la journée (et que je n'ai jamais écouté) mais dont le titre te correspond bien.
Celà est de mesure je trouve.