Je viens de voir un extrait de la conf de presse de Caïazzo, où il pleure en mémoire de son père disparu il y a deux ans des suites d'une longue maladie, pendant laquelle chaque victoire des verts lui apportait un peu de joie.
Bon, ça remettra pas la joie aux supporters stéphanois, et le dédouane pas de ses propres responsabilités, mais c'était poignant.