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Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

02 Mai 2011, 20:03

Betsamee, j ai posté ca au même moment :lol:

viewtopic.php?f=1&t=27634&p=2631701#p2631697

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

02 Mai 2011, 20:05

Betsamee, collector

et rustu à la fin (si c'est bien lui) :mrgreen:
Modifié en dernier par sonny le 02 Mai 2011, 20:07, modifié 1 fois.

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

02 Mai 2011, 20:05

:mrgreen:

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

03 Mai 2011, 03:54

Collector aussi la sortie de Mandanda ce week end contre capitaine Cook. :ptdr:

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

03 Mai 2011, 06:59

A force de mater les exploits d'Apoula, voilà ski finit par arriver aussi... :?

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

03 Mai 2011, 09:01

Il parait que le surnom d'Apoula, c'est Edel Hasard.

Sinon, Kombouaré a prolongé, Paris ne sera pas champion l'année prochaine encore' :fier:

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

03 Mai 2011, 09:02

boodream a écrit:Il parait que le surnom d'Apoula, c'est Edel Hasard.

Sinon, Kombouaré a prolongé, Paris ne sera pas champion l'année prochaine encore' :fier:


Kombouaré c'est pas le type qui avait dit la semaine dernière que le club avait gelé toutes les négociations concernant les prolongations de contrat car la fin du championnat primait ?

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

03 Mai 2011, 09:59

Interview interessant de Grégory Coupet: j'ai fait le tri un peu.

Sa dernière année à Lyon, Domenech, Barthez et son transfert avorté à l'OM.

Information
« Je ne changerai ces trois années pour rien au monde... Ma dernière saison à Lyon (2007/2008), il fallait faire le doubler pour la sauver ! Il faut se rendre compte... on était “juste” champion et ça ne suffisait plus. Au retour du match du sacre, il n’y avait personne sur le tarmac de l’aéroport pour nous accueillir. J’ai réalisé qu’il ne se passait plus rien ! Quand j’ai fait part de mon étonnement en quittant Lyon, les gens n’ont pas compris, mais maintenant, après deux ou trois saisons sans titre, ils commencent à comprendre. »

Autre dossier chaud : l’équipe de France. S’il peut se réjouir d’avoir obtenu une médaille de finaliste du Mondial 2006 sous les ordres de Raymond Domenech, Coupet ne garde pas un excellent souvenir de l’ancien sélectionneur des Bleus. « C’est vraiment un coach avec lequel je n’ai pas eu de feeling. Je n’ai jamais compris son mode de fonctionnement. Je pense qu’il est joueur avec les médias, comme avec ses joueurs. Je ne suis pas fan de ça. Je n’ai pas compris son humour, peut-être. Ça me touche toujours autant d’en parler, mais je suis passé à autre chose. » Et que dire de l’épisode qui a précédé l’arrivée des Bleus en Allemagne ?

Considéré comme le meilleur gardien de Ligue 1, Coupet doit céder sa place de nº 1 à Fabien Barthez, un partenaire qui avait d’ailleurs provoqué la célèbre scène du vrai faux départ du premier cité. « On fait l’ascension (du glacier de la Grande-Motte), on part au petit matin dans le brouillard complet, c’était l’aventure quoi ! Tu arrives au sommet et tu apprends que Fabien n’a pas fait vingt minutes. A priori, il avait eu un problème à un mollet. On devait tous redescendre ensuite au resto d’altitude pour y rejoindre nos femmes. Quand nos femmes arrivent au resto, pas de Fabien. Je me dis qu’il fait encore son truc à part... Et j’ai mal digéré ça. En fait, j’ai pété un câble. J’étais irrattrapable. C’est le truc qui m’a fait dégoupiller complet, mais alors complet ! (…) Aujourd’hui, je regrette finalement de ne pas être vraiment parti, parce que c’était devenu n’importe quoi. C’était invivable ! (…) Mais je n’ai rien contre lui, je n’en veux pas à Fabien. »

À l’heure de raccrocher les crampons, Coupet évoque maintenant les regrets de sa carrière. Et chose étonnante, alors qu’il a récemment avoué avoir bluffé un transfert à l’Olympique de Marseille afin d’obtenir une revalorisation salariale alors qu’il était toujours à l’OL, entre Coupet et l’OM l’histoire d’amour aurait peut-être réellement pu se produire. « Non, il y a juste un truc qui m’aurait bien fait délirer, c’est aller à Marseille. Vous imaginez la carte de visite : Sainté, Lyon, Paris et Marseille ! Je dis ça parce que Marseille m’avait contacté avant le PSG. Mais je pense que l’atmosphère à Paris me correspond davantage. À Marseille, c’est trop extraverti. Mais bon, franchement, je suis très heureux de ce que j’ai fait et vécu. »

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

03 Mai 2011, 10:09

Coupet à la place d'Andrade l'an prochain, je prends 1000 fois.

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

06 Mai 2011, 23:21

Ouep, c'est vrai qu'il rend de bons services et qu'il reste un pro avant tout...

Bien...Demain rendez vous monacal. :mrgreen:
Ruffier ne fera pas le match de sa vie contre nous.Première bonne nouvelle.Park absent aussi... =P~
En gros, huit absences pour nous affronter...Attention au welcome de bienvenue. :mrgreen:

Va pas falloir se rater car très franchement, ils sont vraiment prenables. :taiwo:

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

06 Mai 2011, 23:26

Angus a écrit:Ouep, c'est vrai qu'il rend de bons services et qu'il reste un pro avant tout...

Bien...Demain rendez vous monacal. :mrgreen:
Ruffier ne fera pas le match de sa vie contre nous.Première bonne nouvelle.Park absent aussi... =P~
En gros, huit absences pour nous affronter...Attention au welcome de bienvenue. :mrgreen:

Va pas falloir se rater car très franchement, ils sont vraiment prenables. :taiwo:


et même plus que ca

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

06 Mai 2011, 23:28

Ouep...Méfiance tout de même.On a dominé en profondeur cette équipe au parc mais résultat des courses, au final, c'est nous qui avons eu mal au cul. :mrgreen:

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

07 Mai 2011, 20:58

Match de parité finalement...1 partout.
Première mi-temps à chier, on encaisse un but à chier aussi. :mrgreen:
La deuxième sera très nettement à notre avantage avec le sosie de Ruffier dans les cages qui retardera l'échéance. :evil:
Malgré tout, il ne pourra rien sur le joli but de Erding.On repart donc de Monaco avec peut être un bon point.

Réponse demain soir. redaface2
Au fait, les Lilliesques mènent au score à la mi-temps. :mrgreen:

Lille a gagné, vous savez ce qu'il vous reste à faire... :hehe:

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

08 Mai 2011, 14:22

Angus, j'ai jamais autant espéré que le PSG aille en LDC, mais comme on est fair play on essaiera de vous maintenir à la troisième place ce soir

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

08 Mai 2011, 22:11

Raté... :mrgreen:

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

08 Mai 2011, 22:23

Angus, ouais, pas de LDC pour vous cette saison :cry:

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

08 Mai 2011, 22:27

Pas encore terminé même si cela va être compliqué...Mais Lisandro est out pour le reste de la saison... 8)
En revanche pour vous, clair que cette défaite est sans doute le tournant pour le titre...

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

08 Mai 2011, 22:34

Angus, bah y'a pas photo, maintenant on essaie de garder la deuxieme place

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

10 Mai 2011, 05:04

Information
Le PSG va changer d’ère

La vente du club parisien à un fonds du Qatar est en passe d’être finalisée autour de 50 M€. Robin Leproux en restera le président.

CETTE FOIS, ÇA BRÛLE. Et le scénario semble désormais écrit : à la fin de l’actuelle saison, le PSG va accueillir un nouvel actionnaire, qui obtiendra la pleine propriété du club dans un délai d’un an. Sauf si l’affaire devait capoter au dernier moment, comme en 2006, Qatar Investment Authority (QIA) prendra dès cet été les clés d’un PSG détenu jusqu’à présent par Colony Capital (95,8%) et Butler Capital Partners (4,2%). Pour le club parisien, la transition va s’opérer entre une stabilité nécessaire et l’espoir immense d’un changement de dimension.

UN DOSSIER

PRESQUE BOUCLÉ

C’est une histoire où le froid a souvent succédé au chaud. Entamées au printemps 2010, réactivées en fin d’année dernière (L’Équipe des 4 août et 18 décembre), les discussions entre Sébastien Bazin, le patron de Colony Capital Europe, et les représentants de QIA ont pris une tournure approfondie depuis quelques semaines. Longtemps en désaccord sur le prix, les deux parties ont fini par trouver un terrain d’entente sur une somme qui avoisine les 50 M€. C’est grosso modo le double du prix (très favorable) qu’avaient obtenu Colony, Butler et Morgan Stanley auprès de Canal +, en avril 2006. Mais moitié moins que ce que ce que Colony Capital espérait récupérer à la sortie, dans son business plan. Moitié moins, aussi, que le total des pertes que le fonds d’investissement basé à Los Angeles aura dû effacer depuis son arrivée à Paris…

Un détail, qui n’en est pas un : pour ce prix, QIA s’offrirait la SASP PSG, soit le club sportif. Or, Colfilm, la holding de Colony qui possède le PSG, coiffe également la SESE, la société d’exploitation du Parc des Princes. Sur ce dossier, Colony reste seul en lice (avec le groupe Vinci) pour obtenir dans un mois le bail emphytéotique du stade pour les quarante prochaines années et y entamer des travaux estimés à 100 M€ qui entraîneront la délocalisation des matches à domicile au Stade de France, en 2012-2013.

L’un des derniers points de discussion concernerait la situation de Fly Emirates, sponsor du PSG jusqu’en 2014 pour 3,5 M€. L’enjeu est d’indemniser la compagnie aérienne des Emirats Arabes Unis afin qu’elle n’apparaisse plus sur les maillots parisiens la saison prochaine. Mais plus que sur ses aspects financiers, l’affaire est en passe d’aboutir parce qu’elle mêle un propriétaire actuel dans l’incapacité de réinvestir et un acquéreur probable qui a su oublier les contrariétés de 2006, quand il avait senti des freins politiques à son entrée éventuelle dans le capital du PSG.

Colony vend parce qu’il n’a plus le choix. « Il faut agir très vite », souffle un expert des coulisses parisiennes. Cet hiver, Tom Barrack, le big boss, a fixé à Bazin une échéance à court terme pour concrétiser le processus. Ces dernières semaines, Bazin a continué de piloter seul le dossier et n’a jamais confié de mandat de négociation à une banque d’affaires. Homme d’affaires intuitif et persévérant, il est en passe d’en finir avec ce dossier, même si Colony restera a priori dans l’actionnariat du club jusqu’en 2012. Pour lui, il y a urgence à se délester du PSG, ce club dont il va devoir rembourser plus de 15 M€ de dettes en fin de saison (dont la dernière traite à verser… à Canal +), mais aussi 19 M€ de pertes attendues au 30 juin. Même une troisième place en Championnat ne pourrait vraiment égayer le tableau : la manne minimale de 15 M€ de la Ligue des champions dépendrait de la capacité du PSG à passer le tour préliminaire, en août, et ne peut être intégrée avec certitudes dans les comptes.

Côté qatari, les réticences ont été progressivement levées. Fonds souverain du Qatar détenu par le Cheikh Tamim Bin Hamad Al-Thani, prince héritier de l’émirat, QIA est considéré dans le monde des affaires comme un interlocuteur puissant, sérieux et ambitieux. Snobés en 2006, les fonds du Golfe sont aujourd’hui dragués au plus haut niveau de l’État français. Proche de Bazin, Nicolas Sarkozy a déjà eu l’occasion de lui glisser tout le bien qu’il pensait de ces partenaires présents dans nombre de grandes entreprises occidentales, notamment à travers des filiales comme Qatar Holding et Qatari Diar, qu’on devrait retrouver dans le capital du futur PSG. L’été dernier, Colony et Qatar Holding ont d’ailleurs travaillé de concert sur le rachat de Miramax, l’un des géants d’Hollywood.

On ignore encore le détail de son projet pour le PSG, mais on sait déjà que, sur le papier, QIA pèse très lourd : plus de 50 milliards d’euros d’actifs, acquis grâce aux ressources du pays en hydrocarbures. En se penchant sur le PSG, cet investisseur est allé au-delà des préjugés négatifs qui pèsent sur les clubs français aux yeux des investisseurs étrangers. Au-delà du poids jugé excessif des collectivités publiques dans l’environnement des clubs – le Parc, notamment, appartient à 100 % à la mairie de Paris – et d’un contexte d’investissements moins libéral qu’en Angleterre ou en Espagne. Au niveau des principaux décideurs qataris, il y aurait même eu des dissensions sur l’intérêt d’acheter ou non le PSG. Mais les arguments positifs semblent avoir pris le dessus. Acquérir le PSG, c’est acquérir le club mondialement connu d’une capitale prestigieuse. C’est s’offrir une vitrine de luxe pour accompagner la montée en puissance du Qatar jusqu’à la Coupe du monde 2022, dont il sera l’hôte. Car QIA s’est rapproché du PSG avec l’idée de s’y investir pour dix à quinze ans au minimum.

UN MANAGEMENT STABLE,

UN RECRUTEMENT GALACTIQUE ?

C’est un point qui ne souffre visiblement aucune ambiguïté. Plusieurs proches du dossier l’affirment : « Après la vente, Robin Leproux restera le président du PSG. Il n’y aura aucune déstabilisation des gens en place. » Robin Leproux, qui refuse de s’exprimer sur le sujet, n’a aucune intention de se séparer d’Antoine Kombouaré. Aucun bouleversement, donc, à attendre au niveau du management du club.

Pour les futurs propriétaires, maintenir Leproux apparaît comme le choix le plus rationnel. Dans le milieu du football, son travail depuis deux ans est salué comme une grande réussite. Parce qu’il a accompagné le renouveau sportif du PSG. Et surtout parce qu’il est en passe d’avoir enrayé le fléau de la violence autour du club, responsable de deux morts en l’espace de trois ans. Ce combat n’est pas complètement gagné et maintenir Leproux, pour les nouveaux propriétaires, est aussi un signal lancé en ce sens.

Ce qui peut le plus changer, à court terme, dans le fonctionnement quotidien du PSG, c’est sa puissance sur le marché des transferts. À ce jour, l’impact exact reste impossible à mesurer. Mais le chiffre de 150 M€ investis sur les trois prochaines années se murmure parfois. L’arrivée des Qataris à Paris semble en tout cas riche de promesses. Quinze ans après sa victoire en Coupe des Coupes, le club de la capitale est sur le point d’emprunter un chemin qui, à terme, pourrait le mener très haut. Au pays des grands d’Europe.

JÉRÔME TOUBOUL - L'equipe

Re: [Topic Unique] PSG 10-11: année de transition n+2 ?

10 Mai 2011, 06:29

:ptdr: :ptdr: :ptdr:

désolé mais a chaque fois que je lis un article d'un journaleux en train de fantasmer ouvertement, de se faire le film par avance je ne peux m'empecher d'avoir cette reaction...je me souviens encore de l'epoque Kachkar, juste avant on annoncait un émir Qatari comme repreneur de l'OM et les médias voyaient ça d'un tres mauvais oeil, à coup de "mais comment peut on envisager que de l'argent obscur reprenne un club français?" et blablabla et blablabla...là c'est le PSG (dont d'ailleurs Touboul est ouvertement supporter), du coup on fantasme et on ne voit que du bénéfique à terme...sans déconner ces gars là, qui se prétendent journalistes, ils me font penser à un gamin de 12 ans à qui on demanderait son avis sur le recrutement à venir de son club préféré...vive le journalisme sportif français...
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