Comme une belle soirée au ciel dégager chaque mouvement est visible c’est le doigt pointé vers le ciel qu’on observe avec assiduité l’activité fluctuante d’une étoile nommé Sessegnon.
Personne ne sait à ce jour si c'est Blaise Matuidi ou Alain Perrin qui prend plaisir à regarder les mouvements des astres de la galaxie PSG. Toujours est il que l'un d'entre eux avait remarqué une certaines instabilité de la constellation du numéro 10 et plus particulièrement de l'étoile Sessegnon. Un soir de Février 2009, il n'a pas fallu envoyer l'équipe de forage de Bruce Willis pour faire dévier la lumière béninoise de son orbite. Juste quelque petit coup bien senti à répétition jusqu'à trouver le point de rupture, auront suffit pour perturber l'équilibre du système Planétaire parisien. Nous ne fêtions pas ce jour là une commémoration pour des anciens combattants qui aurait pu expliquer cette mort au devoir du petit soldat Blaise. Non! Nous étions le jour de la Saint Valentin. Et d'ailleurs le Stéphanois a du subitement s'en souvenir car après la première réaction de sa victime désigné du jour, il s'est roulé sur le pré de la porte de Saint Cloud comme il a surement dû le faire pour convaincre son premier amour de l'accompagner au Mac Do pour un tête à tête alors que son physique était encore disgracieux. Vilain.
Oui mais voilà. Pour notre Stéphane, déjà écorché plus tôt dans la même saison pour une banale tentative de conduite en se versant un verre de punch, cela allait devenir un réel problème. Le voilà cataloguer à l'unisson comme étant une masse gazeuse instable. Et c'est tout le monde qui se passe le mot. De son voisin de pallier qui désormais regarde à droite et à gauche avant de sortir ses poubelles de peur de voir ce hooligan du rectangle vert lui fondre dessus pour non triage d'ordure, à la commission de discipline qui ne supporte pas de le voir garder l’équilibre avec des cuisses pareilles. Jaloux.
Depuis, les 90 minutes se font rare sans que nous (supporters parisien) ayons ce sentiment étrange que notre petite étoile se fasse gentillment titillé par la partie adverse sans aucune protection franche du corps arbitral.
De son côté, avant que la Seine ne se transforme en Tamise, et qu’il puisse être acteur prépondérant des innombrables derbys Londonien il va falloir que Sess’ éclaire un peu plus les nuits parisiennes. C’est le prix à payer de la classe. D’une façon générale nous sommes loin d’être rassasié de son éblouissement et les yeux rivés vers notre ciel étoilé, il nous arrive un peu trop souvent d’avoir du mal à distinguer le scintillement du petit génie africain. Conscient que la constellé peut être un spectacle magnifique pour le récepteur oculaire, nous en attendons globalement plus de cette objet de convoitise largement capable de s’inscrire à jamais dans le livre d’histoire du fanatique rouge et bleu (pas bleu ciel délavé . Du vrai bleu !!)
A Monaco Stéphane l’Astre du Bénin est entré en ébullition. La frustration du résultat et probablement celle des multiples fautes subies pas assez sanctionné. L’équilibre planétaire est ainsi fait. Il doit l’assumer car du côté du Forez, on a fortement contribué à lui faire une réputation pour le moins houleuse. Coût de l’opération. Deux nuits d’observation fermes sans aucune possibilité de le voir briller.
Entre Boulogne et Auteuil, on pouvait commencer s’interroger sur la mise en avant d’une de nos plus belle merveille et les capacités de la Galaxie PSG à exister sans elle. D’autant plus que la presse spécialisée s’applique à faire passer le Parc comme un stade dans lequel il fait désormais bon vivre en tant que visiteur (concours de pêche, tournoi de ping-pong, Karaoké et danse Akka pour les initiés)
Nous avons eu face au clan Aulas la plus belle des réponses. La ville lumière, ce n’est plus quelque loupiote dans une pâle voie lactée. Aujourd’hui il semblerait que nous soyons face à des constellations homogènes réunis autour d’une Belle étoile du Berger que l’on aperçoit très bien depuis la Nouvelle Calédonie. Oui les étoiles n’étaient pas Rhodanienne (en toute objectivité et lucidité : par conséquent contraire à l’avis, l’appréciation et aux commentaires du journal essuie tout l’Equipe) en ce dimanche et c’est tout le PARC qui a brillé. Sans avoir la tête dans les nuages en cherchant désespérément la constellée du bénin.
Oui Stéphane. Paris vis aussi sans toi mais veut aussi et surtout vivre avec toi.
Ne déçois pas et attention à ne pas rejoindre les étoiles filantes déjà bien nombreuses dans la galaxie PSG.
Mtr GEORGE