peezee a écrit:320cds, j'ai qd mm l'impression que Gerets veut pas laisser à Mars l'impression d'être un "mercenaire" qui placerait le fric avant le coeur. Y'a qu'à lire toutes ses itws où il parle de "tout l'amour donné par les supporters, par les gens à Marseille", et aussi quand il répond "ça fait peur" quand on lui parle de l'engouements des supps à son égard et le fait que 55.000 supps ont scandé son nom au Vél'... (alors qu'il avait déjà pris la décision de partir, je rappelle).
Du coup en repensant à tout ça on se dit que le gars devait qd mm se sentir bien mal à l'aise dans sa ford intérieure©, le journaliste lui parle de l'amour du peuple marseillais alors que Gerets a déjà signé pour le Qatar (ou va savoir où) et du coup y'a comme un malaise qui se passe dans la tronche du coach... Bôf, on verra bien au final, chuis pas certain qu'on saura TOUTE la vérité, mais on va pas tarder à savoir où va atterrir Gerets, ce n'est plus qu'une question de 4-5 semaines...
Ok avec toi sur la volonté de gerets de pas passer pour un mercenaire. Après, pour l'avoir lu ici, je suis pas certain que ce soit l'argent qui l'ait guidé à penser à partir gerets. peut-être tout simplement est-ce qu'il en avait plein le cul de voir comment ca fonctionnait, le système, le milieu marseillais, un actionnaire pas présent, et toutes les choses qu'il faisait pas bon de dire et qu'il pouvait pas exposer à nous autres. D'ailleurs sur ce point, il rejoindrait un peu les fernandez, ribéry, cissé et autres joueurs qui disaient ou laissaient à penser que y'avait des choses autres que le football à l'OM qui étaient en partie à l'origine de leur départ.
Sinon pas sûr qu'à l'heure actuelle gerets ait signé quoi que ce soit, peut-être qu'il a fait valoir son départ sans avoir encore rien de bien sûr dans la tête, tout ca afin de faire monter les enchères et que ca se bouge en haut lieu pour qu'on le garde.
Il a dû être déçu de voir que c'était pas le cas et qu'effectivement comme il l'a dit lui-même, qu'il comprenait qqe part la position de diouf vu qu'il ne pouvait rien (et donc que c'était pas lui le vria patron au passage
).