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Un match à huis clos avec sursis pour le PSG
La commission supérieure d’appel de la FFF, réunie mardi matin, a rendu sa décision hier dans l’affaire des fumigènes du PSG. Le club parisien a été condamné à un match à huis clos avec sursis, « avec possibilité d’un huis clos partiel ». Ce qui signifierait, si ce huis clos devenait effectif, qu’une ou deux tribunes (Auteuil et/ou Boulogne) d’où les jets de fumigènes proviennent seraient fermées. Hier, à 19 h 30, le PSG n’avait reçu aucune notification officielle de la sanction qu’il attendait normalement par fax. Cette décision n’a pas été non plus diffusée sur le site Internet de la FFF, comme la commission l’avait pourtant annoncé. Le club parisien n’a donc pas souhait réagir, mais s’étonne des pratiques de la FFF.
Au départ de cette affaire, les dirigeants parisiens avaient fait appel des 80 000 euros d’amende infligés par la commission de discipline de la Ligue après PSG - Saint-Étienne (2-1, 24e j.), le 14 février dernier.
Cette sanction, sévère, avait été justifiée par une accumulation d’amendes liées aux jets de fumigènes. À l’image de l’OM, qui a été sanctionné pour les mêmes raisons par un match à huis clos ferme jeudi dernier par la commission de discipline, le PSG est déterminé à utiliser tous les recours possibles pour faire annuler cette sanction. La perte pour un match à huis clos s’élèverait à au moins un million d’euros. Depuis le début de la saison, le PSG dont l’action en matière de sécurité est reconnue a été condamné à 400 000 euros d’amendes pour des fumigènes.
Par ailleurs, la commission supérieure d’appel examinera aujourd’hui les appels de Carlos Sanchez (Valenciennes) et Zoumana Camara (Paris-SG).
Y'a pas à dire, ces gros cons se gavent quand même sur l'OM et Paris.
Et si je comprends bien leur délire, ils parlent d'un match qui a eu lieu avant le PSG/OM où le Parc s'est retrouvé embrumé et en feu pendant plus de 10 minutes.
Si on continue à suivre leur logique, ils devraient être automatiquement suspendu incessamment sous peu...
Dans les situations critiques, quand on parle avec un calibre bien en pogne, personne ne conteste plus. Y'a des statistiques là-dessus.