80 000 fanatiques scandant son nom à l'infini chaque dimanche, telle était la normalité pour le demi-dieu du stade San Paolo. «Maradona me fait penser à Marlon Brando ou à d'autres grands acteurs de cinéma. Une fois qu'ils descendent de scène, ils ne savent pas comment vivre. La vie idéale pour Diego, ça aurait été un match dont l'arbitre n'aurait jamais sifflé la fin», analysait Kusturica