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jarlandine a écrit:Bien fait , au suivant, qu' ils y passent tous , ça en calmera d' autres à défaut de leur faire pousser un cerveau
Dinopatou a écrit:La phrase de Renato vient d'ici : http://www.laprovence.com/articles/2009 ... Sports.php
C'est fou la confiance rayonnante que dégage Ronald pour ses coéquipiersInformationC'est devenu plus tendu, quand M'Bami s'est avancé. "Le coach avait désigné les sept premiers ; il restait Renato (Civelli) et Ronald (Zubar). Je n'ai pas voulu leur infliger ça, j'ai pris mes responsabilités. Et comme le gardien partait avant, j'ai attendu et je l'ai mis tranquille, à la Romario," s'esclaffe le Camerounais. "J'étais le suivant, murmure Renato Civelli. Je n'ai jamais tiré un péno de ma vie ; j'avais prévu croisé, en force. Je ne voulais pas laisser Zub..."
"Je me disais que s'il arrivait malheur à Zubi, je le perdais jusqu'à la fin de la saison", tremble encore Éric Gerets. "Je sais, je sais, beaucoup de mes potes avaient peur pour moi. Mais j'étais tranquille, j'y serais allé et je l'aurais mis ; j'en ai déjà marqué..." répond sereinement Ronald Zubar. Qu'il garde son tir victorieux pour la prochaine fois...
randoulou a écrit:"Il y a eu des hauts et des bas, explique-t-il aujourd'hui dans les colonnes du quotidien Ouest-France. A ce niveau-là, il faut de la régularité que je n'ai pas encore. Je suis assez malheureux, mais il faut faire le dos rond. Je sais que je peux faire de bonnes choses, que je ne suis pas là par hasard. Depuis le match contre Lyon, on ne me pardonne plus rien."@la provence
parce qu'après toutes ses boulettes, on doit lui faire des cadeaux ???
onra a écrit:Je pardonnerai à Zubar toutes ces bourdes , le jour où il marquera le but victorieux (pour l'OM évidemment) en finale d'une Coupe.
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