Modérateur: Modérateurs
Spabien a écrit:Oubangui a écrit:ohaime72 a écrit:Pagis
Comment on a pu laisser partir un si bon joueur....
Je te resitue le contexte :
C'est ca l'OM....
Ou tout simplement parce que le joueur voulait se barrer, qu'il supportait pas d'être remplaçant, qu'il tirait une gueule de 100 bornes, et qu'il mettait plus un pied devant l'autre sur un terrain et que les 3/4 des supps de l'OM en pouvait plus de lui !
Puis bon, moi je me rappelle du match de putes qu'il nous a fait l'année dernière !
oukimaya a écrit:1-0 pour Paris.
But Hoarau
Thomasprice113 a écrit:et hop. 1-1.
But à la nancéenne. Sur coup franc quoi ....
guillermo a écrit:A part Sessegnon Paris c'est moche quand meme...
90% de transpiration, 10% d'inspiration
Quand le PSG a le ballon, on peut cataloguer les joueurs en deux catégories. La première se compose de neuf ouvriers spécialisés qui accomplissent des tâches précises. Les deux défenseurs centraux relancent court sur les latéraux et les milieux défensifs; ceux-ci transmettent la balle aux milieux offensifs excentrés, qui se débrouillent pour la passer aux attaquants, à charge pour ces derniers de marquer.
Le dépassement de fonction est aussi rare que le dépassement du milieu de terrain balle au pied par Zoumana Camara. C'est carré comme la mâchoire d'Armand, net comme une passe en retrait à trois mètres de Clément, réfléchi comme le positionnement de Kezman à la retombée d'une déviation de Hoarau.
Et puis, il y a la deuxième catégorie, qui est composée de Stéphane Sessegnon. Sessegnon ne fixe pas ses adversaires, il les dribble. Coincé le long de la ligne de touche, il ne remet pas sagement derrière lui, il tente une roulette-démarrage. Voyant un partenaire démarqué à soixante mètres, il n'en cherche pas un autre dix fois plus près: il le sollicite directement d’une énorme transversale. Alors, évidemment, il y a du déchet dans son jeu, sinon il ne s'appellerait pas Stéphane mais Steven et pas Sessegnon mais Gerrard.
Il fait cependant partie des rares joueurs capables de trouer les doubles rideaux des équipes qui défendent bas et coulissent intelligemment comme le GF38. Cela n'a pas marché samedi, mais l'opiniâtreté et l'inventivité de l'ancien "Requin de l'Atlantique" (du nom de son club au Bénin, avouez que ça tape encore plus que "Aigle des Açores") devraient lui valoir les faveurs longue durée du Parc des Princes. Reste à savoir, maintenant, si son positionnement dans le 4-4-2 gwenien ne bride pas le Béninois, privant l’entrejeu parisien de son indispensable rayonnement, et les attaquants de leur meilleur soutien.
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