Zobi1 a écrit:Kaveen, une empoignade soit mais il a voulu lui foutre une droite, pour moi c'est aussi grave qu'un coup de boule!
intention vs action ça se discute
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Zobi1 a écrit:Kaveen, une empoignade soit mais il a voulu lui foutre une droite, pour moi c'est aussi grave qu'un coup de boule!
Kaveen a écrit:je suis d'accord que souvent, paris, sert de cobaye " simulations de fiorese" tirage de maillot etc...
Mais sur Sessegnon, je suis pas d'accord. le coup de boule n'etait pas certe puissant mais le geste en lui meme etait "fort". Sa n'as rien a faire sur le terrain. tout comme l'altercation entre remy et cerdan.
Pour cana, c'est juste une empoignage, t'en voit a tout les matchs des comme ça.
BadrBoy a écrit:Noter aussi le silence sur la sanction du huis-clos avec sursis pour le PSG, en comparaison avec le traitement médiatique pour la même sanction concernant l'OM...
Betsamee a écrit:Zobi1 a écrit:Kaveen, une empoignade soit mais il a voulu lui foutre une droite, pour moi c'est aussi grave qu'un coup de boule!
intention vs action ça se discute
Angus a écrit:InformationOn critique régulièrement la Ligue et ses sanctions disciplinaires incohérentes. Et on comprend mieux pourquoi après le simple match ferme infligé à Cana et Le Lan, les deux boxeurs en herbe du week-end dernier.
Le même rituel toutes les semaines. Un communiqué de la LFP dans la boite mails de la rédaction et les sanctions de la commission de discipline qui tombent. Une routine. Presque une monotonie. Sauf bien sûr quand le week-end précédent a été animé, comme dimanche dernier par exemple. A Lorient, Arnaud Le Lan et Lorik Cana ont été expulsés après s'être chamaillés comme dans une cour d'école. Deux enfants se disputant le même ballon. S'ils avaient eu dix ans chacun, ils auraient copié quelques lignes pendant la récréation suivante ou goûté aux joies d'une retenue à la fin de la classe. Mais ils sont tous les deux joueurs professionnels de L1. Un statut privilégié. Avec ses droits. Et ses devoirs.
On ne peut donc évidemment pas accepter de voir une telle scène sur une pelouse de football. Alors on s'était préparé à une lourde sanction de la part de la Ligue. Trois matchs pour le défenseur des Merlus et le capitaine phocéen, comme cela fut décidé par le Conseil National de l'Ethique pour le Parisien Stéphane Sessegnon suite à son coup de tête sur un Stéphanois ? Deux matchs comme pour le Caennais Grégory Proment, suspendu par ce même CNE et coupable d'avoir dit tout haut ce qu'il pensait de la prestation du corps arbitral après une défaite à Grenoble ? Ou pourquoi pas une sanction exemplaire, histoire de bien faire comprendre aux amateurs de bourre-pif qu'ils étaient sur une pelouse, pas sur un ring ?
Finalement, rien de tout cela. Un match ferme et un autre avec sursis pour les deux boxeurs en herbe. Autrement dit, le minimum syndical. Si cette décision a dû être accueillie avec soulagement du côté de la Bretagne ou de la Canebière, elle met en exergue toutes les incohérences de cette commission et de ses membres totalement dépassés. Car comment justifier aujourd'hui cet invraisemblable barème ? Comment cautionner des sanctions inégalitaires et des décisions opaques ? Et si l'on doit être absurde, autant l'être jusqu'bout. Pourquoi ne pas conseiller aux joueurs de frapper l'arbitre plutôt que de le critiquer au micro d'un journaliste ? Pourquoi ne pas leur apprendre à l'entraînement à envoyer un bon crochet du droit plutôt qu'un coup de tête ? Car finalement, la commission de discipline aura quand même réussi à nous apprendre quelque chose ce jeudi et à nous sortir de notre habituelle routine : vive la bagarre !
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