MassaliaLive.com

[Kenneth-Brylle]

Caiazzo à l'Om

Déjà fait. Il fut président de l’OM pendant 1 mois en 1995 en faisant l’intérim après le départ de Cangioni.

[Rocca]

cagioni ca doit être un vieux préjugé dégueulasse mais avec un nom comme ça , a cette periode a l'Om ca métonnerait pas que ce mec était au bapteme de Deruda par exemple

[mistral gagnant]

Rocca c'est un journaliste qui a présenté telefoot
mais doit pas connaître parce que ca date

[Mamlouk]

Juninho se lâche carrément

Information

Lyon entame dimanche soir la défense de son titre sur sa pelouse du stade Gerland. Avec un effectif légèrement remanié, et sous la houlette d'un nouvel entraîneur désireux de franchir un nouveau palier, l'OL a toutes les cartes en main pour envisager sereinement la conquête d'un huitième titre. Cependant, Juninho estime que la marge d'écart entre Lyon et ses poursuivants n'est plus aussi importante que par le passé et va même jusqu'à dire que «le favori c'est Bordeaux. Ils ont conservé leur base, une grosse force derrière et se sont bien renforcés».

Dans un entretien accordé au Journal du Dimanche, le Brésilien évoque également l'arrivée de son compatriote Ederson, avec qui il se verrait bien évoluer dans l'entre-jeu des Gones, malgré les similitudes dans leurs profils: «C'est bête de penser qu'on ne peut pas jouer ensemble. En plus il a beaucoup de respect pour moi et c'est mutuel. Ederson est très intelligent. Contrairement à Hatem (Ben Arfa), il écoute, s'intéresse et pose des questions». Juni n'hésite pas à tailler son ancien coéquipier, qu'il compare à un enfant capricieux : «Hatem n'est pas facile. Alors l'entraîneur doit fixer des limites, comme avec les enfants à la maison. Si tu ne mets aucun frein, ils finissent par mener les parents par le bout du nez».

L'international brésilien revient également sur son statut au sein du club et affirme qu'il reste quoi qu'il arrive un joueur indispensable à son équipe : «L'an passé je pensais que c'était le moment de prendre du recul après les déclarations de Sydney (Govou), que je n'ai pas oubliées d'ailleurs car j'ai été décu. J'ai donc laissé le brassard mais Cris s'est blessé. Quand on m'a demandé de reprendre le capitanat, je n'allais pas faire mon gamin. Brassard ou pas, c'est encore moi qui ferai la différence. C'est normal quand on a le talent». Un talent qu'il devra de nouveau démontrer tout au long de la saison. À commencer par dimanche soir face à Toulouse.

[Poulpe]

Y a pas à dire, lui il a bien une mentalité d'enculé.

[sonny]

Brassard ou pas, c'est encore moi qui ferai la différence. C'est normal quand on a le talent

[Baioko]

Non mais il comprend pas qu'il est griller ?

[JPP REVIENS]

Il est grillé, et là dessus, on est tous d'accord.

Mais moi ça me fait plaisir de voir un mec dire ce qu'il pense et être franc putain, ça change des discours de pisse froid timorés qui ne disent jamais ce qu'ils ont derrière la tête. Même si parfois, ils n'ont effectivement rien derrière la tête...

Ca change des classiques "Oui je pense qu'on a fait un bon match, enfin c'est le collectif, même si j'ai mis 3 buts et fait 4 passes décisives, je pense que bon, c'est l'équipe, il faut travailler je pense".

Et puis Juninho, sur ses 8 saisons à Lyon, combien de fois il leur sauve la mise sur un coup franc, une frappe de loin ou un coup de pied arrêté ?

Je trouve qu'il a raison.

[sonny]

en meme temps quand Ben Arfa était encore a l'OL il disait pas un mot.


JPP REVIENS, et combien de ces coups de pieds arretés font suite a un plongeon

[JPP REVIENS]

sonny, moi non plus je ne l'aime pas, tout comme je n'aime pas Lyon, mais ce mec là a été décisif et a marqué l'histoire de son club.

En essayant d'être un minimum objectif, je suis certain que nous nous souviendrons de Fabrizio Ravanelli et de ses plongeons... ça fait partie du jeu, ça s'appelle la roublardise.

[sonny]

quand le jeu d'un mec est basé sur le plongeon, les coups par derrière et autre putasserie, c'est plus de la roublardise.


Ravanelli on s'en souvient en partie pour ses plongeons (tout comme pour un pipo). alors qu'un waddle ou un papin ou un pele o ns'en souvient pas pour leurs coups de pute mais pour leurs talent. et eux n'avaient pas un esprit de merde a la juninho

[Bibpanda]

Surtout je n'aimes pas sa gueule à junhino , je ne lui ai jamais trouvé autre chose que ses coups francs , il n'a jamais réussi à s'imposer autre part qu'a lyon et ses prestations en équipe nationale sont médiocre, et à part la ligue 1 sont palmarès c'est un peu de la merde.
C'est un joueur à l'image de son président.

[El Maestro]

C'est son manque de fair play qui m'enerve parce qu'il faut le reconnaitre, il a été bon et est dans l'histoire de l'OL.

[sonny]

un peu comme Carew qui était le meilleur joueur du championnat norvegien, qui alignait les buts et les titres de champion. mais sorti de la pauvre L1 du nord.....

[ideh]

Juninho est un gros rageux,c'est connu!

[sonny]

et il parle de reaction de gamin d'Hatem.

mais quand govou a balancé sur lui il a été pleurer que govou il était mechant et il a boudé et refusé d'etre capitaine car govou il a été mechant

[Misugi 2 Mars]

Juninho se lâche carrément

Information

Lyon entame dimanche soir la défense de son titre sur sa pelouse du stade Gerland. Avec un effectif légèrement remanié, et sous la houlette d'un nouvel entraîneur désireux de franchir un nouveau palier, l'OL a toutes les cartes en main pour envisager sereinement la conquête d'un huitième titre. Cependant, Juninho estime que la marge d'écart entre Lyon et ses poursuivants n'est plus aussi importante que par le passé et va même jusqu'à dire que «le favori c'est Bordeaux. Ils ont conservé leur base, une grosse force derrière et se sont bien renforcés».

Dans un entretien accordé au Journal du Dimanche, le Brésilien évoque également l'arrivée de son compatriote Ederson, avec qui il se verrait bien évoluer dans l'entre-jeu des Gones, malgré les similitudes dans leurs profils: «C'est bête de penser qu'on ne peut pas jouer ensemble. En plus il a beaucoup de respect pour moi et c'est mutuel. Ederson est très intelligent. Contrairement à Hatem (Ben Arfa), il écoute, s'intéresse et pose des questions». Juni n'hésite pas à tailler son ancien coéquipier, qu'il compare à un enfant capricieux : «Hatem n'est pas facile. Alors l'entraîneur doit fixer des limites, comme avec les enfants à la maison. Si tu ne mets aucun frein, ils finissent par mener les parents par le bout du nez».

L'international brésilien revient également sur son statut au sein du club et affirme qu'il reste quoi qu'il arrive un joueur indispensable à son équipe : «L'an passé je pensais que c'était le moment de prendre du recul après les déclarations de Sydney (Govou), que je n'ai pas oubliées d'ailleurs car j'ai été décu. J'ai donc laissé le brassard mais Cris s'est blessé. Quand on m'a demandé de reprendre le capitanat, je n'allais pas faire mon gamin. Brassard ou pas, c'est encore moi qui ferai la différence. C'est normal quand on a le talent». Un talent qu'il devra de nouveau démontrer tout au long de la saison. À commencer par dimanche soir face à Toulouse.

Cette phrase me fait halluciner

Pour qui il se prend le mec...

[Rocca]

ben Junihno 7 ans a Lyon 7 titres, pleins de buts décisifs ou de passes capitaine, avec coupet il doit etre un des mecs les plus importants de l'Histoire de l'OM , il a marué le championnat de France, ok il se la pet sur le coup mais le mec peut l'ouvrir je crois

[El Maestro]

C'est sur qu'il a marqué notre histoire avec les buts qu'ils nous a mis

Peut etre qu'il sent qu'il est sur la fin et qu'il veut pas être oublié..

[Rocca]

en tout cas sent bien la rage chez certain d'entre vous