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peezee a écrit:Après si Puel se déchire encore l'an prochain Aula$ aura une certaine légitimité à le virer sans pour autant en "tirer les conséquences" pour lui-mm, mais s'il doit le faire dès le mois prochain il en portera la totale et directe responsabilité.
EN CAS DE MALHEUR pour l’OL, ce soir contre Nantes, l’excuse est déjà prête : L’Équipe. Pas celle de l’OL, non, mais le journal, déjà grandement responsable de la défaite à Valenciennes, selon M. Aulas, pour avoir publié un article sur Claude Puel (*) le matin de la rencontre. On préférerait ne pas se mettre ainsi enscène autour dechaque match de Lyon, mais c’était encore le thème du jour, hier à Tola-Vologe, lors de la conférence de presse lyonnaise, organisée trois heures après le retour du stage d’Évian. Il était 16 h 30 lorsque, dans la foulée de Claude Puel et de Jean-Alain Boumsong, Olivier Blanc, le directeur de la communication, ouvrit de façon inédite la séance pour « s’étonner, s’inquiéter et s’interpeller » , aunomdu club, de l’article de L’Équipe du jour, intitulé « Mais où ont-ils la tête ? », dans lequel on évoquait la dizainede joueurs susceptibles de quitter l’OL l’été prochain. Au-delà de son côté « déstabilisant », il est reproché à cet article de « dénaturer » certaines paroles de Jean- Michel Aulas, au sujet de Juninho. La phrase en question est la suivante : « On a tous les yeux de Chimène pour Juni mais sera-t-il pour autant indispensable à l’OL la saison prochaine ? Pas sûr. » Ces propos sont issus d’un entretien d’une heure et quart, dont trois minutes concernent l’avenir de Juninho. Ils sont la contraction du discours présidentiel, qui encensait son capitaine, surtout au passé, tout en s’interrogeant sur son avenir à l’OL. Et, pour aller au bout de nos petites histoires, la direction de la communication du club nous avait laissé un message, mercredi, pour nous remercier de la reproduction fidèle des propos d’Aulas dans l’interview, parue en intégralité, le 5mai. Fidèles hier, dénaturés aujourd’hui…
[...] à Nantes, au match aller, lorsque l’OL avait craqué sur un doublé deKlasnic (2-1, 17e j.) après avoir pourtant mené au score. Perdre à Nantes, ce jour-là, n’était pas un accident pour le leader d’alors, c’était le début de la fin, bientôt suivi d’un 0-0 à domicile contre Marseille. L’OM, ce sera pour dimanche. Avant, il faudra sortir de cette si mauvaise passe à domicile, où le syndrome est réel, où le public gronde, où la victoire se fait si rare, où l’homme du match s’appelle souvent Hugo Lloris, où Benzema ne marque plus, où l’OL, en un mot comme en cent, ne fait plus peur à personne. Des signes d’espoir ? Juninho et Makoun, absents à Valenciennes, sont de retour, et peut-être aussi Govou, que le doute n’habite pas encore. Il y a aussi la faiblesse des Nantais, probablement davantage détruits psychologiquement par le passage des Havrais (1-2) que ne l’étaient les Lyonnais à leur retour de Nungesser (0-2), et dont les ressources semblent tellement inférieures. Enfin, il y a le récent passage dans les rangs de Jean-Michel Aulas, règle en main et coups sur les doigts, susceptible de dresser les joueurs contre l’adversité. En d’autres temps, tout cela aurait suffi pour miser sa paie sur l’OL et condamner Nantes à aller chercher des points ailleurs. En d’autres temps, mais pas cette saison. RÉGIS TESTELIN
Marque déposée depuis 2001, «Qui ne saute pas n'est pas...»
Le quotidien rhône-alpin raconte qu'on entendait les mouches voler chez le commissaire-priseur. La vente s'est arrêtée au bout de cinq minutes, faute de combattants.
marseillais74 a écrit:Le pire, c'est que ce chant existe depuis plusieurs décennies.
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