Modérateur: Modérateurs
Rocca a écrit:Knurt, t'as déja parlé de foot avec Mireille Mathieu?
Knurt a écrit:IceCold a écrit:ruby, je pense bien au contraire qu'un esprit contradictoire sachant aligner plus de 2 phrases consécutives est un besoin fondamental pour un forum.
IceCold, je suis d'accord avec toi que je suis bien plus indispensable sur ce forum qu'un Ruby ou un Sonny, incapables eux , d'aligner des réflexions intelligentes et de parler football. Qu'ils viennent parler arbitrage et ils verront à qui ils ont à faire, sans forfanterie aucune !Je commence à saturer de leurs conneries répétitives. Je sais que je risque à chaque instant le bannissement, ce qui tendrait à prouver l'intolérance de certains, qui n'hésitent pourtant pas dans certains cas, à se revendiquer démocrates.
IceCold a écrit:C'est quoi ça? le mec ne fait rien et se fait arrêter?
Au choix :
-la France fait peur
-les flics à Lyon sont des cons
-cette histoire est du pipeau pour protéger le joueur
IceCold a écrit:C'est quoi ça? le mec ne fait rien et se fait arrêter?
Au choix :
-la France fait peur
-les flics à Lyon sont des cons
-cette histoire est du pipeau pour protéger le joueur
Corrigés à Beaune, puis au Cap d'Ail sur leurs terres, ainsi qu' à Berne en 07/08, peu nombreux sont les gones à faire cas d'une hypothétique venue de la bande de l'OGCN dans les rues de la Capitale des Gaules.
21h: 80 éléments lyonnais se donnent toutefois rendez-vous dans un comptoir non loin situé de la gare de Perrache. La pression monte, polices et BAC locales refont le plein d'essence, les fans locaux sont invités à changer d'établissement sous une pluie battante.
22h: Autre lieu autre ambiance. Dans une ruelle sombre, un inconnu tentant de dissimuler téléphone portable et casquette Burberry vient d'être sauvagement poursuivi. Un peu plus loin plusieurs véhicules immatriculés dans les Alpes Maritimes sont aperçus. L'espoir d'une grande soirée de football vient progressivement à naître! Dans le rade, les gones sont maintenant hors de contrôle.
0h00: 5 éclaireurs lyonnais en route pour les Cordeliers réchauffent une poignée d'individus se réclamant du Hooliganisme Nicois. Au même moment, depuis les terrasses d'un établissement à l'écart, une masse sort en hurlant, courant, chargeant tessons en main. Les Nicois sont là, au nombre de 60, s'invitant par surprise sur les terres d'une bâche perdue depuis longtemps. Le centre ville de Lyon s'apprête à vivre sa première grande soirée de conflits footballistiques entre protagonistes français...Love it! Le groupe local, entre contrôles policiers incessants et informations erronées prend la direction de la Presqu'île dans l'urgence, et non sans perdre quelques éléments au passage!
0h45: Sale temps pour les résidents amateurs de nuits calmes et paisibles, la fureur d'un mob qui patiente depuis 6h traverse les rues du centre, sur fond de sirènes policières tentant de tuer dans l'oeuf les prémices d'un affrontement désormais inéluctable: Lyon-Nice 2008/2009!
01h00: A la vue du groupe Nicois les Lyonnais hurlent et chargent. En face les premières lignes du contingent visiteur entendent faire la plue-value sur leur aventure d'un week-end, mais les éléments de l'arrière se barrent déjà...La haine du samedi soir était dans l'autre camp!
Au front les premiers contacts débutent à peine que la BAC dévide dans les rétines tout ce que les Goliath contiennent en sustances lacrymogènes...Une raffale de coups de flash-balls déchire l'atmosphère. Le groupe lyonnais fait le tour du bloc d'immeubles pour prendre à revers son adversaire. Celui-ci est déjà arrété et sous contrôle policier.
2h00: Pas une rue sans sirènes. Attitude cocasse que celle des fêtards du vendredi soir voyant fans Lyonnais et Nicois se livrer désormais à un vrai jeu du chat et de la souris dans les ruelles du centre. Les groupes se reforment à peine que les abonnés du 17 les font éclater aussitôt! Les Lyonnais écument de fond en comble la Presqu'ile, des petits groupes de visiteurs y sont aperçu à tout moment, règlements de compte et autres tentatives se multiplient sous la pluie!
03h00: 20 indépendants surprennent 10 Nicois (beaucoup plus bavards à Berne) marchant dissimulés par la bienveillance du Palais de la Bourse. Aucune tentative de velléités, livides, les visiteurs prennent la fuite en se réfugiant dans le parking d'un supermarché. Arrestations multiples et fatigue récurrente marqueront la fin d'une veille de match haute en beau-jeu!
04h00: Les insomniaques consacrent la fin de soirée à la recherche d'un hypothétique hôtel au sein duquel siesterait la bande de l'OGCN. A Lyon on peut aussi prendre en charge le réglage du réveil matin, les joueurs Lensois ne vous diront pas le contraire!
Samedi 13 Septembre:
Au programme du jour: 60 Nissarts se planquent quelque part dans Lyon, et il va falloir les trouver vite fait. La motivation des locaux reste extrême, la vigilance au maximum. L'heure du grand rencard approche, et le ciel est de plus en plus dégueux...
10 ultras adverses sont annonçés Place des Jacobains, un groupe d'indépendants lyonnais court à leurs trousses. Peine perdue dans des artères bondées le samedi. D'autres vagabonds suspects sont aperçus dans le quartier de la gare, l'un d'eux en fera les frais, les Nicois sont en train de refaire le coup du regroupement discret. Dans une brasserie jouxtant Perrache cette fois.
40 gones traversent la ville en trombe, et la consigne des plus vieux est ferme: la Police lyonnaise encercle le rade, caméscope vissé sur les yeux, la BSN doit sortir du bar, personne ne touche au matos! Les visiteurs du jour, eux aussi au nombre de 40, refusent catégoriquement de sortir de leur planque! Un gone va à leur rencontre, la réponse est la même. Devant telle opportunité les rouges et bleus prennent tout de même la direction des vitrines du tonneau...mais les Nicois n'en sortent toujours pas! L'homme aux 1000 parapluies franchit finalement le cordon (très joli veste Lyle & Scott!), au bon loisir de se faire gifler par des lyonnais en pleine monté d'aggro. Réaction nicoise: RAS. Pour ce coup la fierté sudiste est visiblement resté sur les bords de la promenade des Anglais!
Matraquage, nouvelle raffale de flashballs, le groupe lyonnais refuse d'abandonner la partie. On nous avait pourtant tellement reproché d'attaquer les Nicois en surnombre...Bizarre! D'autant plus que de retour a Gerland, un autre groupe d'une trentaine d'éléments de l'OGCN déserte violemment ses positions sous la charge d'une trentaine de lyonnais, se réfugiant finalement derrière les boucliers de ceux qu'ils insultent à longueur d'année...Pas grave.
De vendredi à samedi soir, 60 fans Nicois sont montés dans le Rhône, prouvant par la même que nos oppositions pouvaient avoir lieu ailleurs que sur des aires d'autoroutes minables, ou en territoire sudiste. Reste que sur l'ensemble du W-E, le comportement du groupe visiteur n'a jamais vraiment fait étalage d'une envie d'en découdre à décorner un boeuf. Mais au moins, ils étaient là.
INDEPS.
Baioko a écrit:Bon sinon je poste un petit CR de l'avant match Lyon - Nice.Corrigés à Beaune, puis au Cap d'Ail sur leurs terres, ainsi qu' à Berne en 07/08, peu nombreux sont les gones à faire cas d'une hypothétique venue de la bande de l'OGCN dans les rues de la Capitale des Gaules.
21h: 80 éléments lyonnais se donnent toutefois rendez-vous dans un comptoir non loin situé de la gare de Perrache. La pression monte, polices et BAC locales refont le plein d'essence, les fans locaux sont invités à changer d'établissement sous une pluie battante.
22h: Autre lieu autre ambiance. Dans une ruelle sombre, un inconnu tentant de dissimuler téléphone portable et casquette Burberry vient d'être sauvagement poursuivi. Un peu plus loin plusieurs véhicules immatriculés dans les Alpes Maritimes sont aperçus. L'espoir d'une grande soirée de football vient progressivement à naître! Dans le rade, les gones sont maintenant hors de contrôle.
0h00: 5 éclaireurs lyonnais en route pour les Cordeliers réchauffent une poignée d'individus se réclamant du Hooliganisme Nicois. Au même moment, depuis les terrasses d'un établissement à l'écart, une masse sort en hurlant, courant, chargeant tessons en main. Les Nicois sont là, au nombre de 60, s'invitant par surprise sur les terres d'une bâche perdue depuis longtemps. Le centre ville de Lyon s'apprête à vivre sa première grande soirée de conflits footballistiques entre protagonistes français...Love it! Le groupe local, entre contrôles policiers incessants et informations erronées prend la direction de la Presqu'île dans l'urgence, et non sans perdre quelques éléments au passage!
0h45: Sale temps pour les résidents amateurs de nuits calmes et paisibles, la fureur d'un mob qui patiente depuis 6h traverse les rues du centre, sur fond de sirènes policières tentant de tuer dans l'oeuf les prémices d'un affrontement désormais inéluctable: Lyon-Nice 2008/2009!
01h00: A la vue du groupe Nicois les Lyonnais hurlent et chargent. En face les premières lignes du contingent visiteur entendent faire la plue-value sur leur aventure d'un week-end, mais les éléments de l'arrière se barrent déjà...La haine du samedi soir était dans l'autre camp!
Au front les premiers contacts débutent à peine que la BAC dévide dans les rétines tout ce que les Goliath contiennent en sustances lacrymogènes...Une raffale de coups de flash-balls déchire l'atmosphère. Le groupe lyonnais fait le tour du bloc d'immeubles pour prendre à revers son adversaire. Celui-ci est déjà arrété et sous contrôle policier.
2h00: Pas une rue sans sirènes. Attitude cocasse que celle des fêtards du vendredi soir voyant fans Lyonnais et Nicois se livrer désormais à un vrai jeu du chat et de la souris dans les ruelles du centre. Les groupes se reforment à peine que les abonnés du 17 les font éclater aussitôt! Les Lyonnais écument de fond en comble la Presqu'ile, des petits groupes de visiteurs y sont aperçu à tout moment, règlements de compte et autres tentatives se multiplient sous la pluie!
03h00: 20 indépendants surprennent 10 Nicois (beaucoup plus bavards à Berne) marchant dissimulés par la bienveillance du Palais de la Bourse. Aucune tentative de velléités, livides, les visiteurs prennent la fuite en se réfugiant dans le parking d'un supermarché. Arrestations multiples et fatigue récurrente marqueront la fin d'une veille de match haute en beau-jeu!
04h00: Les insomniaques consacrent la fin de soirée à la recherche d'un hypothétique hôtel au sein duquel siesterait la bande de l'OGCN. A Lyon on peut aussi prendre en charge le réglage du réveil matin, les joueurs Lensois ne vous diront pas le contraire!
Samedi 13 Septembre:
Au programme du jour: 60 Nissarts se planquent quelque part dans Lyon, et il va falloir les trouver vite fait. La motivation des locaux reste extrême, la vigilance au maximum. L'heure du grand rencard approche, et le ciel est de plus en plus dégueux...
10 ultras adverses sont annonçés Place des Jacobains, un groupe d'indépendants lyonnais court à leurs trousses. Peine perdue dans des artères bondées le samedi. D'autres vagabonds suspects sont aperçus dans le quartier de la gare, l'un d'eux en fera les frais, les Nicois sont en train de refaire le coup du regroupement discret. Dans une brasserie jouxtant Perrache cette fois.
40 gones traversent la ville en trombe, et la consigne des plus vieux est ferme: la Police lyonnaise encercle le rade, caméscope vissé sur les yeux, la BSN doit sortir du bar, personne ne touche au matos! Les visiteurs du jour, eux aussi au nombre de 40, refusent catégoriquement de sortir de leur planque! Un gone va à leur rencontre, la réponse est la même. Devant telle opportunité les rouges et bleus prennent tout de même la direction des vitrines du tonneau...mais les Nicois n'en sortent toujours pas! L'homme aux 1000 parapluies franchit finalement le cordon (très joli veste Lyle & Scott!), au bon loisir de se faire gifler par des lyonnais en pleine monté d'aggro. Réaction nicoise: RAS. Pour ce coup la fierté sudiste est visiblement resté sur les bords de la promenade des Anglais!
Matraquage, nouvelle raffale de flashballs, le groupe lyonnais refuse d'abandonner la partie. On nous avait pourtant tellement reproché d'attaquer les Nicois en surnombre...Bizarre! D'autant plus que de retour a Gerland, un autre groupe d'une trentaine d'éléments de l'OGCN déserte violemment ses positions sous la charge d'une trentaine de lyonnais, se réfugiant finalement derrière les boucliers de ceux qu'ils insultent à longueur d'année...Pas grave.
De vendredi à samedi soir, 60 fans Nicois sont montés dans le Rhône, prouvant par la même que nos oppositions pouvaient avoir lieu ailleurs que sur des aires d'autoroutes minables, ou en territoire sudiste. Reste que sur l'ensemble du W-E, le comportement du groupe visiteur n'a jamais vraiment fait étalage d'une envie d'en découdre à décorner un boeuf. Mais au moins, ils étaient là.
INDEPS.
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