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stef a écrit:Le bailleur de fonds de l'OM a établi le contact avec son ancien joueur dans le but de lui confier un poste de manager. Précisément, Blanc rêve d'un club « avec un beau projet » pour donner un cours nouveau à sa carrière.
MÊME s'il se fait très discret à Marseille, Robert Louis-Dreyfus, l'actionnaire de l'OM, n'en observe pas moins attentivement la situation de son club. Il lui est ainsi apparu que l'éviction d'Alain Perrin, jusqu'alors seul décisionnaire sur un plan sportif, avait laissé un vide dans ce secteur. Car si les proches collaborateurs du président Bouchet passent pour des gens pointus dans leur domaine propre, ils ne semblent pas encore totalement rompus aux arcanes du monde du football.
Leur mode opératoire pendant le mercato hivernal, où ils ont sollicité de nombreux avis extérieurs sur l'utilité de recruter untel ou untel, a pu déconcerter.
Assurer la liaison entre le sportif et la présidence Ces atermoiements ont fini de convaincre Louis-Dreyfus d'agir. Depuis son arrivée à Marseille, en décembre 1996, l'ancien patron d'Adidas n'a eu de cesse de se référer au Bayern Munich, un club où de nombreux postes clés sont occupés par d'anciens joueurs. Aussi, le bailleur de fonds de l'OM songe à son tour à faire appel à une personnalité incontestable du football susceptible d'assurer la liaison entre le sportif et la présidence. Selon nos informations, il a trouvé en Laurent Blanc, Marseillais de 1997 à 1999, la personne idoine. Cela fait déjà quelque temps que Louis-Dreyfus envisageait de lui proposer un rôle au sein du club phocéen. Les contacts ont donc été noués entre les deux hommes. « Le processus a été enclenché », commente un proche du club. Pour l'heure, Blanc prépare justement un diplôme de management à la fac de Limoges. Il n'a jamais fait mystère qu'il aimerait « prendre un club avec un beau projet ». Son aura, sa connaissance du milieu et son carnet d'adresses militent en sa faveur. Contrairement à Perrin, il n'ignore rien, en outre, du contexte marseillais. La proposition de Louis-Dreyfus l'intéresse, mais il attend encore une démarche officielle du club. Si Blanc acceptait ce challenge, il pourrait bien solliciter le concours d'un homme de confiance présentant un profil à la Henri Emile, l'efficace surintendant des Bleus. En clair, c'est donc maintenant à Christophe Bouchet de se déclarer. Celui-ci n'a de prime abord pas de raison majeure de s'opposer à cette redistribution des cartes. L'arrivée de Blanc ne signifierait nullement une menace pour lui. Elle lui permettrait, au contraire, de renforcer son organigramme. Ensuite, il appartiendrait aux deux hommes de travailler en bonne intelligence avec les autres composantes du club. Le poste de manager est de surcroît bien moins exposé que celui d'entraîneur. Et Blanc a certainement encore à l'esprit l'exemple de son vieux complice Deschamps confronté à Monaco à une première année très délicate. Conformément au souhait de Bouchet, José Anigo pourrait donc poursuivre sa mission tout en bénéficiant du précieux concours d'un champion du monde.
testa mora a écrit:bon ben voilà c'est beau comme on a parlé pour rien
tu as vu ou le démentie de bouchet ?
PartoutetToujoursetToujoursetMalheureusementToujours a écrit:Si la nuit pourrait te porter un cerveau
mr.le.maire a écrit:testa mora a écrit:bon ben voilà c'est beau comme on a parlé pour rien
tu as vu ou le démentie de bouchet ?
dtc
http://fr.sports.yahoo.com/foot/fran/t/om/
PartoutetToujoursetToujoursetMalheureusementToujours a écrit:Si la nuit pourrait te porter un cerveau
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