Titus a écrit:Je venais parler foot...
Va là.
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Travis Bickle a écrit:Atlas a écrit:
Et, le pb de ces écoles uniques (ENA, ENA, X...) c'est qu'elle enferment le plus souvent leurs étudiants dans un cercle de pensée. C'est ainsi que bcp de hauts fonctionnaires français n'étaient pas si hostile que cela à Hitler. Beaucoup de leurs prof étaient pro néonazis.
euh, l'ENA datant de l'Après -guerre (45 ou 46 je sais plus) j'ai comme un doute sur le coté néonazi des profs ...
La commission supérieure d'appel de la FFF a pris deux décisions en apparence contradictoires, vendredi. Elle a annulé le retrait d'un point auquel avait été condamné le FC Metz dans le cadre de l'affaire Ouaddou, tout en aggravant la sanction infligée en première instance à Bastia, désormais privé de deux points dans le cadre de l'affaire Kébé 2. En première instance, le club corse avait été condamné à un match à huis clos. Le match à huis clos du FC Metz, en revanche, est confirmé.
L'attitude des dirigeants dans ces deux affaires semble avoir aiguillé la décision de la commission d'appel. Celle-ci s'en prend notamment à «la passivité des dirigeants du club bastiais dans la gestion de l'incident de la banderole» injurieuse, le 22 février lors de la 25e journée de Ligue 2, tout en «retenant des circonstances atténuantes» au bénéfice du FC Metz, qui «avait immédiatement fait le nécessaire» pour que l'auteur d'insultes racistes à l'encontre du capitaine marocain de Valenciennes, le 16 février, «soit déféré à la justice», souligne la FFF dans un communiqué.
Le PSG relèvera que l'attitude des dirigeants, ça compte
Bastia paie aussi le fait que ses supporters soient récidivistes. Des fans du club corse s'en étaient déjà pris, le 14 septembre, au même joueur (d'où les noms de ces affaires, ''Kébé 1'' et ''Kébé 2'') en proférant des injures racistes qui avaient valu le retrait d'un point au classement au club corse.
Ces deux décisions brouillent les cartes au moment où l'affaire de la banderole anti ch'ti brandie par des supporters du PSG en finale de la Coupe de la Ligue est en cours d'instruction à la Ligue. La (relative) victoire de Metz en appel souligne que l'attitude des dirigeants peut être retenue comme un facteur atténuant. C'est un pilier de la défense du Paris-SG, qui se présente comme la «première victime» de l'affaire, et a rapidement fait connaître hier une certaine solidarité avec la décision ministérielle de dissoudre les Boulogne Boys. Une source de la Ligue, citée par la LFP le 1er avril dernier, estimait que l'affaire parisienne ressemblait à l'affaire ''Kébé 2''. Celle qui avait ''coûté'' un match à huis clos en première instance, et... un retrait de point(s) en appel. Bon courage à la commission de discipline.
el gringo a écrit:La commission supérieure d'appel de la FFF a pris deux décisions en apparence contradictoires, vendredi. Elle a annulé le retrait d'un point auquel avait été condamné le FC Metz dans le cadre de l'affaire Ouaddou, tout en aggravant la sanction infligée en première instance à Bastia, désormais privé de deux points dans le cadre de l'affaire Kébé 2. En première instance, le club corse avait été condamné à un match à huis clos. Le match à huis clos du FC Metz, en revanche, est confirmé.
L'attitude des dirigeants dans ces deux affaires semble avoir aiguillé la décision de la commission d'appel. Celle-ci s'en prend notamment à «la passivité des dirigeants du club bastiais dans la gestion de l'incident de la banderole» injurieuse, le 22 février lors de la 25e journée de Ligue 2, tout en «retenant des circonstances atténuantes» au bénéfice du FC Metz, qui «avait immédiatement fait le nécessaire» pour que l'auteur d'insultes racistes à l'encontre du capitaine marocain de Valenciennes, le 16 février, «soit déféré à la justice», souligne la FFF dans un communiqué.
Le PSG relèvera que l'attitude des dirigeants, ça compte
Bastia paie aussi le fait que ses supporters soient récidivistes. Des fans du club corse s'en étaient déjà pris, le 14 septembre, au même joueur (d'où les noms de ces affaires, ''Kébé 1'' et ''Kébé 2'') en proférant des injures racistes qui avaient valu le retrait d'un point au classement au club corse.
Ces deux décisions brouillent les cartes au moment où l'affaire de la banderole anti ch'ti brandie par des supporters du PSG en finale de la Coupe de la Ligue est en cours d'instruction à la Ligue. La (relative) victoire de Metz en appel souligne que l'attitude des dirigeants peut être retenue comme un facteur atténuant. C'est un pilier de la défense du Paris-SG, qui se présente comme la «première victime» de l'affaire, et a rapidement fait connaître hier une certaine solidarité avec la décision ministérielle de dissoudre les Boulogne Boys. Une source de la Ligue, citée par la LFP le 1er avril dernier, estimait que l'affaire parisienne ressemblait à l'affaire ''Kébé 2''. Celle qui avait ''coûté'' un match à huis clos en première instance, et... un retrait de point(s) en appel. Bon courage à la commission de discipline.
vive la justice
hijodelsol a écrit:Je sais pas si il faut remonter jusqu'a sarko, mais il faut reconnaître que la lfp est une insulte a notre cher sport. On prend des décisions influés par des mecs bien placés et on prend les gens pour des cons en flairant des prétextes en bois !
Pas de point pour metz, donc pas de point pour paris ! ALLEZ CAEN SAMEDI
Guevara10 a écrit:Mais quelle bande d'enculés
Le PSG ira sportivement en L2 et contre ca ils pourront rien
Lo Provençau a écrit:el gringo a écrit:La commission supérieure d'appel de la FFF a pris deux décisions en apparence contradictoires, vendredi. Elle a annulé le retrait d'un point auquel avait été condamné le FC Metz dans le cadre de l'affaire Ouaddou, tout en aggravant la sanction infligée en première instance à Bastia, désormais privé de deux points dans le cadre de l'affaire Kébé 2. En première instance, le club corse avait été condamné à un match à huis clos. Le match à huis clos du FC Metz, en revanche, est confirmé.
L'attitude des dirigeants dans ces deux affaires semble avoir aiguillé la décision de la commission d'appel. Celle-ci s'en prend notamment à «la passivité des dirigeants du club bastiais dans la gestion de l'incident de la banderole» injurieuse, le 22 février lors de la 25e journée de Ligue 2, tout en «retenant des circonstances atténuantes» au bénéfice du FC Metz, qui «avait immédiatement fait le nécessaire» pour que l'auteur d'insultes racistes à l'encontre du capitaine marocain de Valenciennes, le 16 février, «soit déféré à la justice», souligne la FFF dans un communiqué.
Le PSG relèvera que l'attitude des dirigeants, ça compte
Bastia paie aussi le fait que ses supporters soient récidivistes. Des fans du club corse s'en étaient déjà pris, le 14 septembre, au même joueur (d'où les noms de ces affaires, ''Kébé 1'' et ''Kébé 2'') en proférant des injures racistes qui avaient valu le retrait d'un point au classement au club corse.
Ces deux décisions brouillent les cartes au moment où l'affaire de la banderole anti ch'ti brandie par des supporters du PSG en finale de la Coupe de la Ligue est en cours d'instruction à la Ligue. La (relative) victoire de Metz en appel souligne que l'attitude des dirigeants peut être retenue comme un facteur atténuant. C'est un pilier de la défense du Paris-SG, qui se présente comme la «première victime» de l'affaire, et a rapidement fait connaître hier une certaine solidarité avec la décision ministérielle de dissoudre les Boulogne Boys. Une source de la Ligue, citée par la LFP le 1er avril dernier, estimait que l'affaire parisienne ressemblait à l'affaire ''Kébé 2''. Celle qui avait ''coûté'' un match à huis clos en première instance, et... un retrait de point(s) en appel. Bon courage à la commission de discipline.
vive la justice
Oh ! Comme c'est bizarre.
On rend son point à Metz - ça n'engage à rien, ils sont déjà relégués.
On en retire deux à Bastia (parce que les corses sont des racistes vilains, c'est bien connu. D'ailleurs on peut faire des blagues sureux à des heures de grande écoute, ça ne choque personne, c'est même encouragé).
Et dans tout ça, Paris va passer tranquillou entre les mailles du filet.
C'est tout de même bien fait hein.
Faut pas déconner, quand je pense qu'un mec de l'Elysée, du temps de Chirac mais ça m'étonnerait que ça ait changé, assiste aux CA du PSG, comment croire à une quelconque équité de traitement ?
Sans déconner, ce club, on se croierait en URSS. On doit être le seul pays d'Europe a avoir un club d'état (allez, le Real Madrid aussi).
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