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JPP REVIENS a écrit:Mieux vaut être le connard de service que le faux cul de base.
JPP REVIENS a écrit:Mieux vaut être le connard de service que le faux cul de base.
GENZO a écrit:Le pb c'est qu'apres on va dire que Mendy c'est une bouse ...
Forcement si tu le mets MOD ( bon après c'est pas non plus Maldini derriere mais ça reste un joueur acceptable)
la vitesse de Mendy est une soupape de sécurité au regard de la qualité de notre défense actuellement.
JPP REVIENS a écrit:Mieux vaut être le connard de service que le faux cul de base.
JPP REVIENS a écrit:Llacer pour les ateliers un peu techniques et Mendy pour leur faire bosser les centres.
GENZO a écrit:On peut aussi monter un PSG coiffure qu'on confierait à qui ?![]()
Titus a écrit:Vous etes serieux avec Mendy ou vous parlez d un mendy que les jeunes de 20 ans n ont pas pu connaitre... Bernard Mendy est nul il l'a prouvé maintes et maintes fois au parc comme un peu partout; une technique hors du commun, un mental d acier
et un sens tactique hyper développé
, ce joueur la a du etre bon a un moment ou un autre pour finir pro mais depuis il m'a toujours fait rigoler
JPP REVIENS a écrit:Mieux vaut être le connard de service que le faux cul de base.
SOUVENT épargné, protégé par son passé de joueur, Paul Le Guen n'en demeure pas moins l'un des responsables principaux des mauvais résultats. Son crédit commence à s'effriter, y compris auprès des supporteurs, lui lançant samedi à Rennes : « Le Guen : une solution, vite ! » Si son équipe en est là aujourd'hui, c'est qu'il a commis cinq erreurs majeures.
Un recrutement raté.
Une saison se décide l'été, à l'instant de choisir les recrues. C'est aujourd'hui une évidence : avec Digard, Bourillon, Cear á et Camara, Le Guen a raté son recrutement (ne reposant que sur des éléments défensifs). Seul Camara donne globalement satisfaction et seulement depuis peu. Pour les autres, il faut ou attendre ou déjà envisager un autre point de chute. Cette absence de flair coûte cher : le PSG est aujourd'hui déséquilibré (penche à gauche plus qu'à droite) et manque de solutions offensives. Ces erreurs de recrutement découlent d'un fonctionnement autarcique. « Paul est trop clanique », entend-on au sommet du club.
Un fond de jeu inexistant. Excepté face à Lens (3-0), Valenciennes (4-0) et Auxerre (3-2) au Parc, qui peut dire qu'il s'est régalé cette saison avec le PSG ? Paris reste une formation particulièrement laide à regarder. Metz - PSG (0-0) demeure objectivement l'un des plus mauvais matchs de football de ces dernières années. Paris ne produit rien, pis, ne dégage rien. On ne sait pas vraiment très bien comment joue cette formation. En contres essentiellement. En misant sur la machine à centrer qu'incarne Rothen. Au risque que le gaucher connaisse un jour sans et qu'il ne se passe plus rien sur la pelouse. La seule vraie patte de Le Guen ? Son équipe défend bien sans commettre de fautes.
Des jeunes désorientés. D'habitude, Le Guen protège les joueurs issus du centre de formation. A Lyon, c'est lui qui a lancé Benzema, 17 ans à l'époque, lors de la saison 2004-2005. Au PSG, il a fait tout le contraire. C'est, d'après ce que l'on a compris, parce qu'il voulait vexer les habituels titulaires qu'il a un jour aligné cinq jeunes d'un coup allant jusqu'à mettre autour du bras de Sakho, 17 ans, le brassard de capitaine ! Le Guen les a grillés. Depuis, ces jeunes n'apparaissent plus qu'épisodiquement, au gré des blessures et des suspensions des cadres. Eux-mêmes ne savent plus s'ils sont juste un recours (Sakho), là pour faire le nombre (Sankharé), en salle d'attente (Ngog), aux oubliettes (Arnaud, Ngoyi).
Des cadres abandonnés. Le Guen ne traite pas équitablement son effectif. Certains disposent d'un blanc-seing. Dans n'importe quel autre club, la mauvaise passe de Landreau se serait traduite par son remplacement. Pas à Paris. Pauleta, lui, devient le meilleur exemple de cette gestion hasardeuse des cadres. En titularisant le Portugais une fois sur trois en Ligue 1 (9 matchs en vingt-huit journées), le technicien nous empêchera toujours de connaître la vérité : est-ce parce que Pauleta est en déclin qu'il ne joue plus ou est-ce parce qu'il ne joue plus qu'il a décliné ? Quand Paris est mauvais, Pauleta l'est plus que les autres. Quand l'équipe flambe (la trilogie Lens-Valenciennes-Auxerre), l'attaquant est au-dessus du lot et surtout buteur.
Une non-communication contre-productive. On connaît la communication minimaliste du Breton vis-à-vis de l'extérieur. Souvent, c'est en mettant publiquement ses peurs, ses doutes, ses états d'âme sur la table que le débat avance. Problème : cette absence de communication est aussi la règle en interne. Gallardo a été le seul à stigmatiser le silence de son entraîneur. D'autres joueurs, en privé, en souffrent. Il y a ainsi comme une fissure au sein du vestiaire, une majorité des joueurs influents du PSG se posant désormais des questions sur leur entraîneur et sa capacité à les diriger.
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