08 Juil 2007, 14:25
marseillais4ever, Runje il est pas proffessionel?
08 Juil 2007, 14:25
Pancho11, non il est Croate
08 Juil 2007, 14:39
Pancho11, et alors , sous pretexte que t pro ,on doit pouvoir te traiter comme une borsse a chiotte?
08 Juil 2007, 14:46
marseillais4ever a écrit:Pancho11, et alors , sous pretexte que t pro ,on doit pouvoir te traiter comme une borsse a chiotte?
Quand t'es sur le terrain t'a pas a lacher comme il l'a fait
08 Juil 2007, 14:49
Pancho11, +1
si il était pas content il avait cas faire comme Lamouchi : démissionner.
A partir du moment où une boite te paye tu dois t'en montrer digne, ce qu'il n'a pas su faire.
si il était pas content il avait cas faire comme Lamouchi : démissionner.
A partir du moment où une boite te paye tu dois t'en montrer digne, ce qu'il n'a pas su faire.
08 Juil 2007, 14:55
c'est vrai que les derniers matchs de Runje a l' OM étaient pas top,il restait sur sa ligne, pire que carasso en temps normal... c'est dire 
08 Juil 2007, 15:59
Carrasso contre Bordeaux hier ça été la cata niveau sortie, un truc de fou
09 Juil 2007, 06:54
Source la Provence[info]Au terme du premier stage, José Anigo dresse un bilan du recrutement olympien
Dans l'hôtel où l'équipe a séjourné à Capbreton, José Anigo a expliqué la ligne directrice du recrutement: "Nous ne nous sommes pas lancés dans un sprint effréné pour arracher des signatures de dernière minute."
Le directeur sportif olympien est resté très attentif à l'évolution du premier stage dans les Landes. Présent à tous les entraînements, José Anigo est aussi resté en contact permanent avec Pape Diouf. À trois semaines de la reprise du championnat, il a accepté d'évoquer le fonctionnement du club pendant l'intersaison. Entretien.
Était-il indispensable de recruter huit joueurs ?
C'était nécessaire. Le bilan de la saison dernière a été explicite et nous devions prendre en compte nos futures échéances. Nous avons doublé les postes, boosté la concurrence, pour franchir un cap.
Aviez-vous relevé plus de points faibles ?
Non, c'est la suite logique de l'amélioration d'un effectif qui prétend jouer le haut niveau. Il a été retouché en qualité.
Êtes-vous allé au bout de votre idée ?
Notre réflexion était de respecter une continuité dans notre philosophie de travail. Nous sommes restés conformes aux grandes lignes qui ont été tracées.
Avez-vous douté un moment de ne pas y arriver ?
C'est paradoxal, mais non.
Paradoxal ?
Notre vitesse a été très bien régulée. Nous ne nous sommes pas lancés dans un sprint effréné pour arracher des signatures de dernière minute. Chaque dossier a été bouclé en son temps. Le grand mérite en revient à Pape et à Julien Fournier. Sur l'aspect financier, ils ont été brillants. Toutes les arrivées ont été payées au juste prix.
Comment fonctionnez-vous tous les trois ?
Pape trace les lignes directrices sur l'enveloppe financière. Celle-ci est contrôlée par Julien. Tous les deux mènent les négociations contractuelles. Avec Albert Emon, on se concentre sur l'aspect sportif, on propose des joueurs en fonction des besoins de l'équipe. Nous formons une cellule au sein de laquelle chaque décision est collégiale. On n'est pas les meilleurs, mais ce système permet à chacun de rester à sa place.
Vous arrive-t-il de ne pas partager les mêmes points de vue ? Heureusement, oui. Très souvent, même.
Et comment tranchez-vous ?
Si on souhaite un joueur, mais qu'on nous explique que les conditions financières ne le permettent pas, alors on tourne la page.
Vous n'avez donc pas recruté à titre onéreux...
Nous avons recruté en fonction de nos besoins et de la qualité des joueurs. Nous n'avons pas voulu de noms clinquants, mais des joueurs utiles, capables de nous conduire vers les objectifs définis. Nous fonctionnons ainsi depuis trois ans et on a plutôt bien réussi.
Avec la concurrence qui se dessine, Albert Emon s'apprête à passer des nuits blanches pour composer le onze de départ...
J'ai tenu le discours suivant à tout le staff, au secteur médical, à l'intendance qui l'entoure : Albert doit avoir un seul souci, celui de son équipe. Il doit se concentrer sur l'aspect tactique, les choix des joueurs. Il sera déchargé de tous les autres problèmes.
Vous vous attendez quand même à gérer quelques mécontentements ?
Bien sûr. Les objectifs sont multiples et les joueurs ont compris qu'il y aura du temps du jeu pour tout le monde. Ils le savent: dans ce club, il y a une direction et elle seule décide. On n'a pas insisté sur ce point, mais la gestion du groupe de la saison dernière a été bonne.
Vous restez dans votre logique : ici, la star c'est le club?
Plus que jamais. Et ce club rend les gens stars. Sur les trois dernières saisons, l'OM a élevé au rang de stars Didier Drogba, Franck Ribéry, Samir Nasri...
Avec ce mercato, votre objectif en Ligue 1 ne peut être au pire qu'une deuxième place, au mieux un titre.
Je dirai, au pire une 3e place, au mieux un titre .
Vous avez terminé 2e, pensez-vous qu 'une troisième place puisse être acceptée ?
On ne cachera pas nos objectifs, mais depuis trois ans, on essaie de privilégier le plaisir. Notre deuxième place la saison dernière m'enchante moins que le plaisir que nous avons pu donner. J'ai envie de voir les gens venir au stade avec leurs enfants et passer des instants forts en émotions. "On y est arrivé plusieurs fois ces derniers mois, même si la régularité n'a pas été notre point fort. Le grand mérite en revient à Albert. Il a su par moments donner de la qualité dans le jeu, oser un schéma offensif à cinq attaquants. Ça n'a pas de prix dans le football d'aujourd'hui.
Pensez-vous être à l'abri des non-matches du précédent exercice comme à Toulouse, Lorient...
Sincèrement, oui. La dimension de notre effectif nous permet de pallier l'absence de certaines individualités, sans en souffrir. Un équilibre s'établit sur certains postes et il génère une concurrence. Tous les garçons sont de bons joueurs de Ligue 1 et ils peuvent prétendre remplacer le samedi les titulaires du mercredi, en Ligue des champions.
Ça ressemble au modèle lyonnais...
C'est le modèle de tous les clubs sérieux qui se respectent et aspirent à gagner quelque chose. On ne souhaite pas rivaliser avec Lyon, mais réduire l'écart qui nous sépare de lui.
Allez-vous compenser le départ de Pagis ?
Il y a une réflexion à ce sujet, mais avec les signatures de Djibril et Zenden, nous sommes moins pressés.
Le transfert de Cissé était-il votre plus grand défi?
Il nous a paru incohérent de l'avoir engagé il y a douze mois avec une jambe cassée, de le retaper, de l'amener à sa fin de saison où il a inscrit 7buts dans les moments forts et de l'abandonner à l'heure où il est redevenu très fort. "Pape s'est inscrit dans cette logique et s'est énormément battu pour finaliser son arrivée. Aujourd'hui, Djibril peut prétendre être le meilleur buteur du championnat.
Le feuilleton de son arrivée vous a-t-il permis de travailler tranquillement sur Zenden ?
Non. Tout le monde a focalisé sur les dossiers Giuly et Wiltord. Nous, on a bossé sur une troisième piste ignorée de tous et tenue secrète jusqu'à sa présentation.[/info]
Dans l'hôtel où l'équipe a séjourné à Capbreton, José Anigo a expliqué la ligne directrice du recrutement: "Nous ne nous sommes pas lancés dans un sprint effréné pour arracher des signatures de dernière minute."
Le directeur sportif olympien est resté très attentif à l'évolution du premier stage dans les Landes. Présent à tous les entraînements, José Anigo est aussi resté en contact permanent avec Pape Diouf. À trois semaines de la reprise du championnat, il a accepté d'évoquer le fonctionnement du club pendant l'intersaison. Entretien.
Était-il indispensable de recruter huit joueurs ?
C'était nécessaire. Le bilan de la saison dernière a été explicite et nous devions prendre en compte nos futures échéances. Nous avons doublé les postes, boosté la concurrence, pour franchir un cap.
Aviez-vous relevé plus de points faibles ?
Non, c'est la suite logique de l'amélioration d'un effectif qui prétend jouer le haut niveau. Il a été retouché en qualité.
Êtes-vous allé au bout de votre idée ?
Notre réflexion était de respecter une continuité dans notre philosophie de travail. Nous sommes restés conformes aux grandes lignes qui ont été tracées.
Avez-vous douté un moment de ne pas y arriver ?
C'est paradoxal, mais non.
Paradoxal ?
Notre vitesse a été très bien régulée. Nous ne nous sommes pas lancés dans un sprint effréné pour arracher des signatures de dernière minute. Chaque dossier a été bouclé en son temps. Le grand mérite en revient à Pape et à Julien Fournier. Sur l'aspect financier, ils ont été brillants. Toutes les arrivées ont été payées au juste prix.
Comment fonctionnez-vous tous les trois ?
Pape trace les lignes directrices sur l'enveloppe financière. Celle-ci est contrôlée par Julien. Tous les deux mènent les négociations contractuelles. Avec Albert Emon, on se concentre sur l'aspect sportif, on propose des joueurs en fonction des besoins de l'équipe. Nous formons une cellule au sein de laquelle chaque décision est collégiale. On n'est pas les meilleurs, mais ce système permet à chacun de rester à sa place.
Vous arrive-t-il de ne pas partager les mêmes points de vue ? Heureusement, oui. Très souvent, même.
Et comment tranchez-vous ?
Si on souhaite un joueur, mais qu'on nous explique que les conditions financières ne le permettent pas, alors on tourne la page.
Vous n'avez donc pas recruté à titre onéreux...
Nous avons recruté en fonction de nos besoins et de la qualité des joueurs. Nous n'avons pas voulu de noms clinquants, mais des joueurs utiles, capables de nous conduire vers les objectifs définis. Nous fonctionnons ainsi depuis trois ans et on a plutôt bien réussi.
Avec la concurrence qui se dessine, Albert Emon s'apprête à passer des nuits blanches pour composer le onze de départ...
J'ai tenu le discours suivant à tout le staff, au secteur médical, à l'intendance qui l'entoure : Albert doit avoir un seul souci, celui de son équipe. Il doit se concentrer sur l'aspect tactique, les choix des joueurs. Il sera déchargé de tous les autres problèmes.
Vous vous attendez quand même à gérer quelques mécontentements ?
Bien sûr. Les objectifs sont multiples et les joueurs ont compris qu'il y aura du temps du jeu pour tout le monde. Ils le savent: dans ce club, il y a une direction et elle seule décide. On n'a pas insisté sur ce point, mais la gestion du groupe de la saison dernière a été bonne.
Vous restez dans votre logique : ici, la star c'est le club?
Plus que jamais. Et ce club rend les gens stars. Sur les trois dernières saisons, l'OM a élevé au rang de stars Didier Drogba, Franck Ribéry, Samir Nasri...
Avec ce mercato, votre objectif en Ligue 1 ne peut être au pire qu'une deuxième place, au mieux un titre.
Je dirai, au pire une 3e place, au mieux un titre .
Vous avez terminé 2e, pensez-vous qu 'une troisième place puisse être acceptée ?
On ne cachera pas nos objectifs, mais depuis trois ans, on essaie de privilégier le plaisir. Notre deuxième place la saison dernière m'enchante moins que le plaisir que nous avons pu donner. J'ai envie de voir les gens venir au stade avec leurs enfants et passer des instants forts en émotions. "On y est arrivé plusieurs fois ces derniers mois, même si la régularité n'a pas été notre point fort. Le grand mérite en revient à Albert. Il a su par moments donner de la qualité dans le jeu, oser un schéma offensif à cinq attaquants. Ça n'a pas de prix dans le football d'aujourd'hui.
Pensez-vous être à l'abri des non-matches du précédent exercice comme à Toulouse, Lorient...
Sincèrement, oui. La dimension de notre effectif nous permet de pallier l'absence de certaines individualités, sans en souffrir. Un équilibre s'établit sur certains postes et il génère une concurrence. Tous les garçons sont de bons joueurs de Ligue 1 et ils peuvent prétendre remplacer le samedi les titulaires du mercredi, en Ligue des champions.
Ça ressemble au modèle lyonnais...
C'est le modèle de tous les clubs sérieux qui se respectent et aspirent à gagner quelque chose. On ne souhaite pas rivaliser avec Lyon, mais réduire l'écart qui nous sépare de lui.
Allez-vous compenser le départ de Pagis ?
Il y a une réflexion à ce sujet, mais avec les signatures de Djibril et Zenden, nous sommes moins pressés.
Le transfert de Cissé était-il votre plus grand défi?
Il nous a paru incohérent de l'avoir engagé il y a douze mois avec une jambe cassée, de le retaper, de l'amener à sa fin de saison où il a inscrit 7buts dans les moments forts et de l'abandonner à l'heure où il est redevenu très fort. "Pape s'est inscrit dans cette logique et s'est énormément battu pour finaliser son arrivée. Aujourd'hui, Djibril peut prétendre être le meilleur buteur du championnat.
Le feuilleton de son arrivée vous a-t-il permis de travailler tranquillement sur Zenden ?
Non. Tout le monde a focalisé sur les dossiers Giuly et Wiltord. Nous, on a bossé sur une troisième piste ignorée de tous et tenue secrète jusqu'à sa présentation.[/info]
09 Juil 2007, 07:58
Le feuilleton de son arrivée vous a-t-il permis de travailler tranquillement sur Zenden ?
Non. Tout le monde a focalisé sur les dossiers Giuly et Wiltord. Nous, on a bossé sur une troisième piste ignorée de tous et tenue secrète jusqu'à sa présentation.
Rien que cette dernière phrase prouve que le mec a progressé, muri ! Après ce qui marrone qu'il gagne un salaire important comparé aux notres, car si on le compare a celui d'un joueur : anigo est un smicard , ils ont qu'a envoyer leur cv a pape diouf
Non. Tout le monde a focalisé sur les dossiers Giuly et Wiltord. Nous, on a bossé sur une troisième piste ignorée de tous et tenue secrète jusqu'à sa présentation.
Rien que cette dernière phrase prouve que le mec a progressé, muri ! Après ce qui marrone qu'il gagne un salaire important comparé aux notres, car si on le compare a celui d'un joueur : anigo est un smicard , ils ont qu'a envoyer leur cv a pape diouf
09 Juil 2007, 08:16
rvpm a écrit:Source la Provence[info]Au terme du premier stage, José Anigo dresse un bilan du recrutement olympien
Dans l'hôtel où l'équipe a séjourné à Capbreton, José Anigo a expliqué la ligne directrice du recrutement: "Nous ne nous sommes pas lancés dans un sprint effréné pour arracher des signatures de dernière minute."
Le directeur sportif olympien est resté très attentif à l'évolution du premier stage dans les Landes. Présent à tous les entraînements, José Anigo est aussi resté en contact permanent avec Pape Diouf. À trois semaines de la reprise du championnat, il a accepté d'évoquer le fonctionnement du club pendant l'intersaison. Entretien.
Était-il indispensable de recruter huit joueurs ?
C'était nécessaire. Le bilan de la saison dernière a été explicite et nous devions prendre en compte nos futures échéances. Nous avons doublé les postes, boosté la concurrence, pour franchir un cap.
Aviez-vous relevé plus de points faibles ?
Non, c'est la suite logique de l'amélioration d'un effectif qui prétend jouer le haut niveau. Il a été retouché en qualité.
Êtes-vous allé au bout de votre idée ?
Notre réflexion était de respecter une continuité dans notre philosophie de travail. Nous sommes restés conformes aux grandes lignes qui ont été tracées.
Avez-vous douté un moment de ne pas y arriver ?
C'est paradoxal, mais non.
Paradoxal ?
Notre vitesse a été très bien régulée. Nous ne nous sommes pas lancés dans un sprint effréné pour arracher des signatures de dernière minute. Chaque dossier a été bouclé en son temps. Le grand mérite en revient à Pape et à Julien Fournier. Sur l'aspect financier, ils ont été brillants. Toutes les arrivées ont été payées au juste prix.
Comment fonctionnez-vous tous les trois ?
Pape trace les lignes directrices sur l'enveloppe financière. Celle-ci est contrôlée par Julien. Tous les deux mènent les négociations contractuelles. Avec Albert Emon, on se concentre sur l'aspect sportif, on propose des joueurs en fonction des besoins de l'équipe. Nous formons une cellule au sein de laquelle chaque décision est collégiale. On n'est pas les meilleurs, mais ce système permet à chacun de rester à sa place.
Vous arrive-t-il de ne pas partager les mêmes points de vue ? Heureusement, oui. Très souvent, même.
Et comment tranchez-vous ?
Si on souhaite un joueur, mais qu'on nous explique que les conditions financières ne le permettent pas, alors on tourne la page.
Vous n'avez donc pas recruté à titre onéreux...
Nous avons recruté en fonction de nos besoins et de la qualité des joueurs. Nous n'avons pas voulu de noms clinquants, mais des joueurs utiles, capables de nous conduire vers les objectifs définis. Nous fonctionnons ainsi depuis trois ans et on a plutôt bien réussi.
Avec la concurrence qui se dessine, Albert Emon s'apprête à passer des nuits blanches pour composer le onze de départ...
J'ai tenu le discours suivant à tout le staff, au secteur médical, à l'intendance qui l'entoure : Albert doit avoir un seul souci, celui de son équipe. Il doit se concentrer sur l'aspect tactique, les choix des joueurs. Il sera déchargé de tous les autres problèmes.
Vous vous attendez quand même à gérer quelques mécontentements ?
Bien sûr. Les objectifs sont multiples et les joueurs ont compris qu'il y aura du temps du jeu pour tout le monde. Ils le savent: dans ce club, il y a une direction et elle seule décide. On n'a pas insisté sur ce point, mais la gestion du groupe de la saison dernière a été bonne.
Vous restez dans votre logique : ici, la star c'est le club?
Plus que jamais. Et ce club rend les gens stars. Sur les trois dernières saisons, l'OM a élevé au rang de stars Didier Drogba, Franck Ribéry, Samir Nasri...
Avec ce mercato, votre objectif en Ligue 1 ne peut être au pire qu'une deuxième place, au mieux un titre.
Je dirai, au pire une 3e place, au mieux un titre .
Vous avez terminé 2e, pensez-vous qu 'une troisième place puisse être acceptée ?
On ne cachera pas nos objectifs, mais depuis trois ans, on essaie de privilégier le plaisir. Notre deuxième place la saison dernière m'enchante moins que le plaisir que nous avons pu donner. J'ai envie de voir les gens venir au stade avec leurs enfants et passer des instants forts en émotions. "On y est arrivé plusieurs fois ces derniers mois, même si la régularité n'a pas été notre point fort. Le grand mérite en revient à Albert. Il a su par moments donner de la qualité dans le jeu, oser un schéma offensif à cinq attaquants. Ça n'a pas de prix dans le football d'aujourd'hui.
Pensez-vous être à l'abri des non-matches du précédent exercice comme à Toulouse, Lorient...
Sincèrement, oui. La dimension de notre effectif nous permet de pallier l'absence de certaines individualités, sans en souffrir. Un équilibre s'établit sur certains postes et il génère une concurrence. Tous les garçons sont de bons joueurs de Ligue 1 et ils peuvent prétendre remplacer le samedi les titulaires du mercredi, en Ligue des champions.
Ça ressemble au modèle lyonnais...
C'est le modèle de tous les clubs sérieux qui se respectent et aspirent à gagner quelque chose. On ne souhaite pas rivaliser avec Lyon, mais réduire l'écart qui nous sépare de lui.
Allez-vous compenser le départ de Pagis ?
Il y a une réflexion à ce sujet, mais avec les signatures de Djibril et Zenden, nous sommes moins pressés.
Le transfert de Cissé était-il votre plus grand défi?
Il nous a paru incohérent de l'avoir engagé il y a douze mois avec une jambe cassée, de le retaper, de l'amener à sa fin de saison où il a inscrit 7buts dans les moments forts et de l'abandonner à l'heure où il est redevenu très fort. "Pape s'est inscrit dans cette logique et s'est énormément battu pour finaliser son arrivée. Aujourd'hui, Djibril peut prétendre être le meilleur buteur du championnat.
Le feuilleton de son arrivée vous a-t-il permis de travailler tranquillement sur Zenden ?
Non. Tout le monde a focalisé sur les dossiers Giuly et Wiltord. Nous, on a bossé sur une troisième piste ignorée de tous et tenue secrète jusqu'à sa présentation.[/info]
Je n'avais pas oser le remettre en entier, je l'ai donc résumé dans le topic presse. Mais, lisez bien ce qui est en gras.
Bref, Zenden, Givet, Ziani, Cissé et Cie ce sont Anigo et Emon qui les ont repérés. Diouf et Fournier n'étaient là que pour avaliser ou refuser en fonction des considérations financières.
09 Juil 2007, 08:19
Zenden c'est pape 
09 Juil 2007, 08:30
t'as vu çà où? Parce que c'est Pape qui est aller négocier Cissé à Liverpool?hijodelsol a écrit:Zenden c'est pape
Oui, Pape était avec Fournier notre négociateur attitré. C'est çà l'huile dans les rouages donné par Acariès : répartir correctement les rôles éviter les interférences.
Mais n'empêche, Pape ne l'aurait pas pris sans l'aval ou la demande d'Anigo.
09 Juil 2007, 08:46
C'est le frère a anigo qui m'a dit que diouf est entré en contact avec lui et a négocié en douceur
09 Juil 2007, 09:17
el gringo a écrit:Puisque personne n'a voulu la faire je la fait. Ils sont DTC
On a assez préviendu.
09 Juil 2007, 09:29
peezee, c'est pas un peu severe la jaune pour un dtc?
vu toutes les conneries sorties ( je suis mal placé pour en parler c'est jsute) je trouve pas le dtc choquant meme si c 'est vraiment nul et pas drole
toutes les references faites aux gays ou alors les propos deplaces sur certaines aux autres equipes pourraient etre plus sanctionnés que ca non?
vu toutes les conneries sorties ( je suis mal placé pour en parler c'est jsute) je trouve pas le dtc choquant meme si c 'est vraiment nul et pas drole
toutes les references faites aux gays ou alors les propos deplaces sur certaines aux autres equipes pourraient etre plus sanctionnés que ca non?
09 Juil 2007, 09:36
Concernant Zenden d'après Diouf sur RTL Vendredi soir ils sont rentrer en contact Fin mai avec le père de Zenden. ( Cissé nous a fait de la pub)
09 Juil 2007, 09:48
Rocca, +1.
Quand tu lis certains propos sur les lyonnais ou les parisiens et que tu vois l'abus du smiley
, tu te dis qu'il y a pire sur ce forum qu'un DTC de Kevin.
Quand tu lis certains propos sur les lyonnais ou les parisiens et que tu vois l'abus du smiley
, tu te dis qu'il y a pire sur ce forum qu'un DTC de Kevin.
09 Juil 2007, 09:53
Rocca, merci pour ton avis. On s'est déjà assez expliqué, on a assez prévenu, tout est dit.
Après, ceux qui captent tjours pas ou font semblant de pas savoir, c'est tant pis (ceci est valable pour les références gays aussi btw, surtout hors Café).
FIN DU HS.
Après, ceux qui captent tjours pas ou font semblant de pas savoir, c'est tant pis (ceci est valable pour les références gays aussi btw, surtout hors Café).
FIN DU HS.
09 Juil 2007, 09:55
je pense surtout qu'anigo est critiqué sur sa première saison en temps que directeur sportif
comme toute personne quand tu arrives à un nouveau poste que tu ne connais pas , tu as tendance à vouloir trop en faire, et tu ne cernes pas totalement les contours de ton travail
après trois ans à ce poste, anigo a acquit une certaine expérience
ainsi, la première saison, c'est là qu'il a réalisé des couacs dans le recrutement en ciblant mal le mental de certains
depuis je trouve qu'il a considérablement évolué dans son rôle
à cela plusieures causes:
-avec du temps pour lui, il a pu mettre en place son réseau et sa cellule de recrutement, qui cible chaque année les recrues potentielles(passi, brissonskoblar, durand)
-le potentiel de chaque joueur est mieux cerné, notamment mental et adaptation au contexte marseillais
-l'intersaison est gèrée pls tôt en amont, ce qui évite le recrutement tardif et à l'emporte pièce
-
comme toute personne quand tu arrives à un nouveau poste que tu ne connais pas , tu as tendance à vouloir trop en faire, et tu ne cernes pas totalement les contours de ton travail
après trois ans à ce poste, anigo a acquit une certaine expérience
ainsi, la première saison, c'est là qu'il a réalisé des couacs dans le recrutement en ciblant mal le mental de certains
depuis je trouve qu'il a considérablement évolué dans son rôle
à cela plusieures causes:
-avec du temps pour lui, il a pu mettre en place son réseau et sa cellule de recrutement, qui cible chaque année les recrues potentielles(passi, brissonskoblar, durand)
-le potentiel de chaque joueur est mieux cerné, notamment mental et adaptation au contexte marseillais
-l'intersaison est gèrée pls tôt en amont, ce qui évite le recrutement tardif et à l'emporte pièce
-
09 Juil 2007, 10:08
Je n'ai toujours aucune confiance en Anigo, mon avis c'est que la présence de Diouf l'oblige à se comporter correctement, et limite ses possibilités de magouilles.
Ses amitiés particulières sont néfastes pour le club mais permettent une paix social notamment avec les différents groupes de suporters.
(Eux aussi ne sont pas très clean. Quelle objectivité peut-on avoir quand on est payé par le club et qu'on vit de la vente des abos? Pour moi, la relative baisse de la ferveur vient du fait que l'on a crée des "rentiers"? On ne parle plus de passion mais d'argent, et là c'est le bordel.)
Après je n'enlève pas à Anigo des qualités de technicien niveau football, et un sens du relationnel direct mais chaleureux.
J'ajoute aussi que tout le monde peut changer mais le savoir DS de l'OM me stresse. Ce club a déjà tellement souffert au niveau de l'image avec l'ère post BT, Courbis et compagnie, si il se prétend vraiment amoureux de l'OM qu'il laisse ses "amis" en dehors du club au lieu de les aider à rentrer.
Ses amitiés particulières sont néfastes pour le club mais permettent une paix social notamment avec les différents groupes de suporters.
(Eux aussi ne sont pas très clean. Quelle objectivité peut-on avoir quand on est payé par le club et qu'on vit de la vente des abos? Pour moi, la relative baisse de la ferveur vient du fait que l'on a crée des "rentiers"? On ne parle plus de passion mais d'argent, et là c'est le bordel.)
Après je n'enlève pas à Anigo des qualités de technicien niveau football, et un sens du relationnel direct mais chaleureux.
J'ajoute aussi que tout le monde peut changer mais le savoir DS de l'OM me stresse. Ce club a déjà tellement souffert au niveau de l'image avec l'ère post BT, Courbis et compagnie, si il se prétend vraiment amoureux de l'OM qu'il laisse ses "amis" en dehors du club au lieu de les aider à rentrer.
Modifié en dernier par magic_chris le 09 Juil 2007, 10:29, modifié 1 fois.