Modérateur: Modérateurs
randoulou a écrit:on n'avait pas de jeu non plus avec perrin la premiere année mais on gagnait
FOOTBALL - LIGUE 1 (4e JOURNÉE) : Après Marseille-Nancy (2-2)
Des choix incompréhensibles
De notre correspondant à Marseille : Bruno ANGELICA
Sans aucune victoire, l'OM, timoré sur le terrain, s'est mis un peu plus la pression en étant déjà obligé de rattraper au plus vite les points perdus. Cela passera par une remise en cause collective. Et en premier lieu par celle de l'entraîneur, peu inspiré sur plusieurs choix tactiques.
"Ce début de saison me rappelle ce qui s'était passé en 2004-2005. On avait sur le papier une super équipe mais, sur le terrain, on n'y arrivait pas..." Paroles lâchées par Samir Nasri, dimanche soir. Cette saison-là, l'OM avait vécu un véritable cauchemar avec les Pedretti, Costa, Lizarazu ou Luyindula. Actuellement, nous n'en sommes pas encore là mais "la situation est préoccupante", comme le concède Pape Diouf.
Dimanche, pourtant, l'OM était en progrès avec un Niang dans le rôle du dynamiteur car évoluant, lui, sans peur et sans reproches! Tout ce qu'il manquait précisément à l'équipe. De la percussion, du mouvement vers l'avant et non plus cette verticalité désespérante. Dans un premiers temps, donc, grâce au Sénégalais _qui serait Drogba s'il possédait sa finition!_ on a pu apprécier le vrai Ziani, celui convaincant des matches amicaux. Ou le bon Cissé, profitant des mouvements de ses partenaires en étant moins isolé en pointe.
Des questions concernant Beye
Par contre, après la pause, avec Niang et Nasri accusant le coup physiquement, tout s'effrita. Avec en premier lieu une défense aux abois. A Valenciennes, Habib Beye était apparu totalement dépassé. Trois jours après une telle prestation, il était impossible que le capitaine se refasse une santé. Comment Emon, conseillé ou non par d'autres dans ses choix, a-t-il pu le titulariser dimanche? Sachant que dans le même temps Bonnart (capable de jouer à gauche comme à droite) n'avait jamais démérité. Assez incompréhensible. Car le début de match de Beye fut catastrophique, pour rendre davantage fébrile, au fil des minutes, toute une défense, voire toute une équipe après la pause. Attention, Beye ne peut pas être tenu pour seul responsable du retour nancéien mais un capitaine, surtout à l'OM, doit être irréprochable.
Une semaine qui s'annonce agitée
Autre interrogation, le moment choisi par Emon pour sortir Niang puis Nasri. Les deux étant encore convalescents, pourquoi ne pas les avoir remplacés plus tôt, avant que l'adveraire ne revienne à 2-1? Ces choix font suite à cette titularisation surprenante de M'Bami à Valenciennes, aux dépens d'un Valbuena qui pétait la forme aux entraînements! Débuter avec trois milieux défensifs dans le Nord s'avéra être au final un véritable fiasco. Autant de choix difficiles à comprendre, alors même que le club désirait faire marcher la concurrence cette saison...
Malgré un calendrier favorable, l'OM a manqué ses débuts pour se mettre dans l'urgence de rattraper au plus vite ces points perdus. La semaine pourrait être agitée.
http://www.ledauphine.com/sport/national/art_97968.php
marcos011 a écrit:squall a écrit:hijodelsol a écrit:C'est plus facile de mettre en cause un entraineur que 11 branleurs
quand c'est justifié, oui
pour le moment ca lè
LE CHAMPIONNAT
Je discute avec les joueurs et souvent avec Samir Nasri qui suit assidûment le football européen. Il me disait que le football français est très difficile. Les équipes comme Valenciennes, Caen ou Strasbourg sont très difficiles à jouer. Ces équipes ont un souci majeur : avoir le maximum de points le plus rapidement possible parce qu’elles viennent de monter ou qu’elles ont connu une saison difficile. Dans leurs têtes, elles entrent dans un combat et se mettent à égalité avec beaucoup d’équipes. Contre elles, on essaie de jouer, et si on n’est pas très bon et on se retrouve en difficulté.
Utilisateurs parcourant ce forum : Bing [Bot], Genito, Major Tonio et 60 invités