Modérateur: Modérateurs
Marseillais-du-93 a écrit:depé-95 Valbuena titulaire sa le fait pas trop, pour Zenden je suis ok! Puis en cours de match ou a la fin mettre valbuena si on peut.
Mais Emon est vraiment![]()
, j'en ai mar! j'ai bien fait de ne pas regarder le match! C'est la première fois que je voulais voir L'OM perdre un match... J'espére que les choses vont changer, meme si ça n'en prend pas la tournure ...
Pape Diouf : "Il faut trouver collectivement des solutions"
15/09/07 - OM 1-2 TFC
Après la rencontre perdue par son équipe à domicile face à Toulouse, le Président de l’Olympique de Marseille a répondu aux questions de Sébastien Piétri pour OMtv.
Quelle est votre réaction après cette défaite face à Toulouse ?
Je ressens une immense déception que le public a largement partagée et manifestée de manière bruyante et légitime. Après huit journées, nous sommes loin du compte de ce que nous pouvions espérer à l’orée du championnat. Cependant, si nous étions aujourd’hui à huit journées de la fin, je serais talonné pas les circonstances mais ce n’est pas la cas, il reste trente journées. Nous allons relever ce challenge qui est excitant, prenant. Ce challenge consiste à aller chercher les points, à jouer les suiveurs et retrouver une place plus conforme à nos ambitions et à notre effectif.
Qu’est-ce qui s’est dit dans le vestiaire après la rencontre ?
Il y a eu des mots de déception. Quand on perd pour la deuxième fois de suite sur son terrain de surcroît face à un adversaire qui paraît être à notre portée, la déception l’emporte sur tout autre considération. Il y a eu beaucoup de déception mais comptez sur moi pour ne rien lâcher, pour galvaniser les troupes, au niveau technique et des joueurs, puisque manifestement il y a quelque chose qui ne va pas. Il y a un poids de pression indiscutable sur les joueurs et il faut aujourd’hui trouver cet élément déclencheur qui pourrait en enlever un peu et permettre aux uns et aux autres de s’exprimer sur le terrain, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.
Vous avez été confronté aux journalistes en conférence de presse. La question concernant Albert Emon a dû revenir dans les discussions…
C’est la question de facilité. A Marseille, dès lors qu’il y a une période difficile, on pense que l’entraîneur doit sauter, qu’il faut tout bouleverser. Ce n’est pas la question que je me pose. Je me pose des questions d’ordre collectif puisque nous vivons tous un marasme. Il faut trouver collectivement des solutions et non pas couper des têtes, ce n’est pas aujourd’hui ma volonté.
Mercredi, l’entrée en lice de l’OM en UEFA Champions League pourrait être un déclic…
J’y compte puisque la Champions League est une compétition différente. Elle peut nous permettre de nous retrouver un tout petit peu car aujourd’hui là où le bas blesse, ce n’est pas tant que les joueurs ne se donnent pas, je suis persuadé que si l’on regarde après le match, les joueurs marseillais ont autant couru que les Toulousains, ce n’est pas une question de volonté ou de mouiller ou pas le maillot. Quand l’on fait autant d’efforts, il faut savoir les faire de manière cohérente. Ce n’est pas le cas aujourd’hui et cela explique nos revers.
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