Finances de l'OM

Ah ouais du coup on comprend mieux pourquoi le président de Brest est le seul à demander la fin de la saison publiquement

Pas sûr, 9M € c'est 30 % de leur budget.

Non, le 9 c'est pour 9% de son budget, il lui reste 1,6M à percevoir (colonne 2). Faut lire les titres des colonnes

Donc oui, on comprend mieux le discours du président de Brest. Après, c'est sûr que 1,6M c'est pas pareil pour Breste que pour Lyon ou l'OM, mais ça reste quand même le club qui y perd le moins du championnat. Entre un manque à gagner de 9% de ce qui était prévu et un qui avoisine les 40%, l'impact n'est pas le même.

oups

Non, le 9 c'est pour 9% de son budget, il lui reste 1,6M à percevoir (colonne 2). Faut lire les titres des colonnes

Donc oui, on comprend mieux le discours du président de Brest. Après, c'est sûr que 1,6M c'est pas pareil pour Breste que pour Lyon ou l'OM, mais ça reste quand même le club qui y perd le moins du championnat. Entre un manque à gagner de 9% de ce qui était prévu et un qui avoisine les 40%, l'impact n'est pas le même.

C'est pas 9% de son budget mais 9% des gains potentiels (14M€) liés aux retransmissions télé.

Le budget total de Brest est estimé a 30M€. Le manque à gagner des droits télé représenterai donc 5%. A titre de comparaison, pour l'OM, ça monterait à presque 11% (manque de 13,5M€ sur un budget de 125M€ sur un article du telegram d'aout 2019).

Sinon la Fifa demande aux clubs de chacun gérer la diminution salariale de leurs joueurs.

En l'occurrence, j'espère qu'on ne verra pas de comportement à la Costil. Déjà s'il n'y a une baisse que de 50 % compte tenu de la récession de fou à venir (la question est plutôt de savoir qui les paiera), ils pourront s'estimer heureux.

La fifa est toujours là pour s'en mettre plein les poches mais des qu'il y a une situation de crise c'est aux clubs de gérer.
S'il y a bien une chose à changer c'est bien toute cette mafia à la fifa et à l'uefa

Nos finances ne s arrangent pas selon Flo Germain

https://rmc.bfmtv.com/mediaplayer/audio ... 10169.html

Sans déconner ! Y’a rien qui rentre depuis un mois, je pensais qu’on avait tout comblé du coup

koni,

Eyraud qui reclame une baisse definitive de certains salaires
Il va reussir a se transformer de dirigeant a opportuniste.
Il aurait deja du mesurer les effets d’une politique salariale non maitrisee. Elle va etre belle la reprise avec des joueurs qui leveront le pied.

Les joueurs n'ont pas trop le choix. Vu le contexte, si ça reprend, je me bougerais. Croire qu'ils vont tous avoir une situation comme Giroud qui pourrait retrouver un contrat à Chelsea est illusoire (et cela ne m'étonnerait pas qu'en plus, dans ce dernier cas, Chelsea revienne dessus après).

Modifié en dernier par Anonymous le 10 Avr 2020, 11:01, modifié 1 fois.

On parle de baisse au delà de la crise.
Comment croire qu'un Payet va vouloir baisser son salaire alors que Mitro le touchera en restant assis.

Information

En grande difficulté économique, l'OM veut mettre en place des mesures radicales sur les salaires

Jacques-Henri Eyraud, le président marseillais, veut aller plus loin que les mesures de chômage partiel et de baisse de salaires de ses joueurs à titre temporaire. Saint-Étienne et Bordeaux réfléchiraient aussi à des coupes plus drastiques.

Mercredi soir, Jacques-Henri Eyraud a fait une brève apparition dans l'émission Quotidien sur TMC. Le ton était plutôt léger, via Skype, sur le thème de la réduction des salaires en L1. Mais le président marseillais a lancé une mise en garde qu'il fallait prendre au sérieux du côté de ses joueurs : « C'est une situation extra­ordinaire. Nous sommes dans la crise. Les joueurs se doivent de faire des efforts importants. J'espère qu'ils seront au rendez-vous de l'histoire. » Le boss olympien les attend plutôt au tournant. Son club est au bord du gouffre dans un contexte très délicat.

En clôture du dernier exercice, les pertes étaient de 91,4 M€. La crise du Covid-19 n'a pas arrangé la situation : la masse salariale plombait largement ses comptes la saison dernière, avec 127,2 M€ chargés. Sans les recettes télé encore dues, Marseille dévisse. La mise en chômage partiel de l'effectif ne produira pas les effets suffisants pour trouver de l'oxygène. Cette mesure permet déjà une économie substantielle à l'échelle du club avec, notamment, l'allègement des charges patronales. Mais l'OM est tout près du salary « gap » qui le précipiterait dans le fossé. Un décalage de paiement des salaires ne serait visiblement plus suffisant.

Eyraud voudrait baisser certains salaires de manière permanente

Jacques-Henri Eyraud veut aller plus loin que le compromis négocié par le groupe du « dialogue social » de la LFP, qui préconise, au maximum, un nouvel effort de 50 % pour les joueurs qui touchent encore plus de 100 000 € avec 70 % de leur salaire brut en chômage partiel. Le président marseillais trouve d'ailleurs que cette négociation a été mal menée par ses collègues mandatés par la LFP (le Rémois Jean-Pierre Caillot en tête, avec le Niçois Jean-Pierre Rivère ou l'Auxerrois Francis Graille). Pour lui, ils n'ont pas tapé assez fort. Le président de l'OM aurait souhaité que ces efforts se fassent sans report de trésorerie, c'est-à-dire que le solde des baisses - qui seraient déjà consenties pour le mois d'avril - ne soit pas remboursé à la fin de la saison sportive, ou quand les droits télé seront payés.

Eyraud veut un effort radical pour écoper ses finances à la dérive. Il se serait déjà entretenu avec des cadres pour parler d'une baisse sèche et conséquente de certains gros salaires. Steve Mandanda et Florian Thauvin auraient notamment été mis au courant. Il voudrait même que ces baisses de revenus soient définitives pour certains. Des conférences téléphoniques sont prévues, ce vendredi, pour évoquer ces coupes salariales drastiques. Cette idée germe également dans la tête d'autres dirigeants, comme à Bordeaux ou à Saint-Étienne.

La direction stéphanoise a déjà sondé quelques cadres sur des - gros - efforts supplémentaires, même si Xavier Thuilot veut temporiser. « Nous avons pris le parti d'attendre le résultat des négociations au niveau national, avance le directeur général de l'ASSE. Le résultat de ces négociations n'est pas validé par les instances, par les différents ministères, au niveau réglementaire et fiscal. Tant que ce n'est pas le cas, il n'y a pas lieu d'entamer des discussions. Mais comme tous les clubs, quand les recettes n'entrent plus, nous regardons ce que nous pouvons faire au niveau des dépenses. Et le premier poste de dépenses, dans un club de football, ce sont les salaires. » L'idée de prolonger les baisses, même en cas de reprise des compétitions, est évoquée, en particulier s'il faut finir le Championnat à huis clos. L'état d'urgence salarial est déclaré dans ces clubs historiques en grande difficulté.

Information

Une préconisation, pas une obligation
L'accord trouvé mardi entre le groupe de travail de la LFP, représentant les clubs, et l'UNFP, le syndicat des footballeurs, sur le « dialogue social » a validé un compromis pour une baisse des revenus des joueurs durant la suspension des compétitions, causée par la crise sanitaire. Cet effort, appliqué sur un salaire déjà amputé par la mesure de chômage partiel, est évolutif selon le niveau de revenu : de 20 % pour les salaires compris entre 10 000 et 20 000 euros mensuels, il peut aller jusqu'à 50 % pour ceux supérieurs à 100 000 euros. Cependant, il ne s'agit pas réellement d'une baisse, mais d'un report : l'intégralité des sommes non perçues pendant l'arrêt du Championnat devra être versée aux joueurs à la fin de la saison, lors de la perception des droits télé. Surtout, il ne s'agit là que de recommandations. Si un joueur refuse de reporter ses revenus, il restera sur la base du chômage partiel. L'accord, intervenu en urgence afin d'anticiper de possibles impayés des salaires d'avril dans les clubs sans avance de trésorerie, sera revu et réajusté à la fin du mois. H. G.

https://www.lequipe.fr/Football/Article ... es/1126271

Il n'a qu'à faire une conférence avec des représentants des joueurs et des représentants des autres personnels.
Il explique que le manque de solidarité des uns entrainera des licenciements chez les autres.
Le cynisme n'a plus de limites.

Ce genre de négociation doit se faire en interne. Pas besoin de l'exposer de cette façon.

Le mec s'est mis dans la merde tout seul en offrant des salaires XXL au moment de la signature et essaye de profiter de cette crise pour réparer son erreur.

Putain.

Il n'a qu'à faire une conférence avec des représentants des joueurs et des représentants des autres personnels.
Il explique que le manque de solidarité des uns entrainera des licenciements chez les autres.
Le cynisme n'a plus de limites.

Présenté comme cela, c'est assez populiste mais sur le fond, il a peut-être pas tort.

M’etonnerait pas que le Covid laisse des clubs sur le carreau financièrement, voire des dépôts de bilan/retrogradation chez des historiques (ça pue clairement pour Bordeaux par exemple, je n’ose pas parler de l’OM au risque de me faire agresser, mais je n’en pense pas moins, notre JHEnie ayant encore eu une idee absolument ahurissante vis a vis des salaires, cela ne me surprendrait pas qu’il puisse penser serieusement a engager une procedure de licenciement collectif, convaincu d’etre dans son bon droit ).

M’est d’avis que l’on verra aussi des choses improbables sur le marché des transferts, ceux qui vivent à crédit vont devoir se delester de pas mal de joueurs, ce qui pourrait faire le bonheur des clubs sains et bien geres financierement, qui passeraient dans une « autre dimension » (chacun a leur echelle, comme un catalyseur) comme pour Dortmund, l’Ajax ou Seville en Europe ou encore Rennes voire Strasbourg en France. (d’autant que d’apres la lecture que je fais de ces evenements, je vois bien une baisse generalisee des salaires et des revenus du business foot dans son ensemble, qui permettrait a ces clubs de profiter de joueurs d’un calibre supérieur, devenus accessibles).

Les cartes seront rebattues après cette crise, et c’est a mon avis pas plus mal, car ca sacrera les bons eleves.

Les cartes seront rebattues après cette crise, et c’est a mon avis pas plus mal, car ca sacrera le Qatar.

Pas faux, les tricheurs de ce style pourront aussi prosperer