Aucune mesure n'a en effet été prise par la DNCG, qui étudiait également les cas de Saint-Étienne, Nice, Paris, Brest et Reims (Ligue 1), Auxerre, Clermont, Lorient, Orléans, Nancy, Sochaux et Valenciennes (Ligue 2). Ce qui ne veut néanmoins pas dire que l'état-major phocéen pourra faire ce qu'il veut sur le marché des transferts cet été. Il devra en effet vendre un ou plusieurs joueurs et alléger la masse salariale afin d'équilibrer les comptes. Une situation qui n'est pas sans rappeler celle de l'OM de la fin de l'ère Louis-Dreyfus, lorsque Vincent Labrune allait détailler ses futures ventes - et le montant qu'elles allaient rapporter - devant le gendarme financier du football français.
On était pas tout seul !!!