Voici un deuxieme poeme de ma part, esperons qu'il soit aussi "prophetique" que le precedent...
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Tu portes en ton ame une blessure
Dont les stigmates fissurent ta figure
Mais sur le terrain, la douleur tu l'oublie.
L'eclat de ton style nous a tous ebloui !
Tu secoua d'un seul coup un Marseille endormi,
Un Marseille qui pleurait sa star Ivoirienne,
Et aussitot a cote de la sienne,
Ta place fut dans nos coeur.
Ta vista dechaina les passions olympiennes
Et ton talent, par-dela la cite phoceene,
Fit rever en Germany.
Franck, entends-tu ces mots et ces prieres,
Qui circulent dans ta ville de jour comme de nuits ?
Franck entends tu la voix de nos coeurs qui se serrent ?
Toute l'OLYMPE supplie :
Reste, Ribery!