Notre cher médecin d'omlive à bien voulu jouer pour nous le reporter sans peur et sans reproche.
Equipé de sa CIBI et de son transistor, il s'est levé aux aurores pour nous faire vivre en direct sa longue traversée de la France, de Marseille à Paris pour être présent au Stade pour supporter nos bleus et blancs.
Je vous mettrais au fil de la journée les impressions et les photos (vrais... la plupart du temps) de la journée gobienne :
7h00 : Dur est le réveil après une nuit bien agitée à repenser à la finale de l'année dernière.
Je suis néanmoins tout emoustillé et ce n'est pas mon calecon qui dira le contraire.
Je dois me dépêcher, je prend le train à 8h à Aubagne.
10h21 : Ca y'est, je suis enfin dans le train. La gare est une vraie fourmillière, 5 min pour faire 100 mètres ça m'a un peu irrité dirons nous mais bon l'important c'est d'être installé avec quelques victuailles pour tenir. J'ai fait dans le léger , comme d'habitude
10h46 : Nous arrivons enfin à joindre notre correspondant qui confirme que sa matinée est comme nous vous la décrivions. Sauf que la SNCF pour respecter les traditions, à décider de faire une petite grève à Aubagne. Ca fait toujours plaisir
10h50 : Descendant de Nieptz, notre envoyé très spécial nous fait parvenir ce cliché pris entre deux pastis bien frais. La belle campagne vu du train, y'a que ça de vrai.
12h40 : "Le nom de la Gare de Lyon est maintenant complètement obsolète. Ce n'est pas un, ou deux ni même trois marseillais, mais bien toute une armée de bleus et blancs qui débarque dans la capitale. Quand les marseillais sont à Paris, ça se voit et surtout ça s'entend. Je n'ai déjà plus de voix, de tête ni de ventre d'ailleurs.
Le ton est donné. C'est chaud, chaud, chaud." (Gob)
16h00: "omlive est partout sur le quai du rer, déjà pas mal de Marseillais croisés. Je rejoins
Prophète à saint Michel.
17h00: En direct du stade, des Marseillais a perte de vue, quelques Sochaliens bedonnants, l'ambiance monte peu à peu.